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Ligue 1 en général


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Posté(e)
Il y a 2 heures, Flolynyk a dit :

Finalement tout le monde reste apparemment :ninja: 

Et apparemment l'Equipe n'a pas les bonnes sources :grin:

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Il y a 3 heures, GG a dit :

Sur RMC y a Moscato qui débat de copinages et de prises d'intérêts à l'OM avec son nouveau chroniqueur... Bernard Laporte :ninja:

 

:lol2:  c'est sur qu'en matière de copinage et d'escroquerie, on a affaire à des experts.

Posté(e)
Il y a 6 heures, Fernando a dit :

C'est un poil exagéré non? 🙂

 

 

Malheureusement LesViolets.com eux-même pronostiquaient majoritairement des victoires 3-0, 3-1 et 4-1 de l'OM, et de nombreuses personnes applaudissaient en commentaire. Quand aux sifflets, tout a été dit sur le topic de Clermont.

Le pire étant que c'est à peu près la même chose partout, dans tous les clubs.

Posté(e)
Il y a 10 heures, Flolynyk a dit :

Virer en étant 3e et avec 0 défaite, c'est beau.

Bof, nous on a viré celui qui nous a rapporté deux titres sur les deux saisons qu'il a passées au club... dont une coupe de France qu'on attendait tous depuis 66 ans.

Posté(e)
Il y a 8 heures, Le_saint a dit :

Bof, nous on a viré celui qui nous a rapporté deux titres sur les deux saisons qu'il a passées au club... dont une coupe de France qu'on attendait tous depuis 66 ans.

Virer un coach après 2 ans, même si ça peut paraître malvenu au vu de ses résultats, c'est quand même différent que de le virer après 5 matchs, surtout quand le constat que tout le monde fait est qu'ils changent de coachs beaucoup trop vite.

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il y a 46 minutes, Flolynyk a dit :

Virer un coach après 2 ans, même si ça peut paraître malvenu au vu de ses résultats, c'est quand même différent que de le virer après 5 matchs, surtout quand le constat que tout le monde fait est qu'ils changent de coachs beaucoup trop vite.

Tu rajouteras que d'un côté, c'est le board qui a ressuscité le club qui a pris cette décision, dans la continuité de ce qu'ils ont fait pour permettre cette Coupe de France (à tort ou à raison), tandis que de l'autre, c'est un coup de pression d'un groupe quasi-mafieux qui fait sauter le coach et la direction. 

J'ai du mal à voir le lien possible entre les deux situations.

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Posté(e)
Il y a 4 heures, Flolynyk a dit :

Virer un coach après 2 ans, même si ça peut paraître malvenu au vu de ses résultats, c'est quand même différent que de le virer après 5 matchs, surtout quand le constat que tout le monde fait est qu'ils changent de coachs beaucoup trop vite.

 

Il y a 3 heures, Vistule a dit :

Tu rajouteras que d'un côté, c'est le board qui a ressuscité le club qui a pris cette décision, dans la continuité de ce qu'ils ont fait pour permettre cette Coupe de France (à tort ou à raison), tandis que de l'autre, c'est un coup de pression d'un groupe quasi-mafieux qui fait sauter le coach et la direction. 

J'ai du mal à voir le lien possible entre les deux situations.

Mea culpa, j'ai posté à une heure tardive en oubliant de mettre le :ninja: de rigueur.

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Posté(e)
il y a 9 minutes, marco a dit :


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https://www.lemonde.fr/football/article/2021/05/03/je-suis-respecte-dans-ma-ville-je-ne-me-tairai-jamais-rachid-zeroual-l-ultra-qui-se-targue-de-faire-sauter-les-presidents-de-l-om_6078867_1616938.html
 

Il les « emmerde » tous. Les dirigeants de l’Olympique de Marseille (OM), les enquêteurs parisiens de la police judiciaire, les juges, les voyous, et aussi ce fichu cancer du sang qui le ronge depuis cinq ans. Rachid Zeroual, le leader historique des « South Winners », le plus important des six groupes ultras marseillais, en rit, hurle parfois des insultes, se victimise et menace. « Avec nous, il ne faut ni jouer ni trahir », avertit ce quinquagénaire à la voix rauque. Depuis trois décennies, ce maître des bouillonnants virages du Stade-Vélodrome a dédié sa vie au club. Il a su en tirer profit et éprouvé sa capacité à faire et défaire les patrons de l’OM. « J’ai toujours eu l’intelligence de savoir quand il fallait agir pour faire sauter les présidents », fanfaronne-t-il.

Jacques-Henri Eyraud est le dernier en date. Nommé en 2016 par le propriétaire américain Franck McCourt, l’entrepreneur parisien a d’abord voulu en finir avec ce qu’il appelait « l’OM du chaos, des magouilles, des chroniques judiciaires ». Le monde des supporteurs marseillais s’inscrit parfois dans ce triptyque vénéneux. A coups de déclarations maladroites, Eyraud a donné l’impression de provoquer les ultras, au point de rompre la convention avec un groupe soupçonné de malversations financières et de menaces de dissolutions. Au début, Zeroual a laissé faire. « Il est très affairiste, toujours dans la transaction et joue le voyou pour intimider », glisse un proche d’Eyraud, ce dernier n’ayant pas souhaité s’exprimer.

 

« Gérer Rachid »

C’est ainsi à Marseille : tout dirigeant de l’OM a eu à gérer « Rachid », à lui concéder des places au stade, des aides financières et des privilèges, à négocier la « paix sociale » sous peine de vivre sous la menace de voir son nom sali dans les tribunes et en ville, puis d’être incité à la démission. « Je suis arrivé avec beaucoup de préjugés te concernant et, quatre ans plus tard, j’ai découvert un homme qui respecte l’institution, ses dirigeants », lui écrit M. Eyraud par SMS le 22 mai 2020. « C’est toujours à la fin qu’ils le reconnaissent », balaie aujourd’hui le chef des « Winners ». Pour lui, le sort du dirigeant était déjà scellé. Six mois après, des affichettes « Eyraud démission », « Eyscraud dégage » apparaissent en ville, des élus se mêlent à la fronde des ultras, La Provence, du groupe Bernard Tapie, multiplie les éditoriaux hostiles. « Eyraud n’a pas assez bu le pastis », résume un de ses proches.

En début d’année, les renseignements territoriaux, chargés de surveiller les ultras les plus virulents, informent la direction de l’OM qu’une opération se prépare. Zeroual lui-même le confirme le vendredi 29 janvier en postant sur les réseaux sociaux un message sibyllin prédisant une « grosse surprise ». Le lendemain, près de 400 personnes se retrouvent devant le portail fermé de La Commanderie, le centre d’entraînement du club. Appuyé sur des béquilles, blouson noir et bonnet sur la tête, Zeroual cornaque ses troupes sans se soucier des caméras de vidéosurveillance, puis se retire avant que ça dégénère.

Une « victoire » et neuf mois de prison

Jeunes encagoulés, jets de pierres et de fumigènes sur les policiers. Certains assaillants pénètrent à l’intérieur du site, saccagent du matériel et blessent un joueur. Acculé, Eyraud est démis de ses fonctions fin février et rejoint le Conseil de surveillance de l’OM, désormais présidé par l’Espagnol Pablo Longoria. Une « victoire » pour Rachid Zeroual, qui écopera toutefois d’une condamnation, le 22 mars, à neuf mois de prison dont cinq avec sursis.

Un « procès mascarade », fulmine-t-il, assis derrière son bureau, au premier niveau du local des South Winners, dans le quartier populaire de la Belle-de-mai. Barbe blanche bien taillée, regard perçant et cigarette Vogue au bec, ce père de trois enfants et de 5 000 Winners redoute une énième interdiction de stade. Lundi 26 avril, la préfète de police des Bouches-du-Rhône, Frédérique Camilleri, l’a informé par courrier qu’elle envisageait de l’interdire de « pénétrer et de [se] rendre aux abords » d’une enceinte sportive où joue l’OM. Il n’est pas vraiment d’humeur à célébrer les 34 ans d’existence de son groupe, dont le siège actuel, acquis en 2001 grâce à un prêt de 45 000 euros octroyé par l’homme d’affaires Robert-Louis Dreyfus (le propriétaire de l’OM à l’époque), a été perquisitionné deux mois plus tôt.

« Je suis peut-être l’image qu’ils n’aiment pas de Marseille, trop arabe pour eux. Mais je suis respecté dans ma ville car j’en suis le reflet », Rachid Zeroual

C’est un entrepôt de 1 200 m2 de briques et de ferrailles peintes en orange, la couleur du groupe, avec un terrain de pétanque, un bar, un atelier de préparation du tifo (le spectacle des tribunes). Dans le grand salon, de jeunes membres tournent en rond et essaient de contenir leur rage en fumant. « La merde que Rachid a connue, on l’a connue et il nous a sortis des quartiers, nous a donné une sorte d’éducation. On ne le lâchera pas », dit Yanis, 24 ans, un autre cadre. Même le regard de Che Guevara, icône dont ils utilisent l’image depuis toujours, leur vaut des tracas. L’héritière et ayant-droit du photographe cubain Alberto Korda, auteur du célèbre portrait les poursuit en justice et leur réclame 800 000 euros. L’association, condamnée en première instance en 2020, a réglé 10 000 euros et a fait appel. La preuve d’un acharnement, selon Zeroual. « Je suis peut-être l’image qu’ils n’aiment pas de Marseille, trop arabe pour eux, s’emporte-t-il. Mais je suis respecté dans ma ville car j’en suis le reflet, et ça pétera à chaque fois qu’ils ne voudront pas le reconnaître. Je ne me tairai jamais. »

LA SUITE APRÈS CETTE PUBLICITÉ
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Onzième enfant d’une famille ouvrière émigrée d’Algérie, il a connu la pauvreté, le racisme, les internats où il se lie d’amitié avec Dany Kebaili. Ensemble, ils rejoignent les South Winners. Constitué en 1987, ce groupe ultra affiche son antiracisme, et s’impose peu à peu, par la force s’il le faut, dans le virage sud du stade. Dans ses rangs, une figure des tribunes : Patrice de Peretti, alias « Depé », un jeune dévoué corps et âme au club et aux Winners. Ensemble, ils écoutent Bob Marley, Massilia Sound System. Manu Chao en personne chantera pour les 20 ans du groupe.

Un puissant lobby

Les années ont passé. Depé est mort, d’une rupture d’anévrisme, en 2000, à 28 ans. Zeroual a épousé la cousine de ce dernier. Quant à Dany Kebaili, l’ami historique, il préside aujourd’hui les Winners dans son ombre. Vice-président de l’association depuis trente ans, Rachid Zeroual en a fait un puissant lobby. Ainsi a-t-il impliqué les Winners dans la campagne municipale 2020 de Martine Vassal, présidente (LR) du conseil départemental et de la métropole. Des jeunes du groupe ont « tracté » en sa faveur. Mais cela n’empêche pas Zeroual de soutenir aussi depuis longtemps Samia Ghali, sénatrice de gauche et adjointe au maire chargée notamment du Stade-Vélodrome.

« Vassal nous passait 60 000 euros de subventions ces deux dernières années, et on est repassés à 30 000 euros pour ne pas qu’on lui reproche de nous avoir corrompus, explique-t-il. J’ai beaucoup aidé Ghali au début mais bon… C’est Marseille. » Il obtient en échange des logements ou des emplois pour des Winners en difficulté, engrange des subventions et soigne ses relais d’influence pour peser sur la direction de l’OM.

« Le président du vice »

Cette ville est ainsi faite que foot et politique y sont indissociables. Le vice-président des Winners en joue volontiers. Au point d’être surnommé le « président du vice » par une partie de la vieille garde du groupe, déçue par ses compromissions. Celles-ci ont démarré du temps de Bernard Tapie, président de l’OM de 1986 à 1994. C’est lui qui avait aidé le groupe à acquérir son premier local, dans le quartier du Panier. Lui, surtout, qui avait délégué aux diverses associations ultras la vente des places dans les virages du stade. Au fil du temps, cette pratique unique en France a provoqué des pertes colossales pour le club (environ 900 000 euros par an) et enrichi les groupes concernés. « Est-ce que j’ai dorloté Zeroual et autres supporteurs pour qu’ils aient du fric en échange de leur amitié ? Vous me faites chier, tempête Bernard Tapie au téléphone. Comment leur faire plaisir ? Ben, on gagne la coupe d’Europe, pauvre con ! »

« La paix sociale est achetée au prix fort », notent en 2014 les policiers de l’Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO), qui se sont intéressés aux Winners dans le cadre de l’enquête « Mercato » sur les transferts douteux de l’OM. A l’époque, les relations entre Zeroual et la direction du club intriguent, surtout sa proximité avec José Anigo, le directeur sportif réputé proche de certains voyous. Selon les enquêteurs, Zeroual « exerce une influence » vénéneuse sur lui. Lors d’une conversation téléphonique interceptée par les policiers en mai 2012, Didier Deschamps, l’entraîneur d’alors, en conflit avec les deux hommes, lâche cette phrase devenue célèbre à Marseille : « Tu sais qui c’est Rachid ? C’est le seul qui tient José par les couilles. »

Virements douteux

Ce même « Rachid » est aussi soupçonné de détournement de fonds. S’il n’a jamais été salarié des Winners, il en a dirigé le magazine. Les enquêteurs ont exhumé des virements douteux vers César Editions, une société espagnole éditrice de presse dirigée par Jean-Michel Ripa, éphémère président de l’OM (février à juin 1995). Entre 2008 et 2013, celle-ci a reçu 370 000 euros des South Winners, et versé 140 000 euros sur le compte personnel de Zeroual.

Le 28 janvier 2019, ce dernier est de nouveau entendu à Paris par les enquêteurs, au sujet d’une autre société, Zak.com, créée six ans plus tôt avec Dany Kebaili. Cette fois, il est question de possibles surfacturations autour de deux fresques et d’une exposition photographique réalisées pour l’OM par sa société plutôt que par les South Winners. « A aucun moment, je n’ai senti une quelconque escroquerie. (…) On fait gagner de l’argent à tout le monde mais on vit de quoi, nous ? », répond Zeroual aux policiers. A ce jour, il n’a pas été poursuivi pour ces faits.

« Rachid est sûr de sa force, il vous secoue, mais il a un grand sens tactique. Il a certes un pouvoir de nuisance mais aussi d’attractivité pour le club », Christophe Bouchet, ancien président de l’OM

« Ce que je pense de Rachid Zeroual ? Un diable. » Président de l’OM de 2002 à 2004, Christophe Bouchet l’a eu comme salarié chargé des relations avec les supporteurs. « Il a su intelligemment profiter du système baroque de l’OM », poursuit l’ancien dirigeant, qui a licencié Zeroual après sa condamnation, fin 2003, à trois mois de prison ferme à la suite de violences entre supporteurs. Cette décision a valu à M. Bouchet d’être ciblé par certains d’entre eux et déstabilisé par José Anigo. Il a fini par démissionner. « Je lui ai dit entre quatre yeux : “maintenant tu te casses !” », se vante aujourd’hui Zeroual. « Rachid est sûr de sa force, il vous secoue, mais il a aussi un grand sens tactique, nuance Bouchet. Il a certes un pouvoir de nuisance mais aussi un pouvoir d’attractivité pour le club. Le supporteurisme est crucial et jusqu’à ce jour, l’OM n’a pas su établir un dialogue sain et intelligent avec les groupes ultras. »

« Le dernier des Mohicans »

Dans le monde de Zeroual, les présidents de l’OM se divisent en deux catégories : ceux qui ne remettent pas en cause les bases du système Tapie, et les autres. Il s’enorgueillit d’avoir précipité les départs de Jean-Michel Roussier (1995-1999), Yves Marchand (1999-2000), Christophe Bouchet ; d’avoir eu la confiance de Robert-Louis Dreyfus, de Pape Diouf (2005-2009), de Jean-Claude Dassier (2009-2011) et de Vincent Labrune (2011-2016), avec lequel les relations ont tout de même fini par se détériorer ; et enfin, de s’être « débarrassé » de Jacques-Henri Eyraud.

« Si les dirigeants prennent des décisions défavorables à ces groupes, ils sautent », résume l’ancien boxeur Louis Acariès, ex-conseiller de Dreyfus. « Qu’est-ce qui reste au sein des groupes et de l’histoire des ultras ? Zeroual, le boss, le dernier des Mohicans », ajoute José Anigo. A 50 ans, le « boss » du virage sud, « diable » pour certains, est abîmé par la maladie et pris dans la nasse judiciaire, mais il ne s’efface pas pour autant. Le nouveau patron de l’OM, Pablo Longoria, ne tardera pas à le solliciter. « Ce sont eux qui m’appellent, qui ont besoin de moi, prévient Rachid Zeroual, car sans nous, l’OM n’existe pas. »

 
Joan Tilouine
  • Top ! 3
  • Bave 3
Posté(e) (modifié)
il y a 54 minutes, Vistule a dit :

Superbe sabordage de Monaco

J'aime la faible qualite des tirs de Balogun (qui n'en tirera plus un autre de la saison je pense :D ) car il y a une justice... Je viens de voir le resume simplement, mais les 2 penos c'est une escroquerie sans nom que la VAR les valide, non ??? Le 1er je veux bien qu'il y ait un contact tres leger, sur un autre angle que je n'ai pas vu (mais en tant que supporter ca pique, on a l'impression qu'il tombe vraiment tout seul) mais alors le 2nd c'est encore pire... La simulation de Minamino me semble tellement grotesque.

Modifié par Alexis
Posté(e)

Je n'ai pas été plus choqué que ça par les pénaltys. Ce ne sont pas des attentats, mais je vois un contact à chaque fois.
https://www.butsoccers.com/video-monaco-nice-0-1-resume-complet-3/

Monaco a dominé les débats, Nice a subi et joué en contre comme ils l'avaient fait contre Paris.

L'intégration de Balogun est complètement raté. L'équipe tournait bien avec Ben Yedder devant. Ils ont réussi à se créer tous seul un problème en parachutant leur recrue dans le 11, plutôt qu'en prenant le temps de l'intégrer, entrée en jeu après entrée en jeu.

Posté(e)
il y a 5 minutes, GigiMontanier a dit :

Nantes qui passe provisoirement 6emes dans un match spectaculaire face à Lorient. Victoire impérative demain sinon la situation risquerait de devenir vite compliquée 

Je ne vois pas ce que le résultat de Nantes-Lorient change à notre situation. Difficile de prévoir aujourd'hui lequel des 2 sera devant à la fin du championnat....

  • Top ! 2
Posté(e)
il y a 39 minutes, bibeyolo a dit :

Je ne vois pas ce que le résultat de Nantes-Lorient change à notre situation. Difficile de prévoir aujourd'hui lequel des 2 sera devant à la fin du championnat....

Non mais des équipes comme Lyon et Lens ne seront pas derrière nous à la fin par exemple. Et oui Nantes ou Brest ect ne seront pas dans le top 6 à la fin mais rien ne nous dit que nous les rattraperons non plus. Prenons des points maintenant pour se faciliter la tâche le plus rapidement possible. C’est jouable demain soir 

  • Ah bon 1
Posté(e)
il y a 15 minutes, GigiMontanier a dit :

Non mais des équipes comme Lyon et Lens ne seront pas derrière nous à la fin par exemple. Et oui Nantes ou Brest ect ne seront pas dans le top 6 à la fin mais rien ne nous dit que nous les rattraperons non plus. Prenons des points maintenant pour se faciliter la tâche le plus rapidement possible. C’est jouable demain soir 

Un peu comme à chaque journée finalement :ninja:

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