sujet Posté(e) 4 février 2004 Posté(e) 4 février 2004 c'est un bon sujet, et cette rubrique bistrot c'est vraiment un des points forts de ce forum; pour will°8 cette chanson de C.NOUGARO était dans le zine Virage Ouest de février 1993, pour trodlabal , le sampa c'est sympa, était le grand succès des BFS en 1997; enfin fin 1992 le zine Virage Ouest grâce a Didier C. avait diffusé le refrai du Se Canta.
will_n°8 Posté(e) 13 février 2004 Posté(e) 13 février 2004 Après quelques jours de haute culture, le bistrot sombre à nouveau dans les abîmes de la médiocrité (moi compris). C'est pas parce qu'on supporte une équipe de foot, qu'on doit forcément jouer les imbéciles (special dédicace à Francis Huster, Pierre Arditi et Bernard Pivot). Alors un peu de tenue je vous prie... Reprenons-nous ! Par conséquent, je remonte ce topic intéressant. Et j'ajoute les paroles d'une chanson que je me suis réécouté récemment dans ma wature, une de ces chansons que je chante à voix haute et qui me file des frissons tellement c beau. These mist covered mountains Are a home now for me But my home is the lowlands And always will be Some day you'll return to Your valleys and your farms And you'll no longer burn To be brothers in arms Through these fields of destruction Baptism of fire I've watched all your suffering As the Batlles raged higher And though they did hurt me so bad In the fear and alarm You did not desert me My brothers in arms There's so many different worlds So many different suns And we have just one world But we live in different ones Now the sun's gone to hell And the moon's riding high Let me bid you farewell Every man has to die But it's written in the starlight And every line on your palm We're fools to make war On our brothers in arms Dire Straits Brothers in Arms
TFC4Ever Posté(e) 13 février 2004 Posté(e) 13 février 2004 non triste : D'avoir mis son âme dans tes mains Tu l'as froissée comme un chagrin et d'avoir condamné vos différences nous ne marcherons plus ensemble sa vie ne bat plus que d'une aile dansent les flammes, les bras se lèvent là où il va il fait un froid mortel si l'homme ne change de ciel pourtant, j'ai rêvé j'ai rêvé quon pouvait saimer au souffle du vent sélevait lâme, lhumanité son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux nest pas de vrai, nest pas de beau j'ai rêvé quon pouvait saimer à quoi bon abattre des murs pour y dresser des sépultures à force d'ignorer la tolérance nous ne marcherons plus ensemble les anges sont las de nous veiller nous laissent comme un monde avorté suspendu pour l'éternité le monde comme une pendule qui s'est arrêtée j'ai rêvé quon pouvait saimer au souffle du vent sélevait lâme, lhumanité son manteau de sang jirai cracher sur vos tombeaux nest pas de vrai, nest pas de beau j'ai rêvé quon pouvait saimer j'ai rêvé quon pouvait saimer j'avais rêvé du mot AIMER Paroles : Mylène Farmer Musique : Laurent Boutonnat
Nickoloh Posté(e) 13 février 2004 Posté(e) 13 février 2004 c le discours de martin luther king : allez le lire soit au bar la maison a toulouse, soit au metro de lille, soit sur le net... Discours prononcé par Martin Luther King, Jr, sur les marches du Lincoln Memorial, Washington, D.C, le 28 août 1963. Il y a cent ans, un grand Américain, qui jette sur nous aujourd'hui son ombre symbolique, a signé la Proclamation d'Emancipation. Cet arrêté d'une importance capitale venait porter la lumière, comme un phare d'espoir, aux millions d'esclaves Noirs, marqués par les flammes d'une injustice foudroyante, et annonçait l'aube joyeuse qui allait mettre fin à la longue nuit de la captivité. Mais un siècle plus tard, nous devons faire le constat tragique que les Noirs ne sont pas encore libres. Un siècle plus tard, la vie des Noirs reste entravée par la ségrégation et enchainée par la discrimination. Un siècle plus tard, les Noirs représentent un ilôt de pauvreté au milieu d'un vaste océan de prospérité matérielle. Un siècle plus tard, les Noirs languissent toujours dans les marges de la société américaine, des exilés dans leur propre terre. Alors nous venons ici aujourd'hui pour dramatiser notre condition effroyable. Nous venons à la capitale de notre nation pour demander, en quelque sorte, le paiement d'un chèque. Quand les architectes de notre République écrivirent les textes magnifiques de la Constitution et de la Déclaration d'Indépendance, ils signèrent un billet à l'ordre de chaque américain. C'était la promesse que chacun serait assuré de son droit inaliénable à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur. Il est aujourd'hui évident que l'Amérique a manqué à cet engagement quant à ses citoyens de couleur. Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, l'Amérique a passé au peuple Noir un chèque qui revient marqué "sans provisions". Mais nous ne saurons croire qu'il n'y a plus suffisamment de provisions dans les grands coffres d'opportunités nationaux. Alors nous venons exiger notres paiement contre ce chèque, paiement sur demande des richesses de la liberté et de la sécurité que procure la justice. Nous venons également à cet endroit sacré pour rappeler à l'Amérique l'urgence absolue de ce moment. Ce n'est pas le moment de prendre le luxe de laisser calmer les esprits, ni de nous laisser endormir par une approche gradualiste. Il est temps de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour prendre le chemin ensoleillée de la justice raciale. Il est temps d'ouvrir les portes de l'opportunité à tous les enfants de Dieu. Il est temps de tirer notre nation des sables mouvants de l'injustice raciale jusqu'au rocher solide de la fraternité. Que la nation ne tienne pas compte de l'urgence du moment, qu'elle sous-estime la détermination des Noirs, lui serait fatal. Cet été étouffant du mécontentement légitime des Noirs ne prendra fin qu'à l'arrivée d'un automne vivifiant qui amènera liberté et égalité. L'année 1963 n'est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Noirs seront satisfaits seulement de s'exprimer avec force auront un fàcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles comme si de rien n'était. L'Amérique ne connaîtra ni repos ni tranquillité tant que les Noirs ne jouissent pas pleinement de leurs droits civiques. Les orages de la révolte continueront à secouer les fondations de notre pays jusqu'au jour où la lumière de la justice arrivera. Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, qui est sur le point de franchir le seuil de la justice. En luttant pour prendre notre juste place, nous ne devrons pas nous rendre coupables d'actes injustes. Ne buvons pas de la coupe de l'amertume et de la haine pour assouvir notre soif. Nous devons toujours conduire notre lutte dans un haut souci de dignité et de la discipline. Nous ne pouvons pas laisser notre protestation créative dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons atteindre ce niveau exalté où nous opposons à la force physique la force de l'âme. Le militantisme merveilleux qui a pris la communauté noire ne doit pas nous amener à nous méfier de tous les Blancs, on le voit par leur présence ici aujourd'hui, se sont rendus compte que leur destin dépend étroitement de la nôtre. Nous ne pouvons pas marcher seuls. Et quand nous marchons, nous ne devons jurer d'aller toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas faire demi-tour. Il y en a qui demandent aux fervents des droits civiques, "Quand serez-vous satisfaits ?" Nous ne serons étre satisfaits tant que nous ne pouvons pas laisser nos corps fatigués se reposer dans les motels des routes ni les hôtels des villes. Nous ne serons être satisfaits tant que les Noirs ne peuvent bouger que d'un petit ghetto à un ghetto plus grand. Nous ne serons être satisfaits tant qu'un Noir en Mississippi n'aura pas le droit de voter et qu'un Noir à New York ne verra rien pour lequel on peut voter. Non, non, nous ne sommes pas satisfaits et nous ne serons satisfaits que le jour où la justice se déchaînera comme les eaux, et que la justice sera comme un fleuve puissant. Je ne suis pas sans savoir que certains d'entre vous arrivent ici après maintes épreuves et tribulations. Certains d'entre vous viennent directement des cellules étroites des prisons. Certains d'entre vous viennent des régions où votre quête pour la liberté vous a laissé meurtris par les orages de la persécution et renversés par le vent de la brutalité policière. Vous êtes les vétérans de la souffrance créative. Persévérez dans l'assurance que la souffrance non méritée vous apportera rédemption. Retournez dans le Mississippi, retournez en l'Alabama, retournez en Géorgie, retournez en Louisiane, retournez dans les ghettos et quartiers pauvres de nos villes du Nord, en sachant que cette situation, d'une manière ou d'une autre, peut être et sera changée. Ne nous complaisons pas dans la vallée du désespoir. Je vous dis aujourd'hui, mes amis, que malgré les difficultés et les frustrations du moment, j'ai quand même un rêve. C'est un rêve profondément enraciné dans le rêve américain. J'ai un rêve qu'un jour, cette nation se lèvera et vivra la vrai signification de sa croyance : "Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que les hommes naissent égaux". J'ai un rêve qu'un jour, sur les collines de terre rouge de la Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. J'ai un rêve qu'un jour même l'Etat de Mississippi, un désert étouffant d'injustice et d'oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice. J'ai un rêve que mes quatre enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur caractère. J'ai un rêve aujourd'hui. J'ai un rêve qu'un jour l'Etat de l'Alabama, dont le gouverneur actuel parle d'interposition et de nullification, sera transformé en un endroit où des petits enfants noirs pourront prendre la main des petits enfants blancs et marcher ensemble comme frères et soeurs. J'ai un rêve aujourd'hui. J'ai un rêve qu'un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne seront nivellées, les endroits rugueux seront lissés et les endroits tortueux seront fait droits, et la gloire du Seigneur sera révélée, et tous les hommes la verront ensemble. Ceci est notre espoir. C'est avec cet espoir que je rentre dans le Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres. Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, "Mon Pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pélerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse." Et si l'Amérique veut être une grande nation, ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du New Hampshire. Que la liberté retentisse des montagnes puissantes de New York. Que la liberté retentisse des Hauts Alleghenies de la Pennsylvanie! Que la liberté retentisse des Rockies enneigées du Colorado! Que la liberté retentisse des beaux sommets de la Californie! Mais aussi que la liberté retentisse Des Stone Mountains de la Géorgie! Que la liberté retentisse des Lookout Mountains du Tennessee! Que la liberté retentisse de chaque colline et de chaque taupinière du Mississippi! Que la liberté retentisse! Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque Etat et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de Dieu, Noirs et Blancs, Juifs, Catholiques et Protestants, pourront se prendre par la main et chanter les paroles du vieux spiritual noir : "Enfin libres ! Enfin libres ! Dieu tout-puissant, merci, nous sommes enfin libres!" Tous les ans, on honore la mémoire de Martin Luther King lors de l'anniversaire de sa naissance le 15 janvier.
Nickoloh Posté(e) 13 février 2004 Posté(e) 13 février 2004 plus court mais tout aussi saisissant neil armstrong marche sur la lune ( ou dans les studios d'hollywood allez savoir): "un petit pas pour l'homme , un grand pas pour l' humanité..."
will_n°8 Posté(e) 13 février 2004 Posté(e) 13 février 2004 ( ou dans les studios d'hollywood allez savoir) Les américains nous auraient-ils menti ??? Au fait, ça donne quoi en VO
ricoune Posté(e) 14 avril 2004 Posté(e) 14 avril 2004 Quand la boiteuse s'en va au marché (bis), Elle n'y va jamais sans son panier (bis), Et elle descend le long de la rivière, Tortillant du cul, du cul, des fesses, et du derriere Ah jamais on n'a vu, ne verra plus, un si beau cul que celui de la boiteuse, Ah jamais on n'a vu, ne verra plus, une boiteuse avec un si beau cul sur l'air du tra la la la, sur l'air du tra, éri, éri, éra, Quand la boiteuse va voir son sergent (bis), Elle n'y va jamais sans ses gants blancs (bis), Et elle descend le long de la rivière, Tortillant du cul, du cul, des fesses, et du derriere Ah jamais on n'a vu, ne verra plus, un si beau cul que celui de la boiteuse, Ah jamais on n'a vu, ne verra plus, une boiteuse avec un si beau cul sur l'air du tra la la la, sur l'air du tra, éri, éri, éra, Quand la boiteuse s'en va au rugby (bis), Elle n'y va jamais sans son mari (bis), Et elle descend le long de la rivière, Tortillant du cul, du cul, des fesses, et du derriere Ah jamais on n'a vu, ne verra plus, un si beau cul que celui de la boiteuse, Ah jamais on n'a vu, ne verra plus, une boiteuse avec un si beau cul sur l'air du tra la la la, sur l'air du tra, éri, éri, éra,
ricoune Posté(e) 14 avril 2004 Posté(e) 14 avril 2004 celle la j el'adore sa s'appelle : les fêtes de mauléons :: JUSQU'AU PLUS PETIT COIN DE NAVARRE DE LA SOULE ET MEME DU LABOURD ON PARLE DE MAULEON LICHARRE AVEC ENVIE ET BEAUCOUP D'AMOUR DE MAULEON ET SES SUPERBES FETES SI VIVANTES, SI PLEINES D'ENTRAIN DE SES ARTS ET DE D'SSOUS LA GOGUETTE DE SON BEAU FOLKLORE SOULETIN FARANDOLE, QUI S'ENVOLE POUR LES FETES DE LA ST-JEAN JOLIES FILLES QUI PETILLENT DANS LES BRAS DE LEURS CHERS AMANTS CAVALCADES, SERENADES IRRINZINAS PLEINES DE CHANSONS NUITS D'IVRESSE, ALEGRESSES TOUT ÇA C'EST LES FETES DE MAULEON (BIS) VENEZ DONC UN PEU VOIR LE PROGRAMME VOUS ME DIREZ S'IL EST VRAIMENT BEAU VOUS Y TROUVEREZ MESSIEURS, MESDAMES L'ETENELLE COURSE DE CHEVAUX DE SPLENDIDES PARTIES DE PELOTE ET UN CHOIX DE DANSEURS SOULETINS FANDANGO DANS L'AUBERGE GAVOTTE TOUT ÇA DANS L'AMBIANCE DES BONS COPAINS REFRAIN DE SPLENDIDES PARTIES DE PELOTE ET LA BALLE S'EN VA BALLADER DE SUPERBES JOUEURS LA GALOPENT ET PAR CHANCE ARRIVENT A L'ATTRAPER PUIS A L'AIDE D'UNE CHISTERA ILS L'ENVOIENT TOUT LA-BAS BALLADER A BABA, A BABA, A BAYONNE OU L'ON NE BOIT QUE POUR S'AMUSER REFRAIN LA NUIT C'EST LA COHUE GENERALE DU VIEUX PORT AU FIN FOND DU PLACHO FAUT VOIR UN PEU COMMENT SE PREPARENT NOS MARIXUS ET NOS RAMUNTXOS LES FOUGUEUX BERGERS DE NOS MONTAGNES ET LA JEUNESSE DES ENVIRONS ONT DESERTE CE SOIR-LA LA CAMPAGNE POUR GOUTER AUX FETES DE MAULEON REFRAIN
Toulousiano Posté(e) 18 avril 2004 Posté(e) 18 avril 2004 Ideal J - Pour une poignée de dollars Pour une poignée de dollar, conn*** Que ferais-tu pour une poignée de dollar, conn*** ? Tu sais ce que je ferais pour une poignée de dollar, conn*** Je te braques même pour du toc Puisque la vie n'est remplie que de tapettes et Que ces profs qui avant d'avoir des preuves me montraient du doigt Je m'en vais combattre le mal par le mal accompagné de.. armé de.. et me voilà Je guette ma proie près du distributeur patiemment je suis et j'attends mon heure Puis vient un moment où les choses se précipitent mais qu'est-ce qui se passe? ferme ta gueule passe moi l'argent, tout va trop vite Les coups fusent et le rixe lorsque la victime résiste on ne se retourne jamais C'est juste une autre sur la liste, mais cette fois-ci Malheureusement les choses ont mal tournés, Me voilà prisonnier arrêter garder en GAV Les inspecteurs essayent en vain de me faire cracher le morceau Utilisent la menace pour que je craque, balance mes pins-co Mais pas question les vrais nins-bo ne balancent pas Alors je ferme ma gueule j'assume, et je reste froid Devant les insultes répétés des policiers Qui me rappellent soudainement qu'ici je suis qu'un étranger Et obliger on passe photo empreinte photo empreinte T'es un K'1fry mafioso ? fait en moi monter la crainte L'algérien d'à-côté voudrait seulement fumer Mais à force d'être insulté il voudrait même se suicider Ils rentrent à huit dans la cellule, le tabassent à mort Ce fils de pute m'a salie ..... j'en souhaite la mort À qui le tour dès que t'es à moi ce jour J'ai senti la patate, mais crois moi, regarde je ne suis pas Rodney King De plus je n'ai commis qu'un petit délit car on me ture-tor on me garde ici Sûr putain je pète un plomb en plus s'il croit en plus que je vais donner des noms S'il savait qu'il perdrait beaucoup moins de temps en me suçant la bitte Maintenant tu sais ou j'habite le 94310 avec nous il n'y a pas de pistes Sais-tu ce que je ferais pour une poignée de dollars, conn*** Braquage en temps de crise Refrain Que ferais-tu pour une poignée de dollar, conn*** Il sera peut-être trop tard quand tu le sauras, conn*** Crois-tu que la misère dans le monde est illusoire Et qu'on apprécie d'avoir les nôtres au parloir Écoute, regard, pour une poignée de dollar Les jeunes sont prêts à aller au placard Deal, biz, braquage en temps de crise Espèce de conn***, accuse le pouvoir, écoute Ma foi, vaut mieux un petit chez soi qu'un grand chez les autres Maintenant on n'a plus le choix on veut un grand chez nous chez les autres Matte, observe pour un simple regard Les jeunes du ghetto s'énervent sont prêts à aller au placard Écoute, jeune étranger tes parents ont servis de main d'oeuvre pour reconstruire la France Et désormais elle oeuvre dans un autre sens on sait de toi elle s'en balance Elle a plus besoin de toi donc forcément elle brise tes chances Et cela dès ton enfance tu danses entre stupéfiants violence et les coups de balance Tu te considères être tomber par l'inexpérience Et le "Chétane" ricane dans l'ombre car elle mène la danse Je le savais mais j'ai foncé la tête baissée Pas le temps de pensée tu t'es déjà retrouvé avec l'envie de tout défoncer Me demander ce que je ferais pour une poignée de dollar C'est demander à Chirac ce qu'il ferait pour conserver le pouvoir Chercher à impressionner personne d'ailleurs si j'oserais d'autres choses Je ferais flipper plus d'une personne Je te parle de ça et à l'époque évidemment j'étais qu'un môme Si j'étais pas parti en couille je voulais juste être autonome (Autonome tu vois ce que je veux dire) Nous comprendrons tout ceux qui doivent comprendre La fin et les moyens rien d'inédit je veux pas te l'apprendre je remercie Dieu Si aujourd'hui tu as la chance de m'entendre sur un CD Alors j'aurai peut-être pu t'agresser pour tout te prendre J'ai lutté et j'continue pour éviter la prison j'ai mal conçu qu'ils ont eu l'État n'as pas eu ma raison Les gens sont victimes du sort car sur leur chemin trop de désillusions Parler de leur destin ne peut se faire avec dérision Écoute, regarde pour une poignée de dollar Les jeunes sont prêts à aller au placard Deal, biz, braquage en temps de crise Espèce de conn***, accuse le pouvoir, écoute Refrain
The_small_mouse Posté(e) 18 avril 2004 Posté(e) 18 avril 2004 Sofia Mestari Ne pars pas -------------------------------------------------------------------------------- J'ai tout appris de toi J'ai vaincu mes incertitudes J'ai pleuré dans tes bras J'ai même changé mes habitudes J'ai bousculé ma chance pour épouser tous tes repères Comme une évidence et du mieux que j'ai su faire S'il n'en reste qu'un que tu sois celui-ci Que tu restes mien qu'il en soit ainsi Je t'en prie {Refrain:} Ne pars pas ou je meurs avant l'heure si je perds mon essence Ne pars pas ne laisse pas mon âme seule sans croyance La douleur et la peur si je croise ton absence Ne pars pas me lâche pas j'ai besoin de ta présence Et puis retrouver le désir des premières fois Jusqu'au dernier mot dit pour en arriver là Je n'ai pas vu venir la lame qui s'enfonce Et le mal est pire dans la différence Je t'en prie {au Refrain} Ne pars pas ou je meurs avant l'heure si je perds mon essence Ne pars pas ne laisse pas mon âme seule sans croyance La douleur et la peur si je croise ton absence Ne pars pas ou je pars avant toi {au Refrain} J'ai besoin de ta présence Ne pars pas
Toulousiano Posté(e) 18 avril 2004 Posté(e) 18 avril 2004 Ideal J - R.A.S. ................................................... Manu Key J'ai un message authentique pour les frères et les surs J'porte l'Afrique dans l'cur, avec l'équipe j'défend les couleurs Puisqu'il faut combattre, autant le faire avec rage Manu Key, Kéry James, pour faire passer le message C'est le jour J, je suis armé d'toutes ces conneries Lever 6H du mat', sale bouffe, vos trellis khaki Tu t'imagines dix mois sans meufs, l'ambiance est malsaine Chez nous on baise l'armée d'Orly, Choisy à Vitry Sur Seine Toutes sortes de magouilles, pour faire flipper le psychiatre J'raconte tragédie sur tragédie, réformé p4 T'd'façon on s'ra jamais des bidasses, mais personne n'est surhomme Pour moi, c'qui fonctionne c'est l'flingue et l'microphone Pour tous les R.A.S., qu'l'état n'a pas t'nus en laisse Pour tous les R.A.S., j'lance ce texte car je reste Un MC trop militant voilà ce que je suis J'ai pas l'temps, j'emmerde le système, Son drapeau Bleu Blanc Rouge Pour le sang, bleu pour l'uniforme, police, Blanc pour le FN raciste, j'suis réformé au service Kéry James Général Manu Key, j't'ai reçu cinq sur cinq, j'porte le verdict Pour le Different Teep, j'suis Réformé Au Service, réformé au supplice Refrain Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire J'compte pas les laisser faire, et foutre dix mois d'ma vie en l'air Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire Hier encore j'ai souffert, de leur violence policière Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre Kéry James Est-ce que tu m'vois ? Qui ? Moi, Kéry James ! Un, deux pour le trois, au service de l'état Crois-tu que, moi, j'accepterai de donner dix mois de ma vie à ces gens là ? Aucunement recensée, mais sensée, j'decrète d'office Pas d'sacrifice, gratis, j's'rai reformé au service Alix, originaire des terres d'Afrique, je suis de l'esclave le fils Je suis par pression historique, pacifique, Au MIC, j'rêve de manier l'automatique Pour une cause qui s'rait plus sociale qu'économique Et leur politique d'opportunistes m'irritent Alors please, on réédite un underground hit Qu'indiquent que j'n'irai pas au service militaire Qu'là-bas, y a rien à faire et qu'dans mon quartier c'est d'jà la guerre Subiront la sanction, j'incarne mes positions Ma vie m'appartient, j'suis pas à votre disposition Seul le tout-puissant, bienveillant et omniscient Dispose de mon souffle, de mes forces et de mon sang Refrain Manu Key Manu Key, Manu Key Ils me disent terroriste, soldat en puissance, par dix Sans trêve je pars pas pour faire la guerre, sans qu'il y ait d'armistice Si demain j'pars au combat, c'est seulement pour les miens Au nom d'la Mafia Africaine, contre l'état, ces chiens Sonnent le couvre-feu, après une heure du crime Dans mon quartier c'est d'jà la guerre, faut pas qu'l'état assassine Les gosses, nos entrailles, et dans nos curs, ils entaillent, Laissent des cicatrices, et parc'qu'y a eu bataille La vie est trop nice, alors je vis pour survivre Rien à foutre au service US pour les porcs qui s'ennuient R.A.S. 1, R.A.S. 2, R.A.S. 3 Lil' Key, Manu Key Refrain Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire J'compte pas les laisser faire, et foutre dix mois d'ma vie en l'air Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire Hier encore j'ai souffert, de leur violence policière Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire J'compte pas les laisser faire, et foutre dix mois d'ma vie en l'air Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire Hier encore j'ai souffert, de leur violence policière Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire Là-bas, y a rien à faire, que l'état nique sa mère
Invité Lelenne Posté(e) 19 avril 2004 Posté(e) 19 avril 2004 My Immortal - Evanescence i'm so tired of being here suppressed by all of my childish fears and if you have to leave i wish that you would just leave because your presence still lingers here and it won't leave me alone these wounds won't seem to heal this pain is just too real there's just too much that time cannot erase when you cried i'd wipe away all of your tears when you'd scream i'd fight away all of your fears and i've held your hand through all of these years but you still have all of me you used to captivate me by your resonating light but now i'm bound by the life you left behind your face it haunts my once pleasant dreams your voice it chased away all the sanity in me these wounds won't seem to heal this pain is just too real there's just too much that time cannot erase when you cried i'd wipe away all of your tears when you'd scream i'd fight away all of your fears and i've held your hand through all of these years but you still have all of me (pour Damien)
Toulousiano Posté(e) 19 avril 2004 Posté(e) 19 avril 2004 My Immortal - Evanescence c'est ma chanson du moment je la dédicace a ........
13obscur Posté(e) 9 juin 2004 Auteur Posté(e) 9 juin 2004 Le déserteur Monsieur le président Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps. Je viens de recevoir Mes papiers militaires Pour partir à la guerre Avant mercredi soir. Monsieur le président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens. C'est pas pour vous fâcher, Il faut que je vous dise, Ma décision est prise, Je m'en vais déserter. Depuis que je suis né, J'ai vu mourir mon père, J'ai vu partir mes frères Et pleurer mes enfants. Ma mère a tant souffert Qu'elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes Et se moque des vers. Quand j'étais prisonnier, On m'a volé ma femme, On m'a volé mon âme, Et tout mon cher passé. Demain de bon matin Je fermerai ma porte Au nez des années mortes, J'irai sur les chemins. Je mendierai ma vie Sur les routes de France, De Bretagne en Provence Et je crierai aux gens: «Refusez d'obéir, Refusez de la faire, N'allez pas à la guerre, Refusez de partir.» S'il faut donner son sang, Allez donner le vôtre, Vous êtes bon apôtre Monsieur le président. Si vous me poursuivez, Prevenez vos gendarmes Que je n'aurai pas d'armes Et qu'ils pourront tirer. Boris Vian
phi Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 C'est plus léger que les Brassens, Ferré, Vian et autres, mais comme j'aime bien Renaud, voilà un exemple : C'est a peine l'aurore et je tombe du plume Mon amour dort encore du soleil de l'enclume Je la laisse a ses reves ou je n'suis surement pas Marlon Brando l'enleve qu'est-ce que je foutrais la Sur un cheval sauvage ils s'en vont, ridicules Dehors y'a un orage Ils sont mouilles c'est nul Moi j'affute mes gaules pour partir a la peche Musette sur l'epaule, saucisson, biere franche Quand le soleil arrive mon amour se reveille Le coeur a la derive les yeux pleins de sommeil Telephone a sa mere qu'est sa meilleure amie Paroles ephemeres et tous petits soucis J'aimerais bien entendre ce qu'elle dit de moi C'est surement tres tendre, enfin bon, j'entends pas Moi je plante mon hamecon tout en haut d'une branche Je tire sur le nylon, me ruine une phalange Le jour avance un peu mon amour se maquille Un oeil et puis les deux, c'est futile mais ca brille Qui veut-elle seduire, je suis meme pas la Je me tue a lui dire qu'elle est mieux sans tout ca Que ses yeux sont plus bleus quand ils sont dans ma poche Et que vouloir trop plaire c'est le plaisir des moches Moi je sors une truite d'au moins 120 kilos J'ai pitie, trop petite, je la rejette a l'eau Il est midi passe je reviens les mains vides Trop de vent, pas assez l'eau était trop humide Lors je rentre chez moi triste comme un menhir Mais personne n'est la pour m'entendre mentir Mon amour est parti mais parti pour toujours J'ai perdu mon amour et j'ai perdu ma vie J'emmenerai dimanche si je peux la gamine S'emmeler dans les branches a la peche a la ligne
Invité Lelenne Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 SEETHER (feat. Amy Lee) "Broken" : I wanted you to know I love the way you laugh I wanna hold you high And steal your pain away I keep your photograph I know it serves me well I wanna hold you high And steal your pain Cause Im broken when Im lonesome And I dont feel right when youre gone away The worst is over now And we can breathe again I wanna hold you high And steal your pain away Theres so much left to learn And no one left to fight I wanna hold you high And steal your pain Cause Im broken when Im open And I dont feel like I am strong enough Cause Im broken when Im lonesome And I dont feel right when youre gone away Cause Im broken when Im lonesome And I dont feel right when youre gone away
NicoPaviot Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 Déserteur ------------------------------------------------------------------------------- Monsieur le président Je vous fais une bafouille Que vous lirez sûrement Si vous avez des couilles Je viens de recevoir Un coup d'fil de mes vieux Pour m'prévenir qu'les gemdarmes S'étaient pointés chez eux J'ose pas imaginer C'que leur a dit mon père Lui, les flics, les curés Et pis les militaires Les a vraiment dans l'nez P't-être encore plus que moi Dès qu'il peut en bouffer L'vieil anar' y s'gêne pas L'vieil anar' y s'gêne pas Alors y parait qu'on m'cherche Qu'la France a besoin d'moi C'est con, j'suis en Ardèche Y fait beau, tu crois pas J'suis là avec des potes Des écolos marrants On a une vieille bicoque On la retappe tranquillement On fait pousser des chèvres On fabrique des bijoux On peut pas dire qu'on s'crève L'travail, c'est pas pour nous On a des plantations Pas énormes, trois hectares D'une herbe qui rend moins con Non, c'est pas du ricard Non, c'est pas du ricard Monsieur le président Je suis un déserteur De ton armée de glands De ton troupeau d'branleurs Ils auront pas ma peau Toucheront pas à mes cheveux J'saluerai pas l'drapeau J'marcherai pas comme les bufs J'irai pas en Allemagne Faire le con pendant douze mois Dans une caserne infame Avec des plus cons qu'moi J'aime pas recevoir des ordres J'aime pas me lever tôt J'aime pas étrangler le borgne Plus souvent qu'il ne faut Plus souvent qu'il ne faut Puis surtout c'qui m'déplait C'est que j'aime pas la guerre Et qui c'est qui la fait Ben c'est les militaires Ils sont nuls, ils sont moches Et pis ils sont teigneux Maintenant j'vais t'dire pourquoi J'veux jamais être comme eux Quand les Russes, les Ricains Feront péter la planete Moi, j'aurais l'air malin Avec ma bicyclette Mon pantalon trop court Mon fusil, mon calot Ma ration d'topinambour Et ma ligne Maginot Et ma ligne Maginot Alors me gonfle pas Ni moi, ni tous mes potes Je serai jamais soldat J'aime pas les bruits de bottes T'as plus qu'a pas t'en faire Et construire tranquilos Tes centrales nucléaire Tes sous-marins craignos Mais va pas t'imaginer Monsieur le président Que j'suis manipulé Par les rouges ou les blancs Je n'suis qu'un militant Du parti des oiseaux Des baleines, des enfants De la terre et de l'eau De la terre et de l'eau Monsieur le président Pour finir ma bafouille J'voulais t'dire simplement Ce soir on fait des nouilles A la ferme c'est l'panard Si tu veux, viens bouffer On fumera un pétard Et on pourra causer On fumera un pétard Et on pourra causer Renaud
koptolosa Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 Je veux vivre aut'chose que la routine, Voir aut'chose que du béton. C'est pas qu'j'tiens à me plaindre mais j'ai l'impression de tourner en rond. Murs délabrés, épaves, toxs et caniveaux encombrés, Type d'environnement, et d'contexte, M'inspirant qu'à esquiver Ne me demande pas pourquoi j'ai pas l'sourire, Les tours m'dépriment à mourir : A m'pourir l'esprit, j'suis obsédé par l'envie d'partir T'as pas vu l'délire ? Les frères s'montent dessus et s'déchirent, Attirés par le biz et poussés par la fainéantise, Je veux réunir mes forces, bomber mon torse et m'dorer en Corse, 19 piges que j'en bave, à la 20ème faut p'têt' que j'amorce. Que j'change de paysage, qu'j'mécarte de l'engrenage, J'compte pas finir ici et encore moins sombrer en cage. C'est les nerfs et la déprime qui m'poussent à écrire. Quand j'respire l'air pollué d'Paris, qu'j'vois l'shit bouffer mes frères. Regarde si c'est pas triste ; ici les toxs poussent comme des fleurs, En grandissant j'me dit, la France est p'têt' un leurre. Et m'demande pas pourquoi je n'ai pas l'sourire, J'sais pas de quoi demain est fait ; Y'a ceux qui luttent pour s'en sortir et ceux qu'ont tout hérités, Qu'ont rien mérité, on part pas tous à égalité, Mais nous, le peu qu'on a, au moins, on peut dire qu'on l'a gagné. On fait avec c'qu'on a tant qu'on a pas goûté au luxe. La richesse pourri l'esprit, la pauvreté l'endurci, De toute manière qu'j'sois pauvre ou riche, pas d'importance, J'réussirais c'est promis, j'lâcherais mes phases au cro-mi ; pas b'soin d'rajouter d'to-mi Pas b'soin d's'la raconter, pas b'soin d'jouer les gangsters, Et pour l'inspiration, seul notre vécu fera l'affaire. J'ai tellement d'choses à dire, que j'arrive même plus à m'taire, J'veux m'casser d'ici, qu'ce soit en 1ere classe ou en charter, Ne pas clamser ici, d'overdose, ni même à la guerre, J'm'investis dans l'pe-ra, et c'est comme ça, qu'j'fait mes affaires. J'm'accroche à un but précis, solide comme un récif, Récit réfléchi, paraîtrait même qu'j'ai l'air agressif, imprévisible, Scred Connexion, indivisible Jamais dans la tendance mais toujours fixé sur la même cible. Paris me lasse, rien qu'à l'odeur, Ca sent la Kro et l'receleur, J'veux vivre aut' chose, une vie meilleure, Ici, l'bonheur n'est pas à l'heure. Paris, capitale du vice ou j'essaie d'prendre de l'ampleur, Sans tomber dans leur piège, pour pas finir bandit ou voleur. Appelle moi le trouble-fête quand j'viens cramer tes ambiances foireuses, T'as vu la merde que c'est ? C'est pas une solution, d'fermer les yeuz ! Tourner sa veste et son dos, jeter ses projets à l'eau, Se saouler tous les soirs, et s'prétendre être au bout du rouleau. On est plongés dans l'décor où les gens droits ne restent pas longtemps, C'est pour ca qu'il faut pas chômer et s'en sortir l'plus rapidement !!! Scred Connexion, Génération Keskya !!! haroun scred connexion
koptolosa Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 LYRICS : SHURIK'N - "Manifeste" Je porte les sales manies du pays dans le coeur Consiste à peine Et on est 13% chez toi Tu voudrais bien quon y retourne, hein? Je débarque dans lunivers des nantis Les claques se perdent dans les geules des dandys Cest pas le pays de Candy Des Ghandi, ici y'en a pas Des mecs honnêtes aux bandits La France taxe les types au RMI Eh, ouais, 10%, qu'est-ce qu't'en dis? Quant à moi, je bosse à 50 pour lEtat proxo Pour létat de mes droits Je suis lune de ses putes préférée Quoi? Le 10% de ce putain de cerveau Cest la servitude dans les block à Clervaux Ou nos ganaches qui servent au Macdo Ya pas darrache qui se paie pas un jour Le fifty-fifty devient tout nada Si tu captes, superbe lifting ??? Plein de strass à Paname A lAssemblée on ignore ce qui se passe sur le macadam 20% de mes potes aujourdhui s'cament Ya plus de révoltes en vue [c'est mort] Ce putain de pouvoir achète à quel prix le calme Sur le terrain de football Ce petit gosse en veut Les 99% échouent et nous on prie tous en Dieu On est les seuls à croire au Père Noël jusquà 30 ans, vieux 80% des gens portent le triple 6 en eux Marcher sur la tronche des autres Pour une vie glauque et 300 types Possèdent 50% des richesses du globe Cest normal, leurs pantins ont lindex sur un bouton Et ce putain de peuple broute comme un mouton Chez moi, la flamme fait 30%, attends Je fais mes comptes, et ça veut dire Quy a minimum un type sur 3 quon devra claquer "Rebhak" au menu ce soir, fiston, qu'es-ce qu't'en dis? Fini la paix à Marseille On va rallumer lincendie En ce lendemain délections, jai si peur pour les miens On prend les devant, garçon, pour museler les chiens Ah, chienne de vie Prédestiné à trop de cavales historiques, non Front de libération de Mars, canal historique Lis dans mes yeux, trop de rancoeur Trop grand coeur Trop con, je suis pas ton chanteur Tueur dcollabo, poète planteur Planté au piquet depuis la maternelle Couvé par le voile de lamour maternel Mon amour dit que rien nest éternel Ni des proches, ni de ce quil y a dans tes poches Moi, jen ait rien à foutre de la fauche Pleurer quand on accroche des sacoches Refrain : [AKHENATON] Ya pas de degré dinclinaison de mon corps Linclinaison de ma tête Est une réponse directe à linclinaison de mon coeur [sHURIK'N] Pour battre les accusée, ma ville trône Où matrones ? Je griffonne ces lignes sur un vieux bout de papier Refrain Courber léchine, connais pas Je mettrai pas le genou à terre Je resterai fier au nom de mes frères Je scèle ces mot dun sceau de fer Refrain Mes phrases dérangent toujours aux alentours Jarrêterai peut-être le jour où les êtres Elus au deuxième tour cesseront de faire les sourds Je donne ma vision des choses, pas rose Aux écoutés qui veulent La prose est parfois morose Quest-ce que jy peux Mon âme déclame ce que voient mes yeux Cest ce que jaime faire Cest ce que jaime écrire, ce que jaime entendre Des textes vrais, sur des faits qui donnent envie de rendre Faut pas vous méprendre Le délire noue mon cerveau à lannée, basané Je perd pas de vue ceux qui veulent métendre Prêt à zapper, cest mieux que de se rendre Il fallait pas nous chercher Fallait pas croire quon allait Rester là, les bras croisés A boire un thé Quand la haine dure comme lamitié Tenace, elle persiste, invite les ex-noirs sur la piste Les lettres sautent Pieds noirs et italiens grossistent la liste Le kyste et les temps empirent Et si on le dit pas nous, qui va le dire Et si on lécrit pas, qui va le lire Qui va sen souvenir Le pire, cest quon est pas sûr que ça serve Trahir, filerait la gerbe Fuire nexiste pas Trop de gens courtisent Gégène Sèment la gangrène Sur Mars pendant dix ans, jai porté ce nom avec fierté Maintenant, jhésite à le prononcer Jamais lidée ne ma éfleurée Fanée, la rose du sud séteint Même Notre Dame pleure Sous la chaleur les coeurs flétrissent Toujours le front en sueur La peur de lautre donne des ailes On se sent moins seul au pluriel La tête pleine de rien Les cons remplissent des bulletin criminels Ils oublient et puis LEtat jouit, les jeunes jouent les bandits Les parents triment, susent la vie Avec un job de jour, un job de nuit Un mec sur trois me vise et ça fout les glandes Pense quil y en a plus dune centaine Auxquels je fais la bise Qui cachent un couteau dans leur manche Le soupçon plane désormais A tout moment, sur ce fait Quelquun peut me saluer Du genre: salut poto, ciao enfoiré Même cachés, les pauvres mauront pas La fierté du Hip Hop sera pas la honte du pays Je le dis en vrai, mais je croise les doigts Les mains aussi Je prie pour première fois Que la catin daujourdhui, redevienne princesse dautrefois
Moa Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 marcel et son orheste: ma soeur (En route!) J'adore lui faire peur La faire hurler de terreur Tendre un élastique Devant ses yeux hystériques Dans sa chambre bien rangée J'ai tout dégueulassé, Dessiné des lunettes Sur ses posters de vedette {Refrain:} J'adore faire chier ma soeur J'adore faire chier ma soeur J'adore faire chier ma soeur J'adore faire chier ma soeur Dans son journal intime J'écris de jolies rimes Etaler des crottes de nez Sur les photos de son fiancé Tartiner de Nutella Son CD de STARMANIA Ca me rend plus heureux Que ma console de jeux {au Refrain} Marcel et son orchestre Femme mûre -------------------------------------------------------------------------------- (Allez, un p'tit sourire) Il y a longtemps longtemps Que t'es tombée de l'arbre, femme mûre Y'a même une paire d'années Que t'as croqué la pomme, femme mûre Parce que t'as simplement Le courage d'être toi, J'aime ton nez, tes dix doigts Et tes poils sous les bras Un kilo superflu Tu bois pas la ciguë, femme mûre Un peu de cellulite C'est pas la méningite J'aime tes robes à volants Ton super déhanchement {Refrain:} Comment comment comment comment tu fais Pour me rendre dingue dingue dingue dingue (Vous voulez qu'j'vous aide à...porter vos sacs?) Tu m'écoutes amusée Tu t'laisses baratiner Puis tu dis d'un ton cru Toi t'en veux à mon cul Dans toutes mes tentatives J'suis con comme une endive, femme mûre (Euh, c'est pas trop dur d'avoir un mari en déplacement?) Je sais pas dire combien tu comptes T'enflammes mon coeur, Je peux pas, j'me sens niais Faut qu'je fasse mon branleur J'accumule les boulettes J'm'y perds dans mes sornettes, femme mûre {au Refrain} J'ai brûlé de l'encens J'ai tout cleané chez moi, Descendu les poubelles J'ai même fait la vaisselle J'ai acheté au marché Des tas de légumes frais Qu'j'ai lavé, découpé Et mis à mijoter J'attends que toi Pour partager tout ça J'attends que toi J'ai même changé les draps J'attends que toi Pour partager tout ça J'attends que toi J'ai même changé les draps Marcel et son orchestre Où sont passées mes pantoufles? -------------------------------------------------------------------------------- A tapiner toute la journée Le soir tu as Le soir tu as des cloques aux pieds Alors tu gueules tu n'en peux plus de marcher Toi tu voudrais Mettre tes pieds à tremper Oh ! Oui ! Mais où sont passées mes pantoufles ? Tous les jours tu vas au boulot Te faire brancher Par les bourgeois par les salauds Et toi tu pleures cachée sous ton manteau Car tu as mal, tu en as plein le dos Oh ! Oui ! Mais où sont passées mes pantoufles ? {Refrain:} Où sont passées-ah-ah-ah-mes pantoufles ? Ah-ah-ah-où sont passées mes pantoufles ? Où-sont-passées-mes-pantoufles !? Un jour ou l'autre tu vas craquer Et t'achèteras T'achèteras des s'melles compensées Tu f'ras l'trottoir sans avoir mal aux pieds T'auras même plus tes arpions à masser Oh ! Oui ! Mais où sont passées mes pantoufles ? C'est décidé tu laisses tomber T'as raccroché T'as raccroché tes semelles trouées Tes brodequins tes godillots cirés Tes bottes vernies Tes hauts talons-aiguilles Et puis tu as retrouvé tes pantoufles
Moa Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 et une derniere concernant le foot(eh oui ils sont supoerters lensois) Marcel et son orchestre Raoul et alain -------------------------------------------------------------------------------- Raoul et Alain sont deux supers copains Les jours où y'a du foot faut pas qu'les meufs elles nous les broutent Jeannine et Séverine sont leurs deux copines On n'est pas des bibelots y'en a marre de ces deux blaireaux {Refrain:} T'aurais pas dû fâcher Raoul Sérieux ! tu n'l'as pas vu quand il se met en boule T'aurais pas dû facher Raoul Lui allumer ses neurones de pit-bull Elles font qu'à se moquer n'arrètent pas Et pour nous énerver elles bougent l'antenne de la télé Elles font des farandoles, Ricanent font les mongoles Font aboyer Tarzan pour nous gâcher Thierry Roland {au Refrain} Elles se sont saoulées à nos bières ah! ah! Et hurlent comme des supporters ah! ah! On s'est chargé de les calmer C'est nous qu'les flics ont embarqués Et depuis qu'ont est en prison ah! ah! Chaque fois qu'y'a une retransmission j'ai une pensée pour les nanas ich liebe dich nicht, du liebst nicht mich ah! ah! {au Refrain}
FF Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 Le clair de lune à Maubeuge, chanté par Bourvil Je suis allé aux fraises Je suis revenu de Pontoise J'ai filé à l'anglaise Avec une Tonkinoise Si j'ai roulé ma bosse Je connais l'univers J'ai même roulé carrosse Et j'ai roulé les airs Et je dis non Non non non non Oui je dis non Non non non non Non non non non Tout ça n'vaut pas Un clair de lune à Maubeuge Tout ça n'vaut pas Le doux soleil de Tourcoing (Coin coin !) Tout ça n'vaut pas Une croisière sur la Meuse Tout ça n'vaut pas Des vacances au Kremlin... Bicêtre J'ai fait toutes les bêtises Qu'on peut imaginer J'en ai fait à ma guise Et aussi à Cambrai Je connais toutes les mers La mer rouge la mer nouère La mer diterranée La mère de Charles Trenet Et je dis non Non non non non Oui je dis non Non non non non Non non non non Tout ça n'vaut pas Un clair de lune à Maubeuge Tout ça n'vaut pas Le doux soleil de Roubaix (Coin coin !) Tout ça n'vaut pas Une croisière sur la Meuse Tout ça n'vaut pas Faire du sport au Kremlin... Biceps
Jean Jacques GOLDMAN Posté(e) 9 juin 2004 Posté(e) 9 juin 2004 J'ai une tendresse particuliere Pour ces filles qui n'ont pas de manieres Les hospitalieres les dociles Vous les appelez les filles faciles Celles qui ne marchandent pas leur corps Ni pour des mots ni pour de l'or Pour qui faut pas tout un débat Ni pour leur haut ni pour leur bas Pour quelques notes de guitare Elles dormiront un peu plus tard Elles disent que les matins c'est bien Elles disent qu'a deux c'est encore mieux Les inéspérées les timides, Celles qui comprennent sans qu'on leur dise Pour qui ne suffit qu'un regard Pour que tout s'allume en un soir Petite chanson de reconnaisance Pour ces stars de mon adolescence Je n'en ai oublié aucune Cheres et precieuses une a une Celles qui m'ont trouvé consomables Avant que j'sois dans les hits parades Dans les bals ou les MJC, Comme au plus haut des colysées Celles qui n'echangent pas leur plaisir, Pour ce qu'on pense ou ce qu'on va dire Qui disent OK pour les enfers contre un peu de paradis sur terre Des ptits moments piqués au fraude Comme un automne au pays chaud Plein du gout des baisers volés Toujours un ptit peu plus sucré Sans qu'on en parle ou qu'on y pense Sans apres promis ni jurés Ca na pas la moindre importance Quand c'est l'amour qu'on aime aimé Ce soir je veux leur rendre hommage Ca sera la seconde fois Quelle sachent qu'il m'ai dommage De ne le faire que par la voie
Toulousiano Posté(e) 11 juin 2004 Posté(e) 11 juin 2004 I Wasn't Ment To Feel This Way/Asleep At The Wheel - Suicidal Tendencies Counting on nothing,the numbers get higher Blinded by reason, you're asleep at the wheel Confused understanding, with a slip for the hold Squeeze past the pressure, you're asleep at the wheel A magical moment Is it too much of a good thing Recycled in memory was It too much of a good thing Why can't you remember Is it too much of a good thing Preserved in it's danger You're asleep at the wheel Blank stare and a whisper, but who are you judging I thought you were different You're asleep at the wheel A special assignment Is it too much of a good thing Unlocked underpressure Was it too much of a good thing Confined unforgiveness Is it too much of a good thing A new kind of danger, you're asleep at the wheel Hope in revision, slight miscalculation It all goes in stages, you're asleep at the wheel A blank stare and a whisper I thought you were different But who are you judging I thought you were different You're asleep at the wheel
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