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Posté(e)

c'est un bon sujet, et cette rubrique bistrot c'est vraiment un des points forts de ce forum;

pour will°8 cette chanson de C.NOUGARO était dans le zine Virage Ouest de février 1993,

pour trodlabal , le sampa c'est sympa, était le grand succès des BFS en 1997;

enfin fin 1992 le zine Virage Ouest grâce a Didier C. avait diffusé le refrai du Se Canta.

  • 2 semaines plus tard...
Posté(e)

Après quelques jours de haute culture, le bistrot sombre à nouveau dans les abîmes de la médiocrité (moi compris). C'est pas parce qu'on supporte une équipe de foot, qu'on doit forcément jouer les imbéciles (special dédicace à Francis Huster, Pierre Arditi et Bernard Pivot). Alors un peu de tenue je vous prie... Reprenons-nous !

Par conséquent, je remonte ce topic intéressant.

Et j'ajoute les paroles d'une chanson que je me suis réécouté récemment dans ma wature, une de ces chansons que je chante à voix haute et qui me file des frissons tellement c beau.

These mist covered mountains

Are a home now for me

But my home is the lowlands

And always will be

Some day you'll return to

Your valleys and your farms

And you'll no longer burn

To be brothers in arms

Through these fields of destruction

Baptism of fire

I've watched all your suffering

As the Batlles raged higher

And though they did hurt me so bad

In the fear and alarm

You did not desert me

My brothers in arms

There's so many different worlds

So many different suns

And we have just one world

But we live in different ones

Now the sun's gone to hell

And the moon's riding high

Let me bid you farewell

Every man has to die

But it's written in the starlight

And every line on your palm

We're fools to make war

On our brothers in arms

Dire Straits

Brothers in Arms

Posté(e)

non triste B) :

D'avoir mis son âme dans tes mains

Tu l'as froissée comme un chagrin

et d'avoir condamné vos différences

nous ne marcherons plus ensemble

sa vie ne bat plus que d'une aile

dansent les flammes, les bras se lèvent

là où il va il fait un froid mortel

si l'homme ne change de ciel

pourtant, j'ai rêvé

j'ai rêvé quon pouvait saimer

au souffle du vent

sélevait lâme, lhumanité

son manteau de sang

jirai cracher sur vos tombeaux

nest pas de vrai, nest pas de beau

j'ai rêvé quon pouvait saimer

à quoi bon abattre des murs

pour y dresser des sépultures

à force d'ignorer la tolérance

nous ne marcherons plus ensemble

les anges sont las de nous veiller

nous laissent comme un monde avorté

suspendu pour l'éternité

le monde comme une pendule

qui s'est arrêtée

j'ai rêvé quon pouvait saimer

au souffle du vent

sélevait lâme, lhumanité

son manteau de sang

jirai cracher sur vos tombeaux

nest pas de vrai, nest pas de beau

j'ai rêvé quon pouvait saimer

j'ai rêvé quon pouvait saimer

j'avais rêvé du mot AIMER

Paroles : Mylène Farmer

Musique : Laurent Boutonnat

Posté(e)

c le discours de martin luther king : allez le lire soit au bar la maison a toulouse, soit au metro de lille, soit sur le net...

Discours prononcé par Martin Luther King, Jr, sur les marches du Lincoln Memorial,

Washington, D.C, le 28 août 1963.

Il y a cent ans, un grand Américain, qui jette sur nous aujourd'hui son ombre symbolique, a signé la Proclamation d'Emancipation. Cet arrêté d'une importance capitale venait porter la lumière, comme un phare d'espoir, aux millions d'esclaves Noirs, marqués par les flammes d'une injustice foudroyante, et annonçait l'aube joyeuse qui allait mettre fin à la longue nuit de la captivité. Mais un siècle plus tard, nous devons faire le constat tragique que les Noirs ne sont pas encore libres. Un siècle plus tard, la vie des Noirs reste entravée par la ségrégation et enchainée par la discrimination.

Un siècle plus tard, les Noirs représentent un ilôt de pauvreté au milieu d'un vaste océan de prospérité matérielle. Un siècle plus tard, les Noirs languissent toujours dans les marges de la société américaine, des exilés dans leur propre terre. Alors nous venons ici aujourd'hui pour dramatiser notre condition effroyable.

Nous venons à la capitale de notre nation pour demander, en quelque sorte, le paiement d'un chèque. Quand les architectes de notre République écrivirent les textes magnifiques de la Constitution et de la Déclaration d'Indépendance, ils signèrent un billet à l'ordre de chaque américain. C'était la promesse que chacun serait assuré de son droit inaliénable à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur.

Il est aujourd'hui évident que l'Amérique a manqué à cet engagement quant à ses citoyens de couleur. Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, l'Amérique a passé au peuple Noir un chèque qui revient marqué "sans provisions". Mais nous ne saurons croire qu'il n'y a plus suffisamment de provisions dans les grands coffres d'opportunités nationaux. Alors nous venons exiger notres paiement contre ce chèque, paiement sur demande des richesses de la liberté et de la sécurité que procure la justice.

Nous venons également à cet endroit sacré pour rappeler à l'Amérique l'urgence absolue de ce moment. Ce n'est pas le moment de prendre le luxe de laisser calmer les esprits, ni de nous laisser endormir par une approche gradualiste. Il est temps de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour prendre le chemin ensoleillée de la justice raciale. Il est temps d'ouvrir les portes de l'opportunité à tous les enfants de Dieu. Il est temps de tirer notre nation des sables mouvants de l'injustice raciale jusqu'au rocher solide de la fraternité.

Que la nation ne tienne pas compte de l'urgence du moment, qu'elle sous-estime la détermination des Noirs, lui serait fatal. Cet été étouffant du mécontentement légitime des Noirs ne prendra fin qu'à l'arrivée d'un automne vivifiant qui amènera liberté et égalité. L'année 1963 n'est pas une fin, mais un début.

Ceux qui veulent croire que les Noirs seront satisfaits seulement de s'exprimer avec force auront un fàcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles comme si de rien n'était. L'Amérique ne connaîtra ni repos ni tranquillité tant que les Noirs ne jouissent pas pleinement de leurs droits civiques. Les orages de la révolte continueront à secouer les fondations de notre pays jusqu'au jour où la lumière de la justice arrivera. Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, qui est sur le point de franchir le seuil de la justice. En luttant pour prendre notre juste place, nous ne devrons pas nous rendre coupables d'actes injustes. Ne buvons pas de la coupe de l'amertume et de la haine pour assouvir notre soif.

Nous devons toujours conduire notre lutte dans un haut souci de dignité et de la discipline. Nous ne pouvons pas laisser notre protestation créative dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons atteindre ce niveau exalté où nous opposons à la force physique la force de l'âme. Le militantisme merveilleux qui a pris la communauté noire ne doit pas nous amener à nous méfier de tous les Blancs, on le voit par leur présence ici aujourd'hui, se sont rendus compte que leur destin dépend étroitement de la nôtre. Nous ne pouvons pas marcher seuls.

Et quand nous marchons, nous ne devons jurer d'aller toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas faire demi-tour. Il y en a qui demandent aux fervents des droits civiques, "Quand serez-vous satisfaits ?" Nous ne serons étre satisfaits tant que nous ne pouvons pas laisser nos corps fatigués se reposer dans les motels des routes ni les hôtels des villes.

Nous ne serons être satisfaits tant que les Noirs ne peuvent bouger que d'un petit ghetto à un ghetto plus grand. Nous ne serons être satisfaits tant qu'un Noir en Mississippi n'aura pas le droit de voter et qu'un Noir à New York ne verra rien pour lequel on peut voter. Non, non, nous ne sommes pas satisfaits et nous ne serons satisfaits que le jour où la justice se déchaînera comme les eaux, et que la justice sera comme un fleuve puissant.

Je ne suis pas sans savoir que certains d'entre vous arrivent ici après maintes épreuves et tribulations. Certains d'entre vous viennent directement des cellules étroites des prisons. Certains d'entre vous viennent des régions où votre quête pour la liberté vous a laissé meurtris par les orages de la persécution et renversés par le vent de la brutalité policière.

Vous êtes les vétérans de la souffrance créative. Persévérez dans l'assurance que la souffrance non méritée vous apportera rédemption.

Retournez dans le Mississippi, retournez en l'Alabama, retournez en Géorgie, retournez en Louisiane, retournez dans les ghettos et quartiers pauvres de nos villes du Nord, en sachant que cette situation, d'une manière ou d'une autre, peut être et sera changée. Ne nous complaisons pas dans la vallée du désespoir.

Je vous dis aujourd'hui, mes amis, que malgré les difficultés et les frustrations du moment, j'ai quand même un rêve. C'est un rêve profondément enraciné dans le rêve américain.

J'ai un rêve qu'un jour, cette nation se lèvera et vivra la vrai signification de sa croyance : "Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que les hommes naissent égaux".

J'ai un rêve qu'un jour, sur les collines de terre rouge de la Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.

J'ai un rêve qu'un jour même l'Etat de Mississippi, un désert étouffant d'injustice et d'oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice.

J'ai un rêve que mes quatre enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur caractère.

J'ai un rêve aujourd'hui.

J'ai un rêve qu'un jour l'Etat de l'Alabama, dont le gouverneur actuel parle d'interposition et de nullification, sera transformé en un endroit où des petits enfants noirs pourront prendre la main des petits enfants blancs et marcher ensemble comme frères et soeurs.

J'ai un rêve aujourd'hui.

J'ai un rêve qu'un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne seront nivellées, les endroits rugueux seront lissés et les endroits tortueux seront fait droits, et la gloire du Seigneur sera révélée, et tous les hommes la verront ensemble.

Ceci est notre espoir. C'est avec cet espoir que je rentre dans le Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres.

Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, "Mon Pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pélerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse."

Et si l'Amérique veut être une grande nation, ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du New Hampshire. Que la liberté retentisse des montagnes puissantes de New York. Que la liberté retentisse des Hauts Alleghenies de la Pennsylvanie!

Que la liberté retentisse des Rockies enneigées du Colorado!

Que la liberté retentisse des beaux sommets de la Californie!

Mais aussi que la liberté retentisse Des Stone Mountains de la Géorgie!

Que la liberté retentisse des Lookout Mountains du Tennessee!

Que la liberté retentisse de chaque colline et de chaque taupinière du Mississippi! Que la liberté retentisse!

Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque Etat et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de Dieu, Noirs et Blancs, Juifs, Catholiques et Protestants, pourront se prendre par la main et chanter les paroles du vieux spiritual noir :

"Enfin libres ! Enfin libres ! Dieu tout-puissant, merci, nous sommes enfin libres!"

Tous les ans, on honore la mémoire de Martin Luther King lors de l'anniversaire de sa naissance le 15 janvier.

Posté(e)

plus court mais tout aussi saisissant neil armstrong marche sur la lune ( ou dans les studios d'hollywood allez savoir): "un petit pas pour l'homme , un grand pas pour l' humanité..."

  • 2 mois plus tard...
Posté(e)

Quand la boiteuse s'en va au marché (bis),

Elle n'y va jamais sans son panier (bis),

Et elle descend le long de la rivière,

Tortillant du cul, du cul, des fesses, et du derriere

Ah jamais on n'a vu, ne verra plus,

un si beau cul que celui de la boiteuse,

Ah jamais on n'a vu, ne verra plus,

une boiteuse avec un si beau cul

sur l'air du tra la la la,

sur l'air du tra, éri, éri, éra,

Quand la boiteuse va voir son sergent (bis),

Elle n'y va jamais sans ses gants blancs (bis),

Et elle descend le long de la rivière,

Tortillant du cul, du cul, des fesses, et du derriere

Ah jamais on n'a vu, ne verra plus,

un si beau cul que celui de la boiteuse,

Ah jamais on n'a vu, ne verra plus,

une boiteuse avec un si beau cul

sur l'air du tra la la la,

sur l'air du tra, éri, éri, éra,

Quand la boiteuse s'en va au rugby (bis),

Elle n'y va jamais sans son mari (bis),

Et elle descend le long de la rivière,

Tortillant du cul, du cul, des fesses, et du derriere

Ah jamais on n'a vu, ne verra plus,

un si beau cul que celui de la boiteuse,

Ah jamais on n'a vu, ne verra plus,

une boiteuse avec un si beau cul

sur l'air du tra la la la,

sur l'air du tra, éri, éri, éra,

Posté(e)

celle la j el'adore sa s'appelle : les fêtes de mauléons ::

JUSQU'AU PLUS PETIT COIN DE NAVARRE

DE LA SOULE ET MEME DU LABOURD

ON PARLE DE MAULEON LICHARRE

AVEC ENVIE ET BEAUCOUP D'AMOUR

DE MAULEON ET SES SUPERBES FETES

SI VIVANTES, SI PLEINES D'ENTRAIN DE SES ARTS ET DE D'SSOUS LA GOGUETTE DE SON BEAU FOLKLORE SOULETIN

FARANDOLE, QUI S'ENVOLE POUR LES FETES DE LA ST-JEAN

JOLIES FILLES QUI PETILLENT DANS LES BRAS DE LEURS CHERS AMANTS CAVALCADES, SERENADES IRRINZINAS PLEINES DE CHANSONS NUITS D'IVRESSE, ALEGRESSES TOUT ÇA C'EST LES FETES DE MAULEON (BIS)

VENEZ DONC UN PEU VOIR LE PROGRAMME VOUS ME DIREZ S'IL EST VRAIMENT BEAU VOUS Y TROUVEREZ MESSIEURS, MESDAMES L'ETENELLE COURSE DE CHEVAUX DE SPLENDIDES PARTIES DE PELOTE ET UN CHOIX DE DANSEURS SOULETINS FANDANGO DANS L'AUBERGE GAVOTTE TOUT ÇA DANS L'AMBIANCE DES BONS COPAINS

REFRAIN

DE SPLENDIDES PARTIES DE PELOTE ET LA BALLE S'EN VA BALLADER DE SUPERBES JOUEURS LA GALOPENT ET PAR CHANCE ARRIVENT A L'ATTRAPER PUIS A L'AIDE D'UNE CHISTERA ILS L'ENVOIENT TOUT LA-BAS BALLADER A BABA, A BABA, A BAYONNE OU L'ON NE BOIT QUE POUR S'AMUSER

REFRAIN

LA NUIT C'EST LA COHUE GENERALE DU VIEUX PORT AU FIN FOND DU PLACHO FAUT VOIR UN PEU COMMENT SE PREPARENT NOS MARIXUS ET NOS RAMUNTXOS LES FOUGUEUX BERGERS DE NOS MONTAGNES ET LA JEUNESSE DES ENVIRONS ONT DESERTE CE SOIR-LA LA CAMPAGNE POUR GOUTER AUX FETES DE MAULEON

REFRAIN

Posté(e)

Ideal J - Pour une poignée de dollars

Pour une poignée de dollar, conn***

Que ferais-tu pour une poignée de dollar, conn*** ?

Tu sais ce que je ferais pour une poignée de dollar, conn***

Je te braques même pour du toc

Puisque la vie n'est remplie que de tapettes et

Que ces profs qui avant d'avoir des preuves me montraient du doigt

Je m'en vais combattre le mal par le mal accompagné de.. armé de.. et me voilà

Je guette ma proie près du distributeur patiemment je suis et j'attends mon heure

Puis vient un moment où les choses se précipitent

mais qu'est-ce qui se passe? ferme ta gueule passe moi l'argent, tout va trop vite

Les coups fusent et le rixe lorsque la victime résiste on ne se retourne jamais

C'est juste une autre sur la liste, mais cette fois-ci

Malheureusement les choses ont mal tournés,

Me voilà prisonnier arrêter garder en GAV

Les inspecteurs essayent en vain de me faire cracher le morceau

Utilisent la menace pour que je craque, balance mes pins-co

Mais pas question les vrais nins-bo ne balancent pas

Alors je ferme ma gueule j'assume, et je reste froid

Devant les insultes répétés des policiers

Qui me rappellent soudainement qu'ici je suis qu'un étranger

Et obliger on passe photo empreinte photo empreinte

T'es un K'1fry mafioso ? fait en moi monter la crainte

L'algérien d'à-côté voudrait seulement fumer

Mais à force d'être insulté il voudrait même se suicider

Ils rentrent à huit dans la cellule, le tabassent à mort

Ce fils de pute m'a salie ..... j'en souhaite la mort

À qui le tour dès que t'es à moi ce jour

J'ai senti la patate, mais crois moi, regarde je ne suis pas Rodney King

De plus je n'ai commis qu'un petit délit car on me ture-tor on me garde ici

Sûr putain je pète un plomb en plus s'il croit en plus que je vais donner des noms

S'il savait qu'il perdrait beaucoup moins de temps en me suçant la bitte

Maintenant tu sais ou j'habite le 94310 avec nous il n'y a pas de pistes

Sais-tu ce que je ferais pour une poignée de dollars, conn***

Braquage en temps de crise

Refrain

Que ferais-tu pour une poignée de dollar, conn***

Il sera peut-être trop tard quand tu le sauras, conn***

Crois-tu que la misère dans le monde est illusoire

Et qu'on apprécie d'avoir les nôtres au parloir

Écoute, regard, pour une poignée de dollar

Les jeunes sont prêts à aller au placard

Deal, biz, braquage en temps de crise

Espèce de conn***, accuse le pouvoir, écoute

Ma foi, vaut mieux un petit chez soi qu'un grand chez les autres

Maintenant on n'a plus le choix on veut un grand chez nous chez les autres

Matte, observe pour un simple regard

Les jeunes du ghetto s'énervent sont prêts à aller au placard

Écoute, jeune étranger tes parents ont servis de main d'oeuvre pour reconstruire la France

Et désormais elle oeuvre dans un autre sens on sait de toi elle s'en balance

Elle a plus besoin de toi donc forcément elle brise tes chances

Et cela dès ton enfance tu danses entre stupéfiants violence et les coups de balance

Tu te considères être tomber par l'inexpérience

Et le "Chétane" ricane dans l'ombre car elle mène la danse

Je le savais mais j'ai foncé la tête baissée

Pas le temps de pensée tu t'es déjà retrouvé avec l'envie de tout défoncer

Me demander ce que je ferais pour une poignée de dollar

C'est demander à Chirac ce qu'il ferait pour conserver le pouvoir

Chercher à impressionner personne d'ailleurs si j'oserais d'autres choses

Je ferais flipper plus d'une personne

Je te parle de ça et à l'époque évidemment j'étais qu'un môme

Si j'étais pas parti en couille je voulais juste être autonome

(Autonome tu vois ce que je veux dire)

Nous comprendrons tout ceux qui doivent comprendre

La fin et les moyens rien d'inédit je veux pas te l'apprendre je remercie Dieu

Si aujourd'hui tu as la chance de m'entendre sur un CD

Alors j'aurai peut-être pu t'agresser pour tout te prendre

J'ai lutté et j'continue pour éviter la prison j'ai mal conçu qu'ils ont eu

l'État n'as pas eu ma raison

Les gens sont victimes du sort car sur leur chemin trop de désillusions

Parler de leur destin ne peut se faire avec dérision

Écoute, regarde pour une poignée de dollar

Les jeunes sont prêts à aller au placard

Deal, biz, braquage en temps de crise

Espèce de conn***, accuse le pouvoir, écoute

Refrain

Posté(e)

Sofia Mestari

Ne pars pas

--------------------------------------------------------------------------------

J'ai tout appris de toi

J'ai vaincu mes incertitudes

J'ai pleuré dans tes bras

J'ai même changé mes habitudes

J'ai bousculé ma chance pour épouser tous tes repères

Comme une évidence et du mieux que j'ai su faire

S'il n'en reste qu'un que tu sois celui-ci

Que tu restes mien qu'il en soit ainsi

Je t'en prie

{Refrain:}

Ne pars pas ou je meurs avant l'heure si je perds mon essence

Ne pars pas ne laisse pas mon âme seule sans croyance

La douleur et la peur si je croise ton absence

Ne pars pas me lâche pas j'ai besoin de ta présence

Et puis retrouver le désir des premières fois

Jusqu'au dernier mot dit pour en arriver là

Je n'ai pas vu venir la lame qui s'enfonce

Et le mal est pire dans la différence

Je t'en prie

{au Refrain}

Ne pars pas ou je meurs avant l'heure si je perds mon essence

Ne pars pas ne laisse pas mon âme seule sans croyance

La douleur et la peur si je croise ton absence

Ne pars pas ou je pars avant toi

{au Refrain}

J'ai besoin de ta présence

Ne pars pas

Posté(e)

Ideal J - R.A.S.

...................................................

Manu Key

J'ai un message authentique pour les frères et les surs

J'porte l'Afrique dans l'cur, avec l'équipe j'défend les couleurs

Puisqu'il faut combattre, autant le faire avec rage

Manu Key, Kéry James, pour faire passer le message

C'est le jour J, je suis armé d'toutes ces conneries

Lever 6H du mat', sale bouffe, vos trellis khaki

Tu t'imagines dix mois sans meufs, l'ambiance est malsaine

Chez nous on baise l'armée d'Orly, Choisy à Vitry Sur Seine

Toutes sortes de magouilles, pour faire flipper le psychiatre

J'raconte tragédie sur tragédie, réformé p4

T'd'façon on s'ra jamais des bidasses, mais personne n'est surhomme

Pour moi, c'qui fonctionne c'est l'flingue et l'microphone

Pour tous les R.A.S., qu'l'état n'a pas t'nus en laisse

Pour tous les R.A.S., j'lance ce texte car je reste

Un MC trop militant voilà ce que je suis

J'ai pas l'temps, j'emmerde le système,

Son drapeau Bleu Blanc Rouge

Pour le sang, bleu pour l'uniforme, police,

Blanc pour le FN raciste, j'suis réformé au service

Kéry James

Général Manu Key, j't'ai reçu cinq sur cinq, j'porte le verdict

Pour le Different Teep, j'suis Réformé Au Service, réformé au supplice

Refrain

Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire

J'compte pas les laisser faire, et foutre dix mois d'ma vie en l'air

Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire

Hier encore j'ai souffert, de leur violence policière

Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire

Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre

Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire

Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre

Kéry James

Est-ce que tu m'vois ? Qui ? Moi, Kéry James !

Un, deux pour le trois, au service de l'état

Crois-tu que, moi, j'accepterai de donner dix mois de ma vie à ces gens là ?

Aucunement recensée, mais sensée, j'decrète d'office

Pas d'sacrifice, gratis, j's'rai reformé au service

Alix, originaire des terres d'Afrique, je suis de l'esclave le fils

Je suis par pression historique, pacifique,

Au MIC, j'rêve de manier l'automatique

Pour une cause qui s'rait plus sociale qu'économique

Et leur politique d'opportunistes m'irritent

Alors please, on réédite un underground hit

Qu'indiquent que j'n'irai pas au service militaire

Qu'là-bas, y a rien à faire et qu'dans mon quartier c'est d'jà la guerre

Subiront la sanction, j'incarne mes positions

Ma vie m'appartient, j'suis pas à votre disposition

Seul le tout-puissant, bienveillant et omniscient

Dispose de mon souffle, de mes forces et de mon sang

Refrain

Manu Key

Manu Key, Manu Key

Ils me disent terroriste, soldat en puissance, par dix

Sans trêve je pars pas pour faire la guerre, sans qu'il y ait d'armistice

Si demain j'pars au combat, c'est seulement pour les miens

Au nom d'la Mafia Africaine, contre l'état, ces chiens

Sonnent le couvre-feu, après une heure du crime

Dans mon quartier c'est d'jà la guerre, faut pas qu'l'état assassine

Les gosses, nos entrailles, et dans nos curs, ils entaillent,

Laissent des cicatrices, et parc'qu'y a eu bataille

La vie est trop nice, alors je vis pour survivre

Rien à foutre au service US pour les porcs qui s'ennuient

R.A.S. 1, R.A.S. 2, R.A.S. 3

Lil' Key, Manu Key

Refrain

Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire

J'compte pas les laisser faire, et foutre dix mois d'ma vie en l'air

Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire

Hier encore j'ai souffert, de leur violence policière

Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire

Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre

Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire

J'compte pas les laisser faire, et foutre dix mois d'ma vie en l'air

Ça s'appelle : je n'veux pas aller au service militaire

Hier encore j'ai souffert, de leur violence policière

Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire

Là-bas, y a rien à faire, dans mon quartier c'est d'jà la guerre

Ça s'appelle : j'n'irai pas au service militaire

Là-bas, y a rien à faire, que l'état nique sa mère

Invité Lelenne
Posté(e)

My Immortal - Evanescence

i'm so tired of being here

suppressed by all of my childish fears

and if you have to leave

i wish that you would just leave

because your presence still lingers here

and it won't leave me alone

these wounds won't seem to heal

this pain is just too real

there's just too much that time cannot erase

when you cried i'd wipe away all of your tears

when you'd scream i'd fight away all of your fears

and i've held your hand through all of these years

but you still have all of me

you used to captivate me

by your resonating light

but now i'm bound by the life you left behind

your face it haunts my once pleasant dreams

your voice it chased away all the sanity in me

these wounds won't seem to heal

this pain is just too real

there's just too much that time cannot erase

when you cried i'd wipe away all of your tears

when you'd scream i'd fight away all of your fears

and i've held your hand through all of these years

but you still have all of me

(pour Damien)

  • 1 mois plus tard...
Posté(e)

Le déserteur

Monsieur le président

Je vous fais une lettre

Que vous lirez peut-être

Si vous avez le temps.

Je viens de recevoir

Mes papiers militaires

Pour partir à la guerre

Avant mercredi soir.

Monsieur le président

Je ne veux pas la faire

Je ne suis pas sur terre

Pour tuer des pauvres gens.

C'est pas pour vous fâcher,

Il faut que je vous dise,

Ma décision est prise,

Je m'en vais déserter.

Depuis que je suis né,

J'ai vu mourir mon père,

J'ai vu partir mes frères

Et pleurer mes enfants.

Ma mère a tant souffert

Qu'elle est dedans sa tombe

Et se moque des bombes

Et se moque des vers.

Quand j'étais prisonnier,

On m'a volé ma femme,

On m'a volé mon âme,

Et tout mon cher passé.

Demain de bon matin

Je fermerai ma porte

Au nez des années mortes,

J'irai sur les chemins.

Je mendierai ma vie

Sur les routes de France,

De Bretagne en Provence

Et je crierai aux gens:

«Refusez d'obéir,

Refusez de la faire,

N'allez pas à la guerre,

Refusez de partir.»

S'il faut donner son sang,

Allez donner le vôtre,

Vous êtes bon apôtre

Monsieur le président.

Si vous me poursuivez,

Prevenez vos gendarmes

Que je n'aurai pas d'armes

Et qu'ils pourront tirer.

Boris Vian :furious:

Posté(e)

C'est plus léger que les Brassens, Ferré, Vian et autres, mais comme j'aime bien Renaud, voilà un exemple :

C'est a peine l'aurore et je tombe du plume

Mon amour dort encore du soleil de l'enclume

Je la laisse a ses reves ou je n'suis surement pas

Marlon Brando l'enleve qu'est-ce que je foutrais la

Sur un cheval sauvage ils s'en vont, ridicules

Dehors y'a un orage Ils sont mouilles c'est nul

Moi j'affute mes gaules pour partir a la peche

Musette sur l'epaule, saucisson, biere franche

Quand le soleil arrive mon amour se reveille

Le coeur a la derive les yeux pleins de sommeil

Telephone a sa mere qu'est sa meilleure amie

Paroles ephemeres et tous petits soucis

J'aimerais bien entendre ce qu'elle dit de moi

C'est surement tres tendre, enfin bon, j'entends pas

Moi je plante mon hamecon tout en haut d'une branche

Je tire sur le nylon, me ruine une phalange

Le jour avance un peu mon amour se maquille

Un oeil et puis les deux, c'est futile mais ca brille

Qui veut-elle seduire, je suis meme pas la

Je me tue a lui dire qu'elle est mieux sans tout ca

Que ses yeux sont plus bleus quand ils sont dans ma poche

Et que vouloir trop plaire c'est le plaisir des moches

Moi je sors une truite d'au moins 120 kilos

J'ai pitie, trop petite, je la rejette a l'eau

Il est midi passe je reviens les mains vides

Trop de vent, pas assez l'eau était trop humide

Lors je rentre chez moi triste comme un menhir

Mais personne n'est la pour m'entendre mentir

Mon amour est parti mais parti pour toujours

J'ai perdu mon amour et j'ai perdu ma vie

J'emmenerai dimanche si je peux la gamine

S'emmeler dans les branches a la peche a la ligne

Invité Lelenne
Posté(e)

:furious:

SEETHER (feat. Amy Lee) "Broken" :

I wanted you to know

I love the way you laugh

I wanna hold you high

And steal your pain away

I keep your photograph

I know it serves me well

I wanna hold you high

And steal your pain

Cause Im broken when Im lonesome

And I dont feel right when youre gone away

The worst is over now

And we can breathe again

I wanna hold you high

And steal your pain away

Theres so much left to learn

And no one left to fight

I wanna hold you high

And steal your pain

Cause Im broken when Im open

And I dont feel like I am strong enough

Cause Im broken when Im lonesome

And I dont feel right when youre gone away

Cause Im broken when Im lonesome

And I dont feel right when youre gone away

Posté(e)

Déserteur

-------------------------------------------------------------------------------

Monsieur le président

Je vous fais une bafouille

Que vous lirez sûrement

Si vous avez des couilles

Je viens de recevoir

Un coup d'fil de mes vieux

Pour m'prévenir qu'les gemdarmes

S'étaient pointés chez eux

J'ose pas imaginer

C'que leur a dit mon père

Lui, les flics, les curés

Et pis les militaires

Les a vraiment dans l'nez

P't-être encore plus que moi

Dès qu'il peut en bouffer

L'vieil anar' y s'gêne pas

L'vieil anar' y s'gêne pas

Alors y parait qu'on m'cherche

Qu'la France a besoin d'moi

C'est con, j'suis en Ardèche

Y fait beau, tu crois pas

J'suis là avec des potes

Des écolos marrants

On a une vieille bicoque

On la retappe tranquillement

On fait pousser des chèvres

On fabrique des bijoux

On peut pas dire qu'on s'crève

L'travail, c'est pas pour nous

On a des plantations

Pas énormes, trois hectares

D'une herbe qui rend moins con

Non, c'est pas du ricard

Non, c'est pas du ricard

Monsieur le président

Je suis un déserteur

De ton armée de glands

De ton troupeau d'branleurs

Ils auront pas ma peau

Toucheront pas à mes cheveux

J'saluerai pas l'drapeau

J'marcherai pas comme les bufs

J'irai pas en Allemagne

Faire le con pendant douze mois

Dans une caserne infame

Avec des plus cons qu'moi

J'aime pas recevoir des ordres

J'aime pas me lever tôt

J'aime pas étrangler le borgne

Plus souvent qu'il ne faut

Plus souvent qu'il ne faut

Puis surtout c'qui m'déplait

C'est que j'aime pas la guerre

Et qui c'est qui la fait

Ben c'est les militaires

Ils sont nuls, ils sont moches

Et pis ils sont teigneux

Maintenant j'vais t'dire pourquoi

J'veux jamais être comme eux

Quand les Russes, les Ricains

Feront péter la planete

Moi, j'aurais l'air malin

Avec ma bicyclette

Mon pantalon trop court

Mon fusil, mon calot

Ma ration d'topinambour

Et ma ligne Maginot

Et ma ligne Maginot

Alors me gonfle pas

Ni moi, ni tous mes potes

Je serai jamais soldat

J'aime pas les bruits de bottes

T'as plus qu'a pas t'en faire

Et construire tranquilos

Tes centrales nucléaire

Tes sous-marins craignos

Mais va pas t'imaginer

Monsieur le président

Que j'suis manipulé

Par les rouges ou les blancs

Je n'suis qu'un militant

Du parti des oiseaux

Des baleines, des enfants

De la terre et de l'eau

De la terre et de l'eau

Monsieur le président

Pour finir ma bafouille

J'voulais t'dire simplement

Ce soir on fait des nouilles

A la ferme c'est l'panard

Si tu veux, viens bouffer

On fumera un pétard

Et on pourra causer

On fumera un pétard

Et on pourra causer

Renaud

Posté(e)

Je veux vivre aut'chose que la routine,

Voir aut'chose que du béton.

C'est pas qu'j'tiens à me plaindre

mais j'ai l'impression de tourner en rond.

Murs délabrés, épaves, toxs et caniveaux encombrés,

Type d'environnement, et d'contexte,

M'inspirant qu'à esquiver

Ne me demande pas pourquoi j'ai pas l'sourire,

Les tours m'dépriment à mourir :

A m'pourir l'esprit, j'suis obsédé par l'envie d'partir

T'as pas vu l'délire ?

Les frères s'montent dessus et s'déchirent,

Attirés par le biz et poussés par la fainéantise,

Je veux réunir mes forces, bomber mon torse et m'dorer en Corse,

19 piges que j'en bave, à la 20ème faut p'têt' que j'amorce.

Que j'change de paysage, qu'j'mécarte de l'engrenage,

J'compte pas finir ici et encore moins sombrer en cage.

C'est les nerfs et la déprime qui m'poussent à écrire.

Quand j'respire l'air pollué d'Paris, qu'j'vois l'shit bouffer mes frères.

Regarde si c'est pas triste ; ici les toxs poussent comme des fleurs,

En grandissant j'me dit, la France est p'têt' un leurre.

Et m'demande pas pourquoi je n'ai pas l'sourire,

J'sais pas de quoi demain est fait ;

Y'a ceux qui luttent pour s'en sortir et ceux qu'ont tout hérités,

Qu'ont rien mérité, on part pas tous à égalité,

Mais nous, le peu qu'on a, au moins, on peut dire qu'on l'a gagné.

On fait avec c'qu'on a tant qu'on a pas goûté au luxe.

La richesse pourri l'esprit, la pauvreté l'endurci,

De toute manière qu'j'sois pauvre ou riche, pas d'importance,

J'réussirais c'est promis, j'lâcherais mes phases au cro-mi ;

pas b'soin d'rajouter d'to-mi

Pas b'soin d's'la raconter, pas b'soin d'jouer les gangsters,

Et pour l'inspiration, seul notre vécu fera l'affaire.

J'ai tellement d'choses à dire, que j'arrive même plus à m'taire,

J'veux m'casser d'ici, qu'ce soit en 1ere classe ou en charter,

Ne pas clamser ici, d'overdose, ni même à la guerre,

J'm'investis dans l'pe-ra, et c'est comme ça, qu'j'fait mes affaires.

J'm'accroche à un but précis, solide comme un récif,

Récit réfléchi, paraîtrait même qu'j'ai l'air agressif, imprévisible,

Scred Connexion, indivisible

Jamais dans la tendance mais toujours fixé sur la même cible.

Paris me lasse, rien qu'à l'odeur,

Ca sent la Kro et l'receleur,

J'veux vivre aut' chose, une vie meilleure,

Ici, l'bonheur n'est pas à l'heure.

Paris, capitale du vice ou j'essaie d'prendre de l'ampleur,

Sans tomber dans leur piège, pour pas finir bandit ou voleur.

Appelle moi le trouble-fête quand j'viens cramer tes ambiances foireuses,

T'as vu la merde que c'est ? C'est pas une solution, d'fermer les yeuz !

Tourner sa veste et son dos, jeter ses projets à l'eau,

Se saouler tous les soirs, et s'prétendre être au bout du rouleau.

On est plongés dans l'décor où les gens droits ne restent pas longtemps,

C'est pour ca qu'il faut pas chômer et s'en sortir l'plus rapidement !!!

Scred Connexion, Génération Keskya !!!

haroun scred connexion

Posté(e)

LYRICS : SHURIK'N - "Manifeste"

Je porte les sales manies du pays dans le coeur

Consiste à peine

Et on est 13% chez toi

Tu voudrais bien quon y retourne, hein?

Je débarque dans lunivers des nantis

Les claques se perdent dans les geules des dandys

Cest pas le pays de Candy

Des Ghandi, ici y'en a pas

Des mecs honnêtes aux bandits

La France taxe les types au RMI

Eh, ouais, 10%, qu'est-ce qu't'en dis?

Quant à moi, je bosse à 50 pour lEtat proxo

Pour létat de mes droits

Je suis lune de ses putes préférée

Quoi? Le 10% de ce putain de cerveau

Cest la servitude dans les block à Clervaux

Ou nos ganaches qui servent au Macdo

Ya pas darrache qui se paie pas un jour

Le fifty-fifty devient tout nada

Si tu captes, superbe lifting

???

Plein de strass à Paname

A lAssemblée on ignore ce qui se passe sur le macadam

20% de mes potes aujourdhui s'cament

Ya plus de révoltes en vue [c'est mort]

Ce putain de pouvoir achète à quel prix le calme

Sur le terrain de football

Ce petit gosse en veut

Les 99% échouent et nous on prie tous en Dieu

On est les seuls à croire au Père Noël jusquà 30 ans, vieux

80% des gens portent le triple 6 en eux

Marcher sur la tronche des autres

Pour une vie glauque et 300 types

Possèdent 50% des richesses du globe

Cest normal, leurs pantins ont lindex sur un bouton

Et ce putain de peuple broute comme un mouton

Chez moi, la flamme fait 30%, attends

Je fais mes comptes, et ça veut dire

Quy a minimum un type sur 3 quon devra claquer

"Rebhak" au menu ce soir, fiston, qu'es-ce qu't'en dis?

Fini la paix à Marseille

On va rallumer lincendie

En ce lendemain délections, jai si peur pour les miens

On prend les devant, garçon, pour museler les chiens

Ah, chienne de vie

Prédestiné à trop de cavales historiques, non

Front de libération de Mars, canal historique

Lis dans mes yeux, trop de rancoeur

Trop grand coeur

Trop con, je suis pas ton chanteur

Tueur dcollabo, poète planteur

Planté au piquet depuis la maternelle

Couvé par le voile de lamour maternel

Mon amour dit que rien nest éternel

Ni des proches, ni de ce quil y a dans tes poches

Moi, jen ait rien à foutre de la fauche

Pleurer quand on accroche des sacoches

Refrain :

[AKHENATON]

Ya pas de degré dinclinaison de mon corps

Linclinaison de ma tête

Est une réponse directe à linclinaison de mon coeur

[sHURIK'N]

Pour battre les accusée, ma ville trône

Où matrones ?

Je griffonne ces lignes sur un vieux bout de papier

Refrain

Courber léchine, connais pas

Je mettrai pas le genou à terre

Je resterai fier au nom de mes frères

Je scèle ces mot dun sceau de fer

Refrain

Mes phrases dérangent toujours aux alentours

Jarrêterai peut-être le jour où les êtres

Elus au deuxième tour cesseront de faire les sourds

Je donne ma vision des choses, pas rose

Aux écoutés qui veulent

La prose est parfois morose

Quest-ce que jy peux

Mon âme déclame ce que voient mes yeux

Cest ce que jaime faire

Cest ce que jaime écrire, ce que jaime entendre

Des textes vrais, sur des faits qui donnent envie de rendre

Faut pas vous méprendre

Le délire noue mon cerveau à lannée, basané

Je perd pas de vue ceux qui veulent métendre

Prêt à zapper, cest mieux que de se rendre

Il fallait pas nous chercher

Fallait pas croire quon allait

Rester là, les bras croisés

A boire un thé

Quand la haine dure comme lamitié

Tenace, elle persiste, invite les ex-noirs sur la piste

Les lettres sautent

Pieds noirs et italiens grossistent la liste

Le kyste et les temps empirent

Et si on le dit pas nous, qui va le dire

Et si on lécrit pas, qui va le lire

Qui va sen souvenir

Le pire, cest quon est pas sûr que ça serve

Trahir, filerait la gerbe

Fuire nexiste pas

Trop de gens courtisent Gégène

Sèment la gangrène

Sur Mars pendant dix ans, jai porté ce nom avec fierté

Maintenant, jhésite à le prononcer

Jamais lidée ne ma éfleurée

Fanée, la rose du sud séteint

Même Notre Dame pleure

Sous la chaleur les coeurs flétrissent

Toujours le front en sueur

La peur de lautre donne des ailes

On se sent moins seul au pluriel

La tête pleine de rien

Les cons remplissent des bulletin criminels

Ils oublient et puis

LEtat jouit, les jeunes jouent les bandits

Les parents triment, susent la vie

Avec un job de jour, un job de nuit

Un mec sur trois me vise et ça fout les glandes

Pense quil y en a plus dune centaine

Auxquels je fais la bise

Qui cachent un couteau dans leur manche

Le soupçon plane désormais

A tout moment, sur ce fait

Quelquun peut me saluer

Du genre: salut poto, ciao enfoiré

Même cachés, les pauvres mauront pas

La fierté du Hip Hop sera pas la honte du pays

Je le dis en vrai, mais je croise les doigts

Les mains aussi

Je prie pour première fois

Que la catin daujourdhui, redevienne princesse dautrefois

Posté(e)

marcel et son orheste: ma soeur

(En route!)

J'adore lui faire peur

La faire hurler de terreur

Tendre un élastique

Devant ses yeux hystériques

Dans sa chambre bien rangée

J'ai tout dégueulassé,

Dessiné des lunettes

Sur ses posters de vedette

{Refrain:}

J'adore faire chier ma soeur

J'adore faire chier ma soeur

J'adore faire chier ma soeur

J'adore faire chier ma soeur

Dans son journal intime

J'écris de jolies rimes

Etaler des crottes de nez

Sur les photos de son fiancé

Tartiner de Nutella

Son CD de STARMANIA

Ca me rend plus heureux

Que ma console de jeux

{au Refrain}

Marcel et son orchestre

Femme mûre

--------------------------------------------------------------------------------

(Allez, un p'tit sourire)

Il y a longtemps longtemps

Que t'es tombée de l'arbre, femme mûre

Y'a même une paire d'années

Que t'as croqué la pomme, femme mûre

Parce que t'as simplement

Le courage d'être toi,

J'aime ton nez, tes dix doigts

Et tes poils sous les bras

Un kilo superflu

Tu bois pas la ciguë, femme mûre

Un peu de cellulite

C'est pas la méningite

J'aime tes robes à volants

Ton super déhanchement

{Refrain:}

Comment comment comment comment tu fais

Pour me rendre dingue dingue dingue dingue

(Vous voulez qu'j'vous aide à...porter vos sacs?)

Tu m'écoutes amusée

Tu t'laisses baratiner

Puis tu dis d'un ton cru

Toi t'en veux à mon cul

Dans toutes mes tentatives

J'suis con comme une endive, femme mûre

(Euh, c'est pas trop dur d'avoir un mari en déplacement?)

Je sais pas dire combien tu comptes

T'enflammes mon coeur,

Je peux pas, j'me sens niais

Faut qu'je fasse mon branleur

J'accumule les boulettes

J'm'y perds dans mes sornettes, femme mûre

{au Refrain}

J'ai brûlé de l'encens

J'ai tout cleané chez moi,

Descendu les poubelles

J'ai même fait la vaisselle

J'ai acheté au marché

Des tas de légumes frais

Qu'j'ai lavé, découpé

Et mis à mijoter

J'attends que toi

Pour partager tout ça

J'attends que toi

J'ai même changé les draps

J'attends que toi

Pour partager tout ça

J'attends que toi

J'ai même changé les draps

Marcel et son orchestre

Où sont passées mes pantoufles?

--------------------------------------------------------------------------------

A tapiner toute la journée

Le soir tu as

Le soir tu as des cloques aux pieds

Alors tu gueules tu n'en peux plus de marcher

Toi tu voudrais

Mettre tes pieds à tremper

Oh ! Oui ! Mais où sont passées mes pantoufles ?

Tous les jours tu vas au boulot

Te faire brancher

Par les bourgeois par les salauds

Et toi tu pleures cachée sous ton manteau

Car tu as mal, tu en as plein le dos

Oh ! Oui ! Mais où sont passées mes pantoufles ?

{Refrain:}

Où sont passées-ah-ah-ah-mes pantoufles ?

Ah-ah-ah-où sont passées mes pantoufles ?

Où-sont-passées-mes-pantoufles !?

Un jour ou l'autre tu vas craquer

Et t'achèteras

T'achèteras des s'melles compensées

Tu f'ras l'trottoir sans avoir mal aux pieds

T'auras même plus tes arpions à masser

Oh ! Oui ! Mais où sont passées mes pantoufles ?

C'est décidé tu laisses tomber

T'as raccroché

T'as raccroché tes semelles trouées

Tes brodequins tes godillots cirés

Tes bottes vernies

Tes hauts talons-aiguilles

Et puis tu as retrouvé tes pantoufles

Posté(e)

et une derniere concernant le foot(eh oui ils sont supoerters lensois)

Marcel et son orchestre

Raoul et alain

--------------------------------------------------------------------------------

Raoul et Alain sont deux supers copains

Les jours où y'a du foot faut pas qu'les meufs elles nous les broutent

Jeannine et Séverine sont leurs deux copines

On n'est pas des bibelots y'en a marre de ces deux blaireaux

{Refrain:}

T'aurais pas dû fâcher Raoul

Sérieux ! tu n'l'as pas vu quand il se met en boule

T'aurais pas dû facher Raoul

Lui allumer ses neurones de pit-bull

Elles font qu'à se moquer n'arrètent pas

Et pour nous énerver elles bougent l'antenne de la télé

Elles font des farandoles, Ricanent font les mongoles

Font aboyer Tarzan pour nous gâcher Thierry Roland

{au Refrain}

Elles se sont saoulées à nos bières ah! ah!

Et hurlent comme des supporters ah! ah!

On s'est chargé de les calmer

C'est nous qu'les flics ont embarqués

Et depuis qu'ont est en prison ah! ah!

Chaque fois qu'y'a une retransmission

j'ai une pensée pour les nanas

ich liebe dich nicht, du liebst nicht mich ah! ah!

{au Refrain}

Posté(e)

Le clair de lune à Maubeuge, chanté par Bourvil :crylol:

Je suis allé aux fraises

Je suis revenu de Pontoise

J'ai filé à l'anglaise

Avec une Tonkinoise

Si j'ai roulé ma bosse

Je connais l'univers

J'ai même roulé carrosse

Et j'ai roulé les airs

Et je dis non

Non non non non

Oui je dis non

Non non non non Non non non non

Tout ça n'vaut pas

Un clair de lune à Maubeuge

Tout ça n'vaut pas

Le doux soleil de Tourcoing (Coin coin !)

Tout ça n'vaut pas

Une croisière sur la Meuse

Tout ça n'vaut pas

Des vacances au Kremlin... Bicêtre

J'ai fait toutes les bêtises

Qu'on peut imaginer

J'en ai fait à ma guise

Et aussi à Cambrai

Je connais toutes les mers

La mer rouge la mer nouère

La mer diterranée

La mère de Charles Trenet

Et je dis non

Non non non non

Oui je dis non

Non non non non Non non non non

Tout ça n'vaut pas

Un clair de lune à Maubeuge

Tout ça n'vaut pas

Le doux soleil de Roubaix (Coin coin !)

Tout ça n'vaut pas

Une croisière sur la Meuse

Tout ça n'vaut pas

Faire du sport au Kremlin... Biceps

Posté(e)

J'ai une tendresse particuliere

Pour ces filles qui n'ont pas de manieres

Les hospitalieres les dociles

Vous les appelez les filles faciles

Celles qui ne marchandent pas leur corps

Ni pour des mots ni pour de l'or

Pour qui faut pas tout un débat

Ni pour leur haut ni pour leur bas

Pour quelques notes de guitare

Elles dormiront un peu plus tard

Elles disent que les matins c'est bien

Elles disent qu'a deux c'est encore mieux

Les inéspérées les timides,

Celles qui comprennent sans qu'on leur dise

Pour qui ne suffit qu'un regard

Pour que tout s'allume en un soir

Petite chanson de reconnaisance

Pour ces stars de mon adolescence

Je n'en ai oublié aucune

Cheres et precieuses une a une

Celles qui m'ont trouvé consomables

Avant que j'sois dans les hits parades

Dans les bals ou les MJC,

Comme au plus haut des colysées

Celles qui n'echangent pas leur plaisir,

Pour ce qu'on pense ou ce qu'on va dire

Qui disent OK pour les enfers

contre un peu de paradis sur terre

Des ptits moments piqués au fraude

Comme un automne au pays chaud

Plein du gout des baisers volés

Toujours un ptit peu plus sucré

Sans qu'on en parle ou qu'on y pense

Sans apres promis ni jurés

Ca na pas la moindre importance

Quand c'est l'amour qu'on aime aimé

Ce soir je veux leur rendre hommage

Ca sera la seconde fois

Quelle sachent qu'il m'ai dommage

De ne le faire que par la voie

Posté(e)

I Wasn't Ment To Feel This Way/Asleep At The Wheel - Suicidal Tendencies

Counting on nothing,the numbers get higher

Blinded by reason, you're asleep at the wheel

Confused understanding, with a slip for the hold

Squeeze past the pressure, you're asleep at the wheel

A magical moment

Is it too much of a good thing

Recycled in memory was

It too much of a good thing

Why can't you remember

Is it too much of a good thing

Preserved in it's danger

You're asleep at the wheel

Blank stare and a whisper, but who are you judging

I thought you were different

You're asleep at the wheel

A special assignment

Is it too much of a good thing

Unlocked underpressure

Was it too much of a good thing

Confined unforgiveness

Is it too much of a good thing

A new kind of danger, you're asleep at the wheel

Hope in revision, slight miscalculation

It all goes in stages, you're asleep at the wheel

A blank stare and a whisper

I thought you were different

But who are you judging

I thought you were different

You're asleep at the wheel

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