Asha31 Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Vu que je ne sais jamais sur quelle topic aller pour en faire un chaque saison, j'inaugure donc un topic "bilan de mi saison", qui permettra à chacun de centrer ses impressions globales à chaque fois à mi parcours On termine donc cette phase aller 2012-2013 planter au milieu de tableau, mais en penchant plus légèrement vers le haut que vers le bas. Un classement somme toutes logique au vu de nos performance en dents de scie cette saison, autant sur le plan individuel (les joueurs ayant fait 19 matchs pleins se compte sur les doigts d'une main) que collectif. Du coté des bons points, on peut noter sur ces 19 premiers matchs un incontestable progrés sur le plan offensif: 25 buts marqués, dont une vingtaine sur attaques placées, avec à la clé quelques petit bijoux collectifs ( à la louche les buts contre Montpellier, Sainté, Evian, Lyon, le dernier contre Sochaux...), et des phases de jeu collective d'une qualité assez rare dans notre bonne vieille Ligue 1. Si la qualité des échanges et de la conservation est depuis quelques temps déjà une marque de fabrique toulousaine, voir ces longues phases finir par un pion au fond des filets et plus nouveau et surtout rafraîchissant. De même, à part une ou deux purges (mais quelle équipe n'en à pas offert à ses supporters cette saison), le stadium a vu à presque chaque match son lot de buts et d'occasions franches. Autre belle surprise, évidemment, l'éclosion de Ben Yedder, qui avec 9 buts en 19 matchs fait figure de révélation du championnat, et serait bien plus mis en lumière mais si cette saison un extraterrestre suédois ne scorer pas à chaque rencontre du coté de la capitale. Si les actions offensives violettes cette saison trouvent enfin une conclusion, c'est aussi en grande partie grâce à l'habileté de ce petit bonhomme. A noter que si Wissam s'est vu dépassé ces derniers mois par Gomis ou Cvitanich, il est en revanche le seul du peloton à avoir inscrit l'ensemble de ses buts dans le jeu, et avec autant de variétés (cinq buts de la tête, deux du pied droit, deux du pied gauche). On retiendra aussi dans le positif deux confirmations à défaut de révélation: un Aurier meilleur Latéral droit du championnat, et un Zébina qui est toujours , à 34 ans, un remarquable défenseur central, mais aussi meneur d'homme. Si M'bengue avait jouer à son vrai niveau cette saison, on parlerait sans doute du plus beau quatuor défensif du championnat . Une transition toute trouvée pour en venir aux points plus sombres, qui se sont malheureusement multipliés sur les 8 derniers matchs. Tout d'abord la défense justement: je viens de le dire, Aurier-Zebina-Abdennour-M'bengue, alignés ensemble et dans une forme optimale, on fera difficilement mieux en L1 cette saison. Pourtant, avec 20 buts encaissés à la trêve, le TFC cru 2012-2013 présente le pire bilan défensif de l'ère Casanova. Un perméabilité que l'on peut justifier par une plus grande prise de risque à la relance , mais pas seulement. Si l'on s'arrête en effet plus précisément sur les vingt pions encaissés par nos violets, on note quand même la présence d'une bonne dizaine de buts plus qu'évitables, et qui mettent en lumière le surprenant manque de concentration de la défense toulousaine: entre des retours de hors jeu mal maîtrisés (Face à Montpellier, Paris ...), des erreurs de relance grossières (Ajaccio, Rennes, Brest...) voire de boulettes de notre gardien (VA, Ajaccio, Lorient) , rarement on aura vu le tef offrir tant de cadeaux à ses adversaires. Une fébrilité qui trouve plusieurs explications: tout d'abord le pari risqué et malheureusement perdu par le staff téfécéiste cette saison, d'attaquer la saison avec seulement trois vrai défenseurs centraux de métiers, dont un vétéran et un jeune issus du centre de formation . Si évidemment des garçons comme Aurier ou Capoue ont pu venir filer un coup de main, cela s'est toujours fait au dépend de l'équilibre fragile de l'équipe toulousaine. Comme on pouvait le craindre, cette demi saison nous à donc offert son lot de charnière fantaisiste au gré des blessures et suspensions, avec des garçons comme Akpa-Akpro ou Ninkov en pompier de services plus ou moins inspirés. Pour une équipe qui base une grande partie de son jeu sur sa première relance et la qualité de son assise défensive, ça fait tâche. Autre point noir, l'inconstance terrible de certains de nos supposés "pépites" ou cadres: au malades chroniques et maintenant habituels , à savoir Tabanou, Regattin, Sissoko ou Ahamada, ce sont rajoutés des noms plus surprenants: Didot, Abdennour, M'bengue ou Capoue, d'habituels taulier solides au poste qu'on a vus étrangement perdus sur certains matchs. Une inconstance de ses titulaires qui à donné à ce TFC ce visage double assez unique en Ligue cette saison: tour à tour incroyablement enthousiasmant puis désespérant, frôlant la perfection technique et collective sur certains matchs pour ensuite sombrer dans le ridicule une semaine plus tard. Plus globalement, il est remarquable de noter sur les dix derniers matchs de la saison à quel point on peut deviner la conclusion d'un match du TFC à ses vingts premières minutes. Soit cette équipe attaque ces matchs en conquérant, et avec une concentration optimale, et ne laissera presque aucune chance à son adversaire du jour, soit elle est hors de son sujet, et elle y restera jusqu'à la 90e minute. C'est semble t'il la malédiction de ce TFC cru 2012-2013: incapable d'être juste moyen ou correct, condamné à l'excellence ou au pathétique . Rarement de mémoire de toulousains on aura autant tour à tour adoré ou éxécrer une équipe d'une semaine à l'autre. Reste que le dernier match de la saison à laisser dans la bouche des supporters le goût sucré de l'espoir: l'état d'esprit n'à pas disparu, et cette escouade reste indiscutablement au dessus d'une bonne dizaine d'équipe de notre championnat: reste que pour espérer vibrer un peu d'ici la fin du championnat, il va falloir compter sur la chance, à savoir celle qui épargnera un effectif limité des blessures et des suspensions, et qui ramènera un brin de réussite du côté du stadium. Devoir encore compter sur sa bonne étoile pour espérer réussir quelque chose en 2013, et ce malgré 11 joueurs indiscutablement talentueux, c'est peut être bien ça qui sépare encore le TFC du trés haut niveau français...
swedishwasher Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Bilan de mi-saison: on ne peut pas compter sur une année sans blessure et sans suspension. Il faut doubler chaque poste, et c'est pas nouveau.
Gollum Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Vu que je ne sais jamais sur quelle topic aller pour en faire un chaque saison, j'inaugure donc un topic "bilan de mi saison", qui permettra à chacun de centrer ses impressions globales à chaque fois à mi parcours On termine donc cette phase aller 2012-2013 planter au milieu de tableau, mais en penchant plus légèrement vers le haut que vers le bas. Un classement somme toutes logique au vu de nos performance en dents de scie cette saison, autant sur le plan individuel (les joueurs ayant fait 19 matchs pleins se compte sur les doigts d'une main) que collectif. Du coté des bons points, on peut noter sur ces 19 premiers matchs un incontestable progrés sur le plan offensif: 25 buts marqués, dont une vingtaine sur attaques placées, avec à la clé quelques petit bijoux collectifs ( à la louche les buts contre Montpellier, Sainté, Evian, Lyon, le dernier contre Sochaux...), et des phases de jeu collective d'une qualité assez rare dans notre bonne vieille Ligue 1. Si la qualité des échanges et de la conservation est depuis quelques temps déjà une marque de fabrique toulousaine, voir ces longues phases finir par un pion au fond des filets et plus nouveau et surtout rafraîchissant. De même, à part une ou deux purges (mais quelle équipe n'en à pas offert à ses supporters cette saison), le stadium a vu à presque chaque match son lot de buts et d'occasions franches. Autre belle surprise, évidemment, l'éclosion de Ben Yedder, qui avec 9 buts en 19 matchs fait figure de révélation du championnat, et serait bien plus mis en lumière mais si cette saison un extraterrestre suédois ne scorer pas à chaque rencontre du coté de la capitale. Si les actions offensives violettes cette saison trouvent enfin une conclusion, c'est aussi en grande partie grâce à l'habileté de ce petit bonhomme. A noter que si Wissam s'est vu dépassé ces derniers mois par Gomis ou Cvitanich, il est en revanche le seul du peloton à avoir inscrit l'ensemble de ses buts dans le jeu, et avec autant de variétés (cinq buts de la tête, deux du pied droit, deux du pied gauche). On retiendra aussi dans le positif deux confirmations à défaut de révélation: un Aurier meilleur Latéral droit du championnat, et un Zébina qui est toujours , à 34 ans, un remarquable défenseur central, mais aussi meneur d'homme. Si M'bengue avait jouer à son vrai niveau cette saison, on parlerait sans doute du plus beau quatuor défensif du championnat . Une transition toute trouvée pour en venir aux points plus sombres, qui se sont malheureusement multipliés sur les 8 derniers matchs. Tout d'abord la défense justement: je viens de le dire, Aurier-Zebina-Abdennour-M'bengue, alignés ensemble et dans une forme optimale, on fera difficilement mieux en L1 cette saison. Pourtant, avec 20 buts encaissés à la trêve, le TFC cru 2012-2013 présente le pire bilan défensif de l'ère Casanova. Un perméabilité que l'on peut justifier par une plus grande prise de risque à la relance , mais pas seulement. Si l'on s'arrête en effet plus précisément sur les vingt pions encaissés par nos violets, on note quand même la présence d'une bonne dizaine de buts plus qu'évitables, et qui mettent en lumière le surprenant manque de concentration de la défense toulousaine: entre des retours de hors jeu mal maîtrisés (Face à Montpellier, Paris ...), des erreurs de relance grossières (Ajaccio, Rennes, Brest...) voire de boulettes de notre gardien (VA, Ajaccio, Lorient) , rarement on aura vu le tef offrir tant de cadeaux à ses adversaires. Une fébrilité qui trouve plusieurs explications: tout d'abord le pari risqué et malheureusement perdu par le staff téfécéiste cette saison, d'attaquer la saison avec seulement trois vrai défenseurs centraux de métiers, dont un vétéran et un jeune issus du centre de formation . Si évidemment des garçons comme Aurier ou Capoue ont pu venir filer un coup de main, cela s'est toujours fait au dépend de l'équilibre fragile de l'équipe toulousaine. Comme on pouvait le craindre, cette demi saison nous à donc offert son lot de charnière fantaisiste au gré des blessures et suspensions, avec des garçons comme Akpa-Akpro ou Ninkov en pompier de services plus ou moins inspirés. Pour une équipe qui base une grande partie de son jeu sur sa première relance et la qualité de son assise défensive, ça fait tâche. Autre point noir, l'inconstance terrible de certains de nos supposés "pépites" ou cadres: au malades chroniques et maintenant habituels , à savoir Tabanou, Regattin, Sissoko ou Ahamada, ce sont rajoutés des noms plus surprenants: Didot, Abdennour, M'bengue ou Capoue, d'habituels taulier solides au poste qu'on a vus étrangement perdus sur certains matchs. Une inconstance de ses titulaires qui à donné à ce TFC ce visage double assez unique en Ligue cette saison: tour à tour incroyablement enthousiasmant puis désespérant, frôlant la perfection technique et collective sur certains matchs pour ensuite sombrer dans le ridicule une semaine plus tard. Plus globalement, il est remarquable de noter sur les dix derniers matchs de la saison à quel point on peut deviner la conclusion d'un match du TFC à ses vingts premières minutes. Soit cette équipe attaque ces matchs en conquérant, et avec une concentration optimale, et ne laissera presque aucune chance à son adversaire du jour, soit elle est hors de son sujet, et elle y restera jusqu'à la 90e minute. C'est semble t'il la malédiction de ce TFC cru 2012-2013: incapable d'être juste moyen ou correct, condamné à l'excellence ou au pathétique . Rarement de mémoire de toulousains on aura autant tour à tour adoré ou éxécrer une équipe d'une semaine à l'autre. Reste que le dernier match de la saison à laisser dans la bouche des supporters le goût sucré de l'espoir: l'état d'esprit n'à pas disparu, et cette escouade reste indiscutablement au dessus d'une bonne dizaine d'équipe de notre championnat: reste que pour espérer vibrer un peu d'ici la fin du championnat, il va falloir compter sur la chance, à savoir celle qui épargnera un effectif limité des blessures et des suspensions, et qui ramènera un brin de réussite du côté du stadium. Devoir encore compter sur sa bonne étoile pour espérer réussir quelque chose en 2013, et ce malgré 11 joueurs indiscutablement talentueux, c'est peut être bien ça qui sépare encore le TFC du trés haut niveau français... Deux bémols à cet état des lieux : 1. On est douzièmes. C'est pas ce que j'appelle "pencher vers le haut" du milieu de tableau . 2. S'il est vrai que le TFC est souvent tout bon ou tout mauvais, les performances "grises" existent. Contre Bastia, on fait vingt bonnes premières minutes et puis, plus rien. Contre Brest, on gagne en ayant été tout juste passables. Contre Rennes ou VA, on arrache le nul en ayant été à la limite du je m'en foutisme défensif. Le match contre l'OM est à peu près inclassable puisque deux joueurs "suicident" l'équipe... Le TFC est constant dans l'inconstance ; en première partie de saison, alors que sa condition physique lui permet de jouer haut et que WBY se révèle être un buteur providentiel, il oublie trop souvent les fondamentaux défensifs. En deuxième partie de saison, il oublie à peu près tout mais se montre surtout d'une impuissance crasse sur le plan offensif (plus que la série en elle-même, l'indigence du "jeu" produit ne laisse pas d'inquiéter). Il est quand même un point qui dénote une régularité certaine : dans l'ensemble et comme d'habitude, on bat les petits et on se fait planter par les gros (dans ce dernier cas, on est presque toujours incapables de ne serait-ce qu'inquiéter leur défense). Et contre les équipes dans nos eaux, c'est variable... Le gros point positif : l'état d'esprit général. Le bateau tangue mais il tient le cap et ma foi, quand je vois les conneries de certains (Ajaccio ) ou les atermoiements d'autres (Bordeaux :huh: ), je trouve que c'est déjà considérable. Une saison, c'est long : rien ne sert de s'énerver, du moins quand on a 26 points (que Sochaux ou Nancy s'agacent, en revanche...) Conclusions : 1. Le TFC n'a pas les moyens de subir ce qui fut longtemps son point fort : le pressing, l'agressivité. Cette équipe n'est ni assez mobile, ni assez technique pour créer les décalages lui permettant de prendre un adversaire dense en défaut. Les matches contre Bordeaux ou Lorient (sans exhaustivité) l'ont cruellement mis au jour. En revanche, quand on la laisse jouer, elle possède en Sissoko (ce Sissoko là...) l'un des milieux les plus percutants d'Europe. Sochaux, Lyon, St Etienne, Nancy ont pu le vérifier. 2. Nos "étourderies défensives" me semblent relever de l'accident : fondamentalement, on a de bons défenseurs (mais le syndrome Amalfitano de Capoue est l'un des gros points noirs de cette demi saison). Et puis, toute équipe a aussi le droit d'encaisser des buts venus d'ailleurs et ça nous est arrivé (je pense au but de Gignac, bien sûr ). Le problème vient d'un manque criant de talent offensif, dans les passes (que de passes potentiellement dangereuses pitoyablement ratées, quand même...) et dans la percussion (nos joueurs les plus techniques manquent de punch). Bien entendu, recruter un joueur à la fois punchy et technique, c'est tout ce qu'il y a de plus compliqué (ah si l'on avait eu la bonne idée d'aller chercher un Utaka... ). Celui-là, pourtant, nous permettrait de hausser notre niveau de performance...
Rémi Loret Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Gros bémol pour moi : l'élimination rapide et avec une équipe 1 bis contre Lille en Coupe de la Ligue. Et j'ai peur d'une nouvelle saison blanche niveau émotion si, malheureusement, on se fait sortir vite en coupe de France. Espérons que Casa va vraiment faire de la coupe le seul objectif de cette fin de saison, quitte à mettre une équipe 1 bis en championnat à l'approche d'un match de coupe
Bebs Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Gros bémol pour moi : l'élimination rapide et avec une équipe 1 bis contre Lille en Coupe de la Ligue. Et j'ai peur d'une nouvelle saison blanche niveau émotion si, malheureusement, on se fait sortir vite en coupe de France. Espérons que Casa va vraiment faire de la coupe le seul objectif de cette fin de saison, quitte à mettre une équipe 1 bis en championnat à l'approche d'un match de coupe Ce pourquoi il sera tout autant critiqué que s'il fait l'inverse, équipe bis en coupe pour laisser les cadres en championnat ... Et d'ailleurs, je suis pas persuadé, au vu de plusieurs paramètres (classement, stabilité qui commence à apparaître, relative malchance en novembre/décembre, niveau entrevu ...) qu'aucune émotion ne nous soit procurée par le championnat. 2. S'il est vrai que le TFC est souvent tout bon ou tout mauvais, les performances "grises" existent. Contre Bastia, on fait vingt bonnes premières minutes et puis, plus rien. Contre Brest, on gagne en ayant été tout juste passables. Contre Rennes ou VA, on arrache le nul en ayant été à la limite du je m'en foutisme défensif. Le match contre l'OM est à peu près inclassable puisque deux joueurs "suicident" l'équipe... Le TFC est constant dans l'inconstance ; en première partie de saison, alors que sa condition physique lui permet de jouer haut et que WBY se révèle être un buteur providentiel, il oublie trop souvent les fondamentaux défensifs. En deuxième partie de saison, il oublie à peu près tout mais se montre surtout d'une impuissance crasse sur le plan offensif (plus que la série en elle-même, l'indigence du "jeu" produit ne laisse pas d'inquiéter). Il est quand même un point qui dénote une régularité certaine : dans l'ensemble et comme d'habitude, on bat les petits et on se fait planter par les gros (dans ce dernier cas, on est presque toujours incapables de ne serait-ce qu'inquiéter leur défense). Et contre les équipes dans nos eaux, c'est variable... Le gros point positif : l'état d'esprit général. Le bateau tangue mais il tient le cap et ma foi, quand je vois les conneries de certains (Ajaccio ) ou les atermoiements d'autres (Bordeaux :huh: ), je trouve que c'est déjà considérable. Une saison, c'est long : rien ne sert de s'énerver, du moins quand on a 26 points (que Sochaux ou Nancy s'agacent, en revanche...) Conclusions : 1. Le TFC n'a pas les moyens de subir ce qui fut longtemps son point fort : le pressing, l'agressivité. Cette équipe n'est ni assez mobile, ni assez technique pour créer les décalages lui permettant de prendre un adversaire dense en défaut. Les matches contre Bordeaux ou Lorient (sans exhaustivité) l'ont cruellement mis au jour. En revanche, quand on la laisse jouer, elle possède en Sissoko (ce Sissoko là...) l'un des milieux les plus percutants d'Europe. Sochaux, Lyon, St Etienne, Nancy ont pu le vérifier. Ce qui est bon dans ton argumentaire, c'est que tu nous dis que l'équipe est inconstante (comment ne pas le remarquer), mais après tu balances une super généralité, genre les gros on perd, les petits on gagne Les gros, t'en as soit une multitude (à moins que tu ne considères que, malgré le classement, Bordeaux et Lille c'est plus fort que VA ou Lorient en ce moment), soit t'en as 3 (ce qui me semble logique). Paris on joue pas si mal mais on se fait planter par Pastore, Marseille on joue pas si mal mais on se fait planter par les cartons, et Lyon, pas la peine d'en rajouter. Et contre les petits, c'est vraiment variable (Ajaccio, Bastia, Reims) donc bon ... Plutôt d'accord avec ta "conclusion 1."
Asha31 Posté(e) 25 décembre 2012 Auteur Posté(e) 25 décembre 2012 Deux bémols à cet état des lieux : 1. On est douzièmes. C'est pas ce que j'appelle "pencher vers le haut" du milieu de tableau . Je ne t'apprend pas qu'une place au classement se joue à énormément de paramètre, et est donc en soi rarement révélatrice d'une réalité concrète (à part si tu finis dans les trois premiers ou trois derniers). La question dans notre position, c'est de savoir si notre équipe regarde plus devant ou derrière elle. Je constate qu'on est à hauteur de Montpellier et Saint-Etienne, à portée de fusil de Bordeaux, Lille et VA...qu'en gros à part les trois grosses locomotives devant qui semble-t-il seront extrêmement durs à rattraper, toutes les équipes entre la sixieme et la douzieme place se tiennent en trois points, alors que le premier relégable par rapport à nous est à 10 points, et le treizième à quatre points...Aprés effectivement on peut s'arrêter basiquement au classement pour juger, mais il ne me semble pas qu'à la 19e journée cela soit pertinent
Gollum Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Ce pourquoi il sera tout autant critiqué que s'il fait l'inverse, équipe bis en coupe pour laisser les cadres en championnat ... Et d'ailleurs, je suis pas persuadé, au vu de plusieurs paramètres (classement, stabilité qui commence à apparaître, relative malchance en novembre/décembre, niveau entrevu ...) qu'aucune émotion ne nous soit procurée par le championnat. Ce qui est bon dans ton argumentaire, c'est que tu nous dis que l'équipe est inconstante (comment ne pas le remarquer), mais après tu balances une super généralité, genre les gros on perd, les petits on gagne Les gros, t'en as soit une multitude (à moins que tu ne considères que, malgré le classement, Bordeaux et Lille c'est plus fort que VA ou Lorient en ce moment), soit t'en as 3 (ce qui me semble logique). Paris on joue pas si mal mais on se fait planter par Pastore, Marseille on joue pas si mal mais on se fait planter par les cartons, et Lyon, pas la peine d'en rajouter. Et contre les petits, c'est vraiment variable (Ajaccio, Bastia, Reims) donc bon ... Plutôt d'accord avec ta "conclusion 1." Ben justement, ce que je dis c'est que notre inconstance est en trompe l'oeil : car il y a une constante, c'est notre... normalité. En bonne équipe de milieu de tableau, dans l'ensemble (en règle générale, si tu préfères), on perd contre les meilleurs et on gagne contre les plus faibles. Alors certes, sur le concept de "gros", il y a une imprécision que je m'empresse de lever. Pour moi, les gros, ce sont les clubs dont les moyens économiques sont supérieurs aux nôtres, ceux que l'on doit retrouver au sommet du championnat même s'ils n'y sont pas encore tous : Marseille, Lyon, Paris, Lille, Bordeaux. J'aurais tendance à ajouter Rennes à cette liste. Par rapport à ces gros là, notre perf contre Lyon est l'exception qui confirme la règle. Tu comprendras que j'accorde un crédit pour le moins limité aux arguments du genre "contre Paris on a perdu mais on n'aurait pas dû" . Comme je le disais à Joël, les faits. D'abord les faits. Les petits sont ceux qui se battront pour rester en L1. Nancy, Troyes, Sochaux, ETG, Brest, Ajaccio, Bastia, Reims sont concernés. Contre ceux-là, le bilan d'ensemble est largement favorable, non ? Et puis, il y a les équipes "dans nos eaux" : St Etienne (quasi "gros", d'ailleurs...), Nice, VA, Lorient, Montpellier. Bilan équilibré quoique légèrement défavorable, ce qui peut aussi expliquer notre douzième place. C'est clair, j'espère . Je ne t'apprend pas qu'une place au classement se joue à énormément de paramètre, et est donc en soi rarement révélatrice d'une réalité concrète (à part si tu finis dans les trois premiers ou trois derniers). La question dans notre position, c'est de savoir si notre équipe regarde plus devant ou derrière elle. Je constate qu'on est à hauteur de Montpellier et Saint-Etienne, à portée de fusil de Bordeaux, Lille et VA...qu'en gros à part les trois grosses locomotives devant qui semble-t-il seront extrêmement durs à rattraper, toutes les équipes entre la sixieme et la douzieme place se tiennent en trois points, alors que le premier relégable par rapport à nous est à 10 points, et le treizième à quatre points...Aprés effectivement on peut s'arrêter basiquement au classement pour juger, mais il ne me semble pas qu'à la 19e journée cela soit pertinent Un post curieux dans la mesure où il explique de manière plutôt convaincante ce que "pencher vers le haut" voulait dire (l'argument de l'écart de points avec les équipes du haut est tout à fait recevable) tout en tendant à expliquer qu'en gros, entre la dix-septième et la quatrième place, le classement est pour ainsi dire le fruit du hasard (le hasard entre en compte quand "le nombre énorme de paramètres" empêche d'établir un lien entre "qualité d'une équipe" et "classement final"). Je ne suis donc pas d'accord (du tout) avec ta phrase introductive. On peut invoquer des "événements malheureux" pour expliquer une douzième place plutôt qu'une dixième mais cet argument bute rapidement sur d'évidentes limites. Sur 38 rencontres, les tendances qu'un classement met en exergue sont implacables. Et sur 19, elles sont solides. Ton argument est spéculatif : je n'ai rien contre la spéculation ( ) et la tienne est tout à fait recevable. D'ailleurs, si on remporte les 19 matches qui restent, on sera pas loin du titre . Mais pour l'heure, les faits sont là. On fait partie des équipes qui peuvent regarder en haut, c'est vrai. Mais aussi de celles (elles sont nombreuses) qui doivent continuer à surveiller ce qui se passe en bas. Ce qui n'a rien d'étonnant. Pour une équipe comme la nôtre, la seule ligne de conduite qui vaille est "assurons le maintien et si on peut faire mieux, ne nous gênons pas".
Bebs Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Ben justement, ce que je dis c'est que notre inconstance est en trompe l'oeil : car il y a une constante, c'est notre... normalité. En bonne équipe de milieu de tableau, dans l'ensemble (en règle générale, si tu préfères), on perd contre les meilleurs et on gagne contre les plus faibles. Alors certes, sur le concept de "gros", il y a une imprécision que je m'empresse de lever. Pour moi, les gros, ce sont les clubs dont les moyens économiques sont supérieurs aux nôtres, ceux que l'on doit retrouver au sommet du championnat même s'ils n'y sont pas encore tous : Marseille, Lyon, Paris, Lille, Bordeaux. J'aurais tendance à ajouter Rennes à cette liste. Par rapport à ces gros là, notre perf contre Lyon est l'exception qui confirme la règle. Tu comprendras que j'accorde un crédit pour le moins limité aux arguments du genre "contre Paris on a perdu mais on n'aurait pas dû" . Comme je le disais à Joël, les faits. D'abord les faits. Les petits sont ceux qui se battront pour rester en L1. Nancy, Troyes, Sochaux, ETG, Brest, Ajaccio, Bastia, Reims sont concernés. Contre ceux-là, le bilan d'ensemble est largement favorable, non ? Et puis, il y a les équipes "dans nos eaux" : St Etienne (quasi "gros", d'ailleurs...), Nice, VA, Lorient, Montpellier. Bilan équilibré quoique légèrement défavorable, ce qui peut aussi expliquer notre douzième place. C'est clair, j'espère . Bien sûr, très clair Si on prend ces gros-là et qu'on s'en tient strictement aux faits comme tu dis, on est typiquement une équipe de milieu de tableau. D'ailleurs beaucoup te diront, en regardant simplement les résultats, et de manière peut-être peu judicieuse, que notre 12ème place s'explique plus par les résultats moyens à domicile contre des équipes mal classées (Ajaccio, Bastia ou Reims) que par les mauvaises performances à Nice ou Lorient. Je trouve plus judicieux de regarder la mi-saison comme une (très) bonne période pendant les 3 premiers mois (avec la seule défaite à Paris, pas si honteuse que ça), et une (très) mauvaise, qui commence lors de la semaine Lille-Bordeaux, où on perd gros pendant les dernières minutes, et qui se termine contre Lille justement (on était bien rentrés dans le match contre Marseille). Je crois qu'une première victoire en CdF peut nous donner la dynamique pour faire une bonne rentrée en championnat, à l'image de ce qu'on a d'ailleurs fait au début de l'année
NicoPaviot Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Tu comprendras que j'accorde un crédit pour le moins limité aux arguments du genre "contre Paris on a perdu mais on n'aurait pas dû" . Aucun problème là dessus, mais fais juste l'effort d'être cohérent et d'éviter les "on a gagné / fait match nul mais on aurait pas dû" dans ton argumentaire.
Alfcat Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 bilan très mitigé: très bon début, quelques superbes sursauts ... et puis rien. Mais alors rien du tout. Cette équipe se connait bien eu égard à la stabilité dont elle bénéficie. Pire encore, certains voudraient, parait-il, briller pour faire monter le désir chez d'éventuels recruteurs, qu'ils soient libres ou non. Mais là encore, comme écrivait l'autre, <<plus le désir s'acroit, plus l'effet se recule >>. Techniquement, toujours autant de déchet "basique" dans 50 % des rencontres. En résumé, beaucoup d'incompréhension et de scepticisme à la mi-saison. Où est passée la motivation ? Dans quel placard a-t-elle été rangée et qui a fermé à clé la dernière fois qu'elle a été utilisée ? Le coach est-il trop gentil ? Il paraîtrait que non ... A-t-on trop de ( moins en moins ) jeunes qui refusent d'assumer leur statut de cadre ? La solution est dans la résolution de ce manque de caractère et d'envie. L'étape suivante sera dans le changement de coach, au moins pour le choc, à défaut d'avoir la certitude de pouvoir facilement trouver vraiment mieux. Rien n'est perdu pour finir dans les 6 ou 8 premiers, mais ce qui est agaçant à la fin, c'est ce sentiment de danser une sorte de danse répétitive, avec 2 pas en avant puis 3 pas en arrière.
Bagnator Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Bilan positif: on est dans le tableau de marche de la course au Maintien.
Gollum Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Bien sûr, très clair Si on prend ces gros-là et qu'on s'en tient strictement aux faits comme tu dis, on est typiquement une équipe de milieu de tableau. D'ailleurs beaucoup te diront, en regardant simplement les résultats, et de manière peut-être peu judicieuse, que notre 12ème place s'explique plus par les résultats moyens à domicile contre des équipes mal classées (Ajaccio, Bastia ou Reims) que par les mauvaises performances à Nice ou Lorient. Je trouve plus judicieux de regarder la mi-saison comme une (très) bonne période pendant les 3 premiers mois (avec la seule défaite à Paris, pas si honteuse que ça), et une (très) mauvaise, qui commence lors de la semaine Lille-Bordeaux, où on perd gros pendant les dernières minutes, et qui se termine contre Lille justement (on était bien rentrés dans le match contre Marseille). Je crois qu'une première victoire en CdF peut nous donner la dynamique pour faire une bonne rentrée en championnat, à l'image de ce qu'on a d'ailleurs fait au début de l'année Disons que dans notre "bonne période", nous n'avons rencontré qu'un gros (Paris) et un quasi gros (Rennes) ; pour deux résultats plutôt négatifs mais admettons que ce soit trop peu pour dessiner une tendance. En revanche, on bat Nancy, ETG, Troyes et on fait des matches assez laborieux contre VA et Reims. Notre seul match vraiment probant étant celui contre Saint Etienne. Ensuite, on sait ce qu'il advient (on est mauvais contre tout le monde sauf Lyon et Sochaux). Maintenant, chacun peut découper la saison comme il veut et expliquer les raisons de cette douzième place en conséquence. Bien sûr que perdre des points à domicile contre Ajaccio, Bastia ou Reims (et VA), c'est très fâcheux tandis que perdre à Nice, Lorient ou Bordeaux, ma foi, c'est assez prévisible. Je pense aussi que nos performances à domicile sont au fond plus décevantes que nos performances à l'extérieur. Mais je retiens de notre demi saison une explication plus globale de cette douzième place : durant notre "bonne période", notre euphorie offensive a été trop largement stérilisée par notre fébrilité défensive ; là, c'est sûr, on perd de vraies occasions de faire un trou au classement. Et pendant notre mauvaise période, on est nuls au sens étymologique du terme sur le plan offensif et encore trop fragiles sur le plan défensif, d'où le marasme que l'on sait. En somme, (un super quart de saison offensif + un quart de saison offensif pourri) + (une demi saison défensive "moyen moins") = douzième place. Aucun problème là dessus, mais fais juste l'effort d'être cohérent et d'éviter les "on a gagné / fait match nul mais on aurait pas dû" dans ton argumentaire. Plaît-il ? Ce commentaire m'est adressé ?
NicoPaviot Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Plaît-il ? Ce commentaire m'est adressé ? Dans tes descriptions, tu minimises les victoires ou les nuls face à Brest, Valenciennes, Rennes, ... Pas de problème. L'incohérence est quand pour les défaites tu invoques de ne fier seulement qu'à la vérité du résultat. Une analyse équilibrée c'est pour moi de tenir compte des performances autant dans les victoires que dans les défaites, ou bien se ranger derrière la vérité du résultat quel qu'il soit mais pas de naviguer entre les deux au gré des besoins de l'argumentaire.
Gollum Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Dans tes descriptions, tu minimises les victoires ou les nuls face à Brest, Valenciennes, Rennes, ... Pas de problème. L'incohérence est quand pour les défaites tu invoques de ne fier seulement qu'à la vérité du résultat. Une analyse équilibrée c'est pour moi de tenir compte des performances autant dans les victoires que dans les défaites, ou bien se ranger derrière la vérité du résultat quel qu'il soit mais pas de naviguer entre les deux au gré des besoins de l'argumentaire. Non, il n'y a pas d'incohérence car (comme ça peut t'arriver), ta critique est hors contexte. Bebs me dit "contre le PSG, on n'a pas mal joué" et il semble trouver là un argument contre la "loi" selon laquelle "on perd contre les gros". Loi qui ne supporte que 2 exceptions sur un échantillon de 6 matches : Rennes et surtout Lyon. Je lui réponds que contre Paris, on a perdu. Point barre (au demeurant, la défaite contre Paris est logique : on a une occase si je me souviens bien et défensivement, nous sommes tout de même bien naïfs... Je ne vois donc pas bien ce que "bon match à Paris" veut dire mais passons...). Ma remarque sur le match contre Brest répondait au post d'Asha qui tendait à nous voir "tout bon ou tout mauvais" ; je faisais remarquer que, parfois, on gagnait sans être brillants tout comme on pouvait perdre sans être calamiteux (Bordeaux, Nice). Mais la victoire contre Brest va complètement dans le sens d'une autre "loi" caractéristique du TFC : celle du "on mate les petits" ; autant dire que je n'utilise pas du tout cet exemple comme tu sembles le supposer !!! Je n'ai rien dit de particulier sur les nuls contre Reims ou VA. Sinon que sur le seul plan du résultat, ce sont plutôt des contre-performances. Bref, en ce moment, je crois que tu lis les topics trop superficiellement .
NicoPaviot Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Non, il n'y a pas d'incohérence car (comme ça peut t'arriver), ta critique est hors contexte. Bebs me dit "contre le PSG, on n'a pas mal joué" et il semble trouver là un argument contre la "loi" selon laquelle "on perd contre les gros". Loi qui ne supporte que 2 exceptions sur un échantillon de 6 matches : Rennes et surtout Lyon. Je lui réponds que contre Paris, on a perdu. Point barre (au demeurant, la défaite contre Paris est logique : on a une occase si je me souviens bien et défensivement, nous sommes tout de même bien naïfs... Je ne vois donc pas bien ce que "bon match à Paris" veut dire mais passons...). Ma remarque sur le match contre Brest répondait au post d'Asha qui tendait à nous voir "tout bon ou tout mauvais" ; je faisais remarquer que, parfois, on gagnait sans être brillants tout comme on pouvait perdre sans être calamiteux (Bordeaux, Nice). Mais la victoire contre Brest va complètement dans le sens d'une autre "loi" caractéristique du TFC : celle du "on mate les petits" ; autant dire que je n'utilise pas du tout cet exemple comme tu sembles le supposer !!! Je n'ai rien dit de particulier sur les nuls contre Reims ou VA. Sinon que sur le seul plan du résultat, ce sont plutôt des contre-performances. Bref, en ce moment, je crois que tu lis les topics trop superficiellement . Non, là j'ai bien lu, régulièrement et je maintiens ce que j'ai dit.
Gollum Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Non, là j'ai bien lu, régulièrement et je maintiens ce que j'ai dit. Alors il s'agit de mauvaise foi caractérisée. Je sais que ça peut t'arriver aussi .
NicoPaviot Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Alors il s'agit de mauvaise foi caractérisée. Je sais que ça peut t'arriver aussi . Pas du tout. Maintenant, c'était juste un conseil. Tu en fais ce que tu veux ! Si tu veux t'amuser à raisonner selon des règles à géometries variables selon les cas, pourquoi pas.
Gollum Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Pas du tout. Maintenant, c'était juste un conseil. Tu en fais ce que tu veux ! Si tu veux t'amuser à raisonner selon des règles à géometries variables selon les cas, pourquoi pas. Tu veux dire qu'un argument A dans une discussion A et un argument B dans une discussion B, ce sont des "raisonnements à géométrie variable" ? Moi, j'appelle juste ça des discussions différentes. Tu peux relire les posts de ce topic et agencer les raisonnements selon la géométrie qui te sied, tu aboutiras toujours au même constat : à Bebs, je me contente de préciser ce que j'entends par "loi des résultats du TFC" avec leur règle et les exceptions qui la confirment (loi que l'on peut discuter, bien entendu ). Avec Asha, on évoque (superficiellement) la problématique "qualité du jeu". Les deux ne sont pas mis en rapport .
NicoPaviot Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Tu veux dire qu'un argument A dans une discussion A et un argument B dans une discussion B, ce sont des "raisonnements à géométrie variable" ? Moi, j'appelle juste ça des discussions différentes. Tu peux relire les posts de ce topic et agencer les raisonnements selon la géométrie qui te sied, tu aboutiras toujours au même constat : à Bebs, je me contente de préciser ce que j'entends par "loi des résultats du TFC" avec leur règle et les exceptions qui la confirment (loi que l'on peut discuter, bien entendu ). Avec Asha, on évoque (superficiellement) la problématique "qualité du jeu". Les deux ne sont pas mis en rapport . Je replace surtout dans le discours que tu tiens depuis quelque temps. Maintenant, si la cohérence n'est pas un souci pour toi tant pis, même si je trouve ça dommage à l'heure de faire un bilan.
FredOne31 Posté(e) 25 décembre 2012 Posté(e) 25 décembre 2012 Perso, je vais faire mon bilan sur l équipe "type" : - Ahamada, début de saison dans la lignée de la saison dernière, jusqu'à son but contre Rennes qui a du le troubler émotionnellement, en + du match des espoirs, mieux depuis 2-3 matches - Aurier, rien a dire le joueur de cette moitié de saison au TFC. J espère que Deschamps va bientôt l appeler. - Abdennour a eu un début de saison difficile mais est bien revenu et a été un des seuls à tenir son rang sur les derniers matches. - Zebina, Capitaine trop souvent blessé le résumera - M'Bengue, a été d un niveau inconstant, doit apporter plus offensivement et être plus sur défensivement. - Capoue, déception de ce début de saison par rapport à ce qu on peut attendre d un international, car c est quand même une des 3 valeurs sures du TFC. - Didot, comme le TFC, une demi saison en dents de scie, chef d orchestre du milieu de terrain, et nous n avons pas de remplaçant de ce niveau. - Sissoko, joueur retrouvé depuis sa sélection en EdF, j hésite entre une vente à l intersaison et une 2ème mi-saison du niveau de la 1ère ?! - Tabanou, comme M'Bengue, on attend + de se couloir gauche ! Trop inconstant ! - Djalo / Regattin, les deux ont apporté mais pas d'un niveau pour en faire l un ou l autre un titulaire indiscutable ! - Ben Yedder, j'ai eu du mal à choisir avec Aurier poux le trophée du meilleur toulousain, mais les derniers matches et ses difficultés rencontrées ont eu raison de lui. Il reste tout de même 2ème, et meilleur buteur du TFC. - le Banc, de bonnes surprises (Akpa, Yago, Blondel) et des déceptions (Riviere, Sirieix, ....) Sans la dernière mauvaise série, on serait mieux placé, mais ne vaut il pas mieux avancé caché ? Les 2 prochains matches (CdF, et Asse) lanceront cette 2 eme partie de saison. Et sont primordiaux pour les supporters, le haut du classement et l'envie des joueurs !!!
Asha31 Posté(e) 25 décembre 2012 Auteur Posté(e) 25 décembre 2012 Ben justement, ce que je dis c'est que notre inconstance est en trompe l'oeil : car il y a une constante, c'est notre... normalité. En bonne équipe de milieu de tableau, dans l'ensemble (en règle générale, si tu préfères), on perd contre les meilleurs et on gagne contre les plus faibles. Alors certes, sur le concept de "gros", il y a une imprécision que je m'empresse de lever. Pour moi, les gros, ce sont les clubs dont les moyens économiques sont supérieurs aux nôtres, ceux que l'on doit retrouver au sommet du championnat même s'ils n'y sont pas encore tous : Marseille, Lyon, Paris, Lille, Bordeaux. J'aurais tendance à ajouter Rennes à cette liste. Par rapport à ces gros là, notre perf contre Lyon est l'exception qui confirme la règle. Tu comprendras que j'accorde un crédit pour le moins limité aux arguments du genre "contre Paris on a perdu mais on n'aurait pas dû" . Comme je le disais à Joël, les faits. D'abord les faits. Les petits sont ceux qui se battront pour rester en L1. Nancy, Troyes, Sochaux, ETG, Brest, Ajaccio, Bastia, Reims sont concernés. Contre ceux-là, le bilan d'ensemble est largement favorable, non ? Et puis, il y a les équipes "dans nos eaux" : St Etienne (quasi "gros", d'ailleurs...), Nice, VA, Lorient, Montpellier. Bilan équilibré quoique légèrement défavorable, ce qui peut aussi expliquer notre douzième place. C'est clair, j'espère . Un post curieux dans la mesure où il explique de manière plutôt convaincante ce que "pencher vers le haut" voulait dire (l'argument de l'écart de points avec les équipes du haut est tout à fait recevable) tout en tendant à expliquer qu'en gros, entre la dix-septième et la quatrième place, le classement est pour ainsi dire le fruit du hasard (le hasard entre en compte quand "le nombre énorme de paramètres" empêche d'établir un lien entre "qualité d'une équipe" et "classement final"). Je ne suis donc pas d'accord (du tout) avec ta phrase introductive. On peut invoquer des "événements malheureux" pour expliquer une douzième place plutôt qu'une dixième mais cet argument bute rapidement sur d'évidentes limites. Sur 38 rencontres, les tendances qu'un classement met en exergue sont implacables. Et sur 19, elles sont solides. Ton argument est spéculatif : je n'ai rien contre la spéculation ( ) et la tienne est tout à fait recevable. D'ailleurs, si on remporte les 19 matches qui restent, on sera pas loin du titre . Mais pour l'heure, les faits sont là. On fait partie des équipes qui peuvent regarder en haut, c'est vrai. Mais aussi de celles (elles sont nombreuses) qui doivent continuer à surveiller ce qui se passe en bas. Ce qui n'a rien d'étonnant. Pour une équipe comme la nôtre, la seule ligne de conduite qui vaille est "assurons le maintien et si on peut faire mieux, ne nous gênons pas". Tu grossis mes propos , je ne prétend pas que tout classement hors des trois premières places et trois dernières n'est dû qu'au hasard, je relève ce qui pour moi est une réalité: une place au classement ne reflète pas nécessairement l'ensemble d'une saison. Dans un championnat comme le nôtre souvent assez serré , beaucoup d'équipes a priori méritante toutes une saison se retrouve au final douzième ou treizième pour trois mauvais matchs, une autre obtiendra une place dans le top 10 imméritée pour une ou deux victoire ras des fesses (je nous met dans le sac il y a deux saisons, quand on se retrouvent miraculeusement 8e à l'issue d'une saison ou la 13e ou 14e place nous tendait logiquement les bras ). C'est pour cela que conclure au bout de 19 matchs "on est douzièmes, donc on est meilleurs que 8 équipes, mais moins bon que onze autres" . ne me paraît pas juste pardon ^^
Gollum Posté(e) 26 décembre 2012 Posté(e) 26 décembre 2012 Je replace surtout dans le discours que tu tiens depuis quelque temps. Maintenant, si la cohérence n'est pas un souci pour toi tant pis, même si je trouve ça dommage à l'heure de faire un bilan. Le discours que je tiens depuis quelque temps ? Pour le moins elliptique, comme tout sous entendu. En l'occurrence, mon discours est simple et clair : 1. Le constat, implacable (comme tout constat) : sur une demi saison, on est dominés par les gros et on domine les petits. Comme d'habitude, au fond. On est dans la logique de nos moyens, ni plus ni moins. Extrapoler les résultats de cette demi saison signifie que nous terminerons en milieu de tableau, entre la huitième et la douzième place. Huitième, c'est tout à fait correct. Douzième, plutôt décevant. Disons que la note finale dépendrait aussi de notre carrière en coupe. 2. Les 19 matches qui nous restent peuvent bien entendu livrer une vérité fort différente des matches aller ; en foot (et en bien d'autres domaines), l'extrapolation peut être mauvaise spéculation. C'est là que le paramètre "qualité du jeu" peut entrer en compte (et non sur la justification de telle ou telle défaite ou d'ailleurs la minimisation de telle ou telle victoire, à laquelle je ne me suis jamais livré, ne t'en déplaise). Toutes les spéculations sont recevables : on peut encore descendre en L2 si on joue les matches retour sur le tempo de novembre-décembre. On peut finir européens -et même troisièmes...- si nos adversaires ont un coup de mou, si on est physiquement au top, si Sissoko est bon tout le temps, si WBY retrouve sa vista, Regattin son punch, Abdennour son autorité et pourquoi pas, Mbengué et Tabanou leur football. Je ne vois pas ce que ce discours aurait de téfécistement incorrect (même si le téfécistement incorrect ne me gêne pas ). Je me doutais que ta remarque était nourrie par du sous entendu puisqu'il est impossible de la fonder sur quoi que ce soit d'autre. Peut-être n'as tu pas aimé que je remarque qu'on avait battu Brest sans être brillants ? Au demeurant, n'as tu pas dit peu ou prou la même chose à propos de notre victoire contre Sochaux ? Or, qui aurait l'idée de reprocher à son club de gagner tel ou tel match sans être brillant ?? Pour battre Marseille, Lyon ou Paris, sans doute faut-il être brillant. Pour venir à bout de Brest, Sochaux ou Troyes, non. On ne peut au contraire que s'en féliciter ! Bref, à mon avis, tu es d'humeur un peu sombre. Le Papa Noël ne t'a pas gâté ? Tu grossis mes propos , je ne prétend pas que tout classement hors des trois premières places et trois dernières n'est dû qu'au hasard, je relève ce qui pour moi est une réalité: une place au classement ne reflète pas nécessairement l'ensemble d'une saison. Dans un championnat comme le nôtre souvent assez serré , beaucoup d'équipes a priori méritante toutes une saison se retrouve au final douzième ou treizième pour trois mauvais matchs, une autre obtiendra une place dans le top 10 imméritée pour une ou deux victoire ras des fesses (je nous met dans le sac il y a deux saisons, quand on se retrouvent miraculeusement 8e à l'issue d'une saison ou la 13e ou 14e place nous tendait logiquement les bras ). C'est pour cela que conclure au bout de 19 matchs "on est douzièmes, donc on est meilleurs que 8 équipes, mais moins bon que onze autres" . ne me paraît pas juste pardon ^^ Possible. On en reparle donc dans qq mois .
NicoPaviot Posté(e) 26 décembre 2012 Posté(e) 26 décembre 2012 Je ne vois pas ce que ce discours aurait de téfécistement incorrect (même si le téfécistement incorrect ne me gêne pas ). Je me doutais que ta remarque était nourrie par du sous entendu puisqu'il est impossible de la fonder sur quoi que ce soit d'autre. Peut-être n'as tu pas aimé que je remarque qu'on avait battu Brest sans être brillants ? Au demeurant, n'as tu pas dit peu ou prou la même chose à propos de notre victoire contre Sochaux ? Or, qui aurait l'idée de reprocher à son club de gagner tel ou tel match sans être brillant ?? Pour battre Marseille, Lyon ou Paris, sans doute faut-il être brillant. Pour venir à bout de Brest, Sochaux ou Troyes, non. On ne peut au contraire que s'en féliciter ! Bref, à mon avis, tu es d'humeur un peu sombre. Le Papa Noël ne t'a pas gâté ? Il n'y a pas d'histoire de "téfécistement incorrect" (c'est quoi d'ailleurs cette connerie ?). Mais, et tu le fais encore dans ce post là, tu persistes à minimiser certaines victoires (ce qui est ton droit absolu, même si tu as révé que je l'ai fait de celle de Sochaux, j'ai juste dit que l'attitude des Sochaliens était hallucinante), mais sans t'astreindre à faire de même pour les défaites (certaines sont fondamentalement plus sans appel que d'autres ou le résultat était plus proche du coup de dé qu'autre chose). Je te proposais gentiment de faire attention à ça, surtout à l'heure d'un premier bilan, mais soit tu ne t'en rends pas compte soit tu t'y refuses. Dont acte.
Stormy31 Posté(e) 26 décembre 2012 Posté(e) 26 décembre 2012 Pas grand chose à redire sur le bilan de saison, mais la phase retour fait un peu peur quand-même : On va à : Sainté, Marseille, Lyon, Rennes, Bastia. Du lourd en perspective.
GandhiWallemme Posté(e) 26 décembre 2012 Posté(e) 26 décembre 2012 Vu que je ne sais jamais sur quelle topic aller pour en faire un chaque saison, j'inaugure donc un topic "bilan de mi saison", qui permettra à chacun de centrer ses impressions globales à chaque fois à mi parcours On termine donc cette phase aller 2012-2013 planter au milieu de tableau, mais en penchant plus légèrement vers le haut que vers le bas. Un classement somme toutes logique au vu de nos performance en dents de scie cette saison, autant sur le plan individuel (les joueurs ayant fait 19 matchs pleins se compte sur les doigts d'une main) que collectif. Du coté des bons points, on peut noter sur ces 19 premiers matchs un incontestable progrés sur le plan offensif: 25 buts marqués, dont une vingtaine sur attaques placées, avec à la clé quelques petit bijoux collectifs ( à la louche les buts contre Montpellier, Sainté, Evian, Lyon, le dernier contre Sochaux...), et des phases de jeu collective d'une qualité assez rare dans notre bonne vieille Ligue 1. Si la qualité des échanges et de la conservation est depuis quelques temps déjà une marque de fabrique toulousaine, voir ces longues phases finir par un pion au fond des filets et plus nouveau et surtout rafraîchissant. De même, à part une ou deux purges (mais quelle équipe n'en à pas offert à ses supporters cette saison), le stadium a vu à presque chaque match son lot de buts et d'occasions franches. Autre belle surprise, évidemment, l'éclosion de Ben Yedder, qui avec 9 buts en 19 matchs fait figure de révélation du championnat, et serait bien plus mis en lumière mais si cette saison un extraterrestre suédois ne scorer pas à chaque rencontre du coté de la capitale. Si les actions offensives violettes cette saison trouvent enfin une conclusion, c'est aussi en grande partie grâce à l'habileté de ce petit bonhomme. A noter que si Wissam s'est vu dépassé ces derniers mois par Gomis ou Cvitanich, il est en revanche le seul du peloton à avoir inscrit l'ensemble de ses buts dans le jeu, et avec autant de variétés (cinq buts de la tête, deux du pied droit, deux du pied gauche). On retiendra aussi dans le positif deux confirmations à défaut de révélation: un Aurier meilleur Latéral droit du championnat, et un Zébina qui est toujours , à 34 ans, un remarquable défenseur central, mais aussi meneur d'homme. Si M'bengue avait jouer à son vrai niveau cette saison, on parlerait sans doute du plus beau quatuor défensif du championnat . Une transition toute trouvée pour en venir aux points plus sombres, qui se sont malheureusement multipliés sur les 8 derniers matchs. Tout d'abord la défense justement: je viens de le dire, Aurier-Zebina-Abdennour-M'bengue, alignés ensemble et dans une forme optimale, on fera difficilement mieux en L1 cette saison. Pourtant, avec 20 buts encaissés à la trêve, le TFC cru 2012-2013 présente le pire bilan défensif de l'ère Casanova. Un perméabilité que l'on peut justifier par une plus grande prise de risque à la relance , mais pas seulement. Si l'on s'arrête en effet plus précisément sur les vingt pions encaissés par nos violets, on note quand même la présence d'une bonne dizaine de buts plus qu'évitables, et qui mettent en lumière le surprenant manque de concentration de la défense toulousaine: entre des retours de hors jeu mal maîtrisés (Face à Montpellier, Paris ...), des erreurs de relance grossières (Ajaccio, Rennes, Brest...) voire de boulettes de notre gardien (VA, Ajaccio, Lorient) , rarement on aura vu le tef offrir tant de cadeaux à ses adversaires. Une fébrilité qui trouve plusieurs explications: tout d'abord le pari risqué et malheureusement perdu par le staff téfécéiste cette saison, d'attaquer la saison avec seulement trois vrai défenseurs centraux de métiers, dont un vétéran et un jeune issus du centre de formation . Si évidemment des garçons comme Aurier ou Capoue ont pu venir filer un coup de main, cela s'est toujours fait au dépend de l'équilibre fragile de l'équipe toulousaine. Comme on pouvait le craindre, cette demi saison nous à donc offert son lot de charnière fantaisiste au gré des blessures et suspensions, avec des garçons comme Akpa-Akpro ou Ninkov en pompier de services plus ou moins inspirés. Pour une équipe qui base une grande partie de son jeu sur sa première relance et la qualité de son assise défensive, ça fait tâche. Autre point noir, l'inconstance terrible de certains de nos supposés "pépites" ou cadres: au malades chroniques et maintenant habituels , à savoir Tabanou, Regattin, Sissoko ou Ahamada, ce sont rajoutés des noms plus surprenants: Didot, Abdennour, M'bengue ou Capoue, d'habituels taulier solides au poste qu'on a vus étrangement perdus sur certains matchs. Une inconstance de ses titulaires qui à donné à ce TFC ce visage double assez unique en Ligue cette saison: tour à tour incroyablement enthousiasmant puis désespérant, frôlant la perfection technique et collective sur certains matchs pour ensuite sombrer dans le ridicule une semaine plus tard. Plus globalement, il est remarquable de noter sur les dix derniers matchs de la saison à quel point on peut deviner la conclusion d'un match du TFC à ses vingts premières minutes. Soit cette équipe attaque ces matchs en conquérant, et avec une concentration optimale, et ne laissera presque aucune chance à son adversaire du jour, soit elle est hors de son sujet, et elle y restera jusqu'à la 90e minute. C'est semble t'il la malédiction de ce TFC cru 2012-2013: incapable d'être juste moyen ou correct, condamné à l'excellence ou au pathétique . Rarement de mémoire de toulousains on aura autant tour à tour adoré ou éxécrer une équipe d'une semaine à l'autre. Reste que le dernier match de la saison à laisser dans la bouche des supporters le goût sucré de l'espoir: l'état d'esprit n'à pas disparu, et cette escouade reste indiscutablement au dessus d'une bonne dizaine d'équipe de notre championnat: reste que pour espérer vibrer un peu d'ici la fin du championnat, il va falloir compter sur la chance, à savoir celle qui épargnera un effectif limité des blessures et des suspensions, et qui ramènera un brin de réussite du côté du stadium. Devoir encore compter sur sa bonne étoile pour espérer réussir quelque chose en 2013, et ce malgré 11 joueurs indiscutablement talentueux, c'est peut être bien ça qui sépare encore le TFC du trés haut niveau français... Compter sur sa bonne étoile, c'est pour les faibles Je partage quasitotalement ton point de vue Sauf qu'ayant tendance à voir le verre à moitié vide (certaines erreurs me semblent trop aberrantes), la mouture de ton dernier paragraphe aurait été toute différente Bilan de mi-saison: On a changé de vêtements par rapport aux saisons dernières, mais on est toujours aussi mal fringués. Sans la dernière mauvaise série, on serait mieux placé, mais ne vaut il pas mieux avancé caché ? :Ah! ah!: Si, à n'en point douter. Psg/Lyon et Marseille ont les boules de passer les fêtes sur le podium et nous envient notre 12ème place D'ailleurs, quoi de mieux que de finir la saison également caché? J'te taquine, mais cette question/argument me donne systématiquement des boutons..
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