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Le président Comolli


Wingeeky

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il y a 2 minutes, MCMXXXVII a dit :

Perso, j'attends un démenti officiel de la part de Comolli pour être certain de la véracité du tweet. 

Et s'il ne dit rien, c'est qu'il n'y a pas de fumée sans feu. Imparable ! :ninja:

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Bof, il est sanguin le Comolli on le sait, moi ça me gêne pas plus que ça. Non, ce qui me "fascine" c'est comment il s'est mis tout seul dans une crise alors que le club rayonnait grâce à lui justement.

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N'oublions pas qu'il n'est pas propriétaire du club, et que si Redbird, lui dit que la masse salariale doit être de tant, il n'a pas d'autre choix que de s'y plier.
Si Redbird veut que la mariée soit belle, ils ont tout intérêt à montrer des comptes de résultats avec la masse salariale la plus faible possible.
On rabbache que les cadres sont partis, mais soyons honnètes, un seul joueur nous fait réellement défaut. Bibiche était sur courant alternatif (en revanche c'était un meneur d'homme excellent), Ratao inconstant, et Chaibi venait d'éclore. Aujourd'hui ça confirme à quel point VDB était indispensable à l'équipe, mais qu'aurions pû nous faire face aux sirènes de son club de coeur ?

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Il y a 2 heures, format_c a dit :

N'oublions pas qu'il n'est pas propriétaire du club, et que si Redbird, lui dit que la masse salariale doit être de tant, il n'a pas d'autre choix que de s'y plier.
Si Redbird veut que la mariée soit belle, ils ont tout intérêt à montrer des comptes de résultats avec la masse salariale la plus faible possible.
On rabbache que les cadres sont partis, mais soyons honnètes, un seul joueur nous fait réellement défaut. Bibiche était sur courant alternatif (en revanche c'était un meneur d'homme excellent), Ratao inconstant, et Chaibi venait d'éclore. Aujourd'hui ça confirme à quel point VDB était indispensable à l'équipe, mais qu'aurions pû nous faire face aux sirènes de son club de coeur ?

A eux deux ils sont quand meme a l'origine de quasiment 20 buts en comptant leurs passes décisives.

Je ssouhaitea Donnum et Cissoko d'en faire autant.

 

 

 

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il y a 26 minutes, Nico12 a dit :

Pour un président qui adore les médias .. il est vraiment porté disparu ces dernières semaines …

Les médias, à part la Dépêche, c'est dur de s'y inviter tout seul. Ça reste eux qui maîtrisent leur grille, leurs pages, leur antenne, ...

Puis, passé le côté nouveauté de la data, su TFC new-look, forcément, ça intéresse moins les médias. Quelle est l'actu de Comolli qui mérite spécialement de le faire intervenir en ce moment ? Ba... aucune. Y'a Radcliff à Nice, le bordel perpétuel au PSG, Lyon qui coule. L'actualité française est bien chargé, alors que la nôtre, ça ressemble juste à une tempête dansnun verre d'eau.

Sadran, déjà, en son temps, avait eu des articles autour de la remontée, de la Coupe d'Europe, mais autrement, rien de très attirant pour les médias.

Voilà pourquoi le Président du TFC est moins dans les médias. 

L'effet de mode est passé. Mais ne vous en faites pas, il reviendra boen un jour.

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Il y a 4 heures, Vistule a dit :

Et s'il ne dit rien, c'est qu'il n'y a pas de fumée sans feu. Imparable ! :ninja:

Trop de tension dans ce match, d’où le déclenchement de l’alarme incendie 

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Il y a 11 heures, Nuro a dit :

Trop de tension dans ce match, d’où le déclenchement de l’alarme incendie 

Et du coup, on a fini par se mettre le feu tout seul :ninja:.

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C’est bien beau de se pavaner sur la pelouse après une victoire contre les Reds mais ce qu’on veut nous c’est des interviews pour dire que tout va mal hein… :angry:

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il y a 12 minutes, FrenchTuch a dit :

Il en a pas marre de faire fermer nos bouches ?

Ça en devient laçant son professionnalisme.

 

faire fermer des bouches avec des lacets, c'est peut-être un peu trop professionnel :ninaj:

Modifié par bibeyolo
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il y a 3 minutes, bibeyolo a dit :

faire fermer des bouches avec des lacets, c'est peut-être un peu trop professionnel :ninaj:

Ah le sarcasme.. on reconnaît le bon franchouillard derrière son écran .

Posté(e)
à l’instant, FrenchTuch a dit :

Ah le sarcasme.. on reconnaît le bon franchouillard derrière son écran .

Aucun sarcasme. J'aime bien les fautes d'orthographe poétiques ;) L'image de Comolli en train de lacer la bouche de certains a quelque chose alternant entre l'effrayant et l'humour noir. Je trouve ça encore plus drôle quand c'est pas volontaire (ou alors c'était volontaire?). Merci pour pour ce sourire intérieur ;) 

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il y a 1 minute, bibeyolo a dit :

Aucun sarcasme. J'aime bien les fautes d'orthographe poétiques ;) L'image de Comolli en train de lacer la bouche de certains a quelque chose alternant entre l'effrayant et l'humour noir. Je trouve ça encore plus drôle quand c'est pas volontaire (ou alors c'était volontaire?). Merci pour pour ce sourire intérieur ;) 

Excellent rattrapage ! Communiquer sans se foutre de la gueule (comme dirait Dam) d’autrui c’est bien mieux :) 

Pour ma part, je n’ai pas fait exprès, l’image est drôle, je te l’accorde. 

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il y a 53 minutes, bibeyolo a dit :

faire fermer des bouches avec des lacets, c'est peut-être un peu trop professionnel :ninaj:

Tu as trop regardé le film d'horreur "Saw" :lol:

Posté(e) (modifié)

Autant poster l'article de base. Attention, il n'est pas en occitan !


It’s been a 31-year journey — taking in recruitment and director roles at Arsenal, Tottenham Hotspur and Liverpool — and Damien Comolli, now the president of Toulouse FC, cuts a content figure.

“I really feel now that I’m at peace,” he says.

Why? “Those years in different jobs and countries are now my toolbox that I peek inside and choose the right tool for the solution.”

He’s never felt this way before. “I can control more or less everything that is happening day to day but, even in a crisis, there’s no panic. The key is having good people around me and listening to them. Speaking is easy, listening is more difficult.”

Toulouse’s success reflects a well-run and rejuvenated club, rising from the foot of France’s second division just over three years ago to become a top-tier, French Cup-winning, Europa League outfit. “We got promoted (as 2021-22 Ligue 2 champions) and French football noticed; after the cup, European football noticed; after beating Liverpool, the world of football noticed,” says Comolli with a smile.

The 51-year-old Frenchman spent two years at Anfield as director of football strategy. The deadline-day signings of strikers Luis Suarez and Andy Carroll in January 2011 were the most eye-catching deals of his tenure.

Fast forward almost 13 years and the 3-2 group-stage win over his former side last Thursday, especially after October’s reverse fixture had ended in a 5-1 defeat, was equally surprising. Or was it? “Without sounding arrogant, we planned for it. We knew the game at Anfield was going to be hell, but we thought, ‘We can do something at home’, so we approached it differently. It was not unexpected.”

Why such confidence? “We are extremely data-driven on all our football decisions. How we recruit coaches, players; the way we attack, defend; shoot, don’t shoot; cross, press; even optimise our wage bill. Data is part of our culture.”

Along with Premier League clubs Brighton & Hove Albion and Brentford, Toulouse are the sport’s data disrupters. “Our competitive advantage is we decided to go with data and we stick with it. Even when things appear counter-intuitive to the so-called football wisdom.”

Before facing Liverpool in this season’s Europa League, Comolli met his football strategy department to debate a two-game plan, which meant no worry after that defeat on Merseyside: “We never look at the results, we look at the underlying data. For a club like us to leave Anfield with an xG (expected goals) of 1.4 showed that, even in that game, we could create.”

Only one visiting team have registered a better xG than 1.4 at Anfield in the Premier League this season — Brentford, another data-driven side, who achieved 1.68 in Sunday’s 3-0 loss.

Carles Martinez Novell — previously in academy roles in Spain, Qatar and Kuwait before being promoted from an assistant this summer after the firing of last season’s cup-winning boss Philippe Montanier — set the tone immediately after Liverpool’s four-goal triumph. “In the changing room, our head coach said, ‘It might sound crazy, but I want you to be as crazy as me in two weeks’ time. With a different mental approach, we can win it’. That’s where it all started.”

In-game, data-driven decisions helped the longer-term plan too.

“I’m in a WhatsApp group with the analyst and at 4-1 down, I checked when (forward) Thijs Dallinga was coming off. They said he was heading into the ‘red’ (physically fatigued), so it would be two minutes,” he explains. “We want players to perform at their peak and avoid overload, so he came off on 80 minutes. If he’d stayed on, maybe he would get injured.”

Dallinga scored to make it 2-0 in the return against Liverpool and a haul of three goals in his four Europa League games has seen the 23-year-old rewarded this month with a first senior call-up by the Netherlands.

The comments of manager Jurgen Klopp after Liverpool’s 100 per cent record in Europe this season bit the dust highlighted the change in Toulouse’s mental approach: “They won all the decisive Batlles and challenges. They fought harder. It’s deserved, so congratulations.”

Toulouse’s plan worked, and human emotion kicked in for Comolli. “Usually you feel relief, but this was pure enjoyment. The togetherness with the Violets (the club’s nickname) community was incredible.“

The buzz went further afield than the 33,000-capacity Stadium de Toulouse. “I got texts, messages and emails from all over the world — from South Africa, Ghana, Australia, the U.S., South America, everywhere. The repercussions that win had on the global stage for the city of Toulouse is tremendous.”


Comolli’s football experiences have been a learning curve.

Starting as a youth coach at Monaco in 1992 under Arsene Wenger, he joined his countryman at Arsenal four years later as a European scout. He then spent a season as technical director back in French football with Saint-Etienne (2004-05) before Daniel Levy appointed him director of football at Tottenham after the departure of Frank Arnesen. He spent three years there, until Harry Redknapp replaced Juande Ramos.

The premise was that the manager would be given greater control.

Then and now, it’s not a model Comolli agrees with.

“Definitely not. The manager is the worst person in the club to make that type of decision,” he says. “For the good of Tottenham, Daniel never listened to what Harry was saying. Otherwise, he would have destroyed the club. He didn’t want Gareth Bale, didn’t want (Luka) Modric, he didn’t want all of these players. Daniel is too strong. That was the key to Spurs’ success going forward.”

Redknapp admits he didn’t want a director of football in the organisation, and that led to Comolli’s dismissal after a conversation with Levy. He says he was keen to build his team around future Real Madrid great and Ballon d’Or winner Modric, who he regards as one of his favourite players, and always felt Welsh icon Bale, who followed the Croatian to the Bernabeu, was going to be a superstar. Redknapp says his record at Spurs speaks for itself.

Levy, left, made Comolli Spurs’ director of football in 2005 (Jamie McDonald/Getty Images)

Toulouse are controlled by U.S. investor RedBird Capital, which has an 85 per cent stake in the club. It also owns Italy’s AC Milan, and European football’s governing body UEFA ruled the two sides must not collaborate. (They could meet in the Europa League’s first knockout round in February, if Toulouse advance as group runners-up — they are second behind Liverpool with two games to go — and Milan finish third — their current position after four of the six matches — in their Champions League group.)

Nevertheless, Comolli, who was speaking at Web Summit in Lisbon, where he contributed to a panel session on data analytics in football alongside former Tottenham and Chelsea manager Andre Villas-Boas, is at the top of the tree at his club and that is all that matters to him.

“I’m now in a position where everyone is aligned with me at the club. I don’t need to be aligned with someone, if you see what I mean, because the buck stops with me at the end. If I, or we, decide something, then everything has got to fall into line at the club and that’s a big difference with everything that I’ve gone through before and that’s maybe why we are a success.”

He admits he was “useless” when people micromanaged him in the past and that could lead to clashes. It means now he tries not to interfere or dictate. He believes in “responsibility, empowerment and delegation” — but on one condition. “They have to be aligned with the vision we have. That’s a massive difference-maker compared to everything I’ve encountered before. It’s simple.”

It reminds him of his time on the red side of north London.

“The only time I witnessed this type of alignment, it was with David Dein (former Arsenal vice-chairman) and Arsene Wenger and all the way through Arsenal, with all the success they had when I was there. It makes a massive difference and it cannot come from a head coach or manager, it has to come from the top.”

Comolli is happy to reflect but prefers working out what is coming next. “I’m thinking about how to be better every day. I’m pushing everyone — including myself — at the club to find an edge and a competitive advantage.”

Toulouse’s recruitment policy may be data-driven but Comolli believes the numbers will also lead you to the right characters. “We want good people and data helps us assess a lot of personality traits in players and their characters. If they do a lot of stuff off the ball, make runs to open space for another player, he’s a team player. If he constantly wants the ball, he’s got the personality when the going gets tough to say, ‘Just give me the ball’, so his team-mates can rely on him.”

Likewise, he says: “The way we play offensively, if a player is selfish, it will destroy our model and our playing style.”

Toulouse are openly discriminatory when it comes to players’ ages — they want them to be 25 or below (only five members of the squad are older). When the decision — underpinned by data — is made, softer skills come in. “We spend a lot of time with the player, as much as we’re data-driven we are culture-driven as a club. We want to make sure the player’s culture fits into our culture and vice versa. Data is key but the human side is also very important.”

And data, says Comolli, still has blind spots when it comes to recruitment. “We constantly talk about how to measure the performance of a very good young player in a poor team in a non-big five league. That’s a $1billion question and we are trying to solve it.”

(Top photo: Patricia De Melo Moreira/AFP via Getty Images)

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Il y a d'ailleurs dans l'interview une citation très intéressante (expurgée par LesViolets), qui explique sa vision du rôle du coach. On peut y comprendre pourquoi il a viré Montanier. Pour Comolli, un coach ne doit pas vouloir prendre les prérogatives du Directeur du football. Et s'il le veut, il doit partir. La phrase se trouve en fin de ce paragraphe, mais j'ai tout mis pour la bonne compréhension de l'ensemble.

« Après avoir débuté en tant que coach des jeunes à Monaco en 1992 sous Wenger, il a rejoint son compatriote à Arsenal 4 ans plus tard en temps que scout Europe. Il a ensuite passé une saison en tant que Directeur technique dans le football français avec Saint-Etienne, avant que Daniel Levy ne le nomme Directeur du football à Tottenham, après le départ de Franck Arnesen. Il y a passé 3 ans, jusqu'à ce que Harry Redknapp remplacé Juande Ramos.

Les prémisses (NDM : de son départ) a été que le manager (NDM : le coach) s'est vu donné un plus grand contrôle.

À ce moment-là comme maintenant, ce n'est pas un modèle avec lequel Comolli est d'accord.

"Vraiment pas. Le manager est la pire personne du club pour prendre ce genre de décision (NDM : autour du recrutement)" selon lui. "Pour le bien de Tottenham, Daniel [Levy] n'a jamais écouté ce que Harry [Redknapp] disait. Autrement, il aurait détruit le club. Il ne voulait pas de Gareh Bale, il ne voulait pas de Luka Modric, il ne voulait pas de tout ces joueurs. Daniel est trop puissant. Ça a été la clé du succès des Spurs les saisons suivantes"

Redknapp reconnaît ne pas vouloir de directeur du football dans son organisation, ce qui a conduit à la démission de Comolli après une discussion avec Levy. »


 

Plus loin, aussi, une partie intéressante, où il explique qu'il aime avoir le contrôle sur l'idéologie générale, qu'il aime déléguer les tâches, et que chacun dans l'organigramme doit comprendre son rôle et ne pas le dépasser (et je pense que Montanier l'a dépassé, pour Comolli, en se plaignant du recrutement ou en voulant interférer avant. Mais là c'est mon jugement personnel à partir de ce que je lis) :

« Il admet qu'il était "inutile" quand des personnes le micromanageaient de par le passé, et que cela conduisait à des clash. Cela signifie désormais qu'il essaye de ne pas interférer ou dicter. Il croit à "la responsabilité, la prise de pouvoir et la délégation" — mais à une condition simple. "Ils doivent être alignés avec la vision que j'ai. C'est une différence notable en comparaison de ce que j'ai rencontré auparavant. C'est simple". »

Modifié par Vistule
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il y a 16 minutes, Vistule a dit :

Il y a d'ailleurs dans l'interview une citation très intéressante (expurgée par LesViolets), qui explique sa vision du rôle du coach. On peut y comprendre pourquoi il a viré Montanier. Pour Comolli, un coach ne doit pas vouloir gérer le recrutement. Et s'il le veut, il doit partir. La phrase se trouve en fin de ce paragraphe, mais j'ai tout mis pour la bonne compréhension de l'ensemble.

« Après avoir débuté en tant que coach des jeunes à Monaco en 1992 sous Wenger, il a rejoint son compatriote à Arsenal 4 ans plus tard en temps que scout Europe. Il a ensuite passé une saison en tant que Directeur technique dans le football français avec Saint-Etienne, avant que Daniel Levy ne le nomme Directeur du football à Tottenham, après le départ de Franck Arnesen. Il y a passé 3 ans, jusqu'à ce que Harry Redknapp remplacé Juande Ramos.

Les prémisses (NDM : de son départ) a été que le manager (NDM : le coach) s'est vu donné un plus grand contrôle.

À ce moment-là comme maintenant, ce n'est pas un modèle avec lequel Comolli est d'accord.

"Vraiment pas. Le manager est la pire personne du club pour prendre ce genre de décision (NDM : autour du recrutement)" selon lui. "Pour le bien de Tottenham, Daniel [Levy] n'a jamais écouté ce que Harry [Redknapp] disait. Autrement, il aurait détruit le club. Il ne voulait pas de Gareh Bale, il ne voulait pas de Luka Modric, il ne voulait pas de tout ces joueurs. Daniel est trop puissant. Ça a été la clé du succès des Spurs les saisons suivantes"

Redknapp reconnaît ne pas vouloir de directeur du football dans son organisation, ce qui a conduit à la démission de Comolli après une discussion avec Levy. »


 

Plus loin, aussi, une partie intéressante, où il explique qu'il aime avoir le contrôle sur l'idéologie générale, qu'il aime déléguer les tâches, et que chacun dans l'organigramme doit comprendre son rôle et ne pas le dépasser (et je pense que Montanier l'a dépassé, pour Comolli, en se plaignant du recrutement ou en voulant interférer avant. Mais là c'est mon jugement personnel à partir de ce que je lis) :

« Il admet qu'il était "inutile" quand des personnes le micromanageaient de par le passé, et que cela conduisait à des clash. Cela signifie désormais qu'il essaye de ne pas interférer ou dicter. Il croit à "la responsabilité, la prise de pouvoir et la délégation" — mais à une condition simple. "Ils doivent être alignés avec la vision que j'ai. C'est une différence notable en comparaison de ce que j'ai rencontré auparavant. C'est simple". »

Oui c'est un peu contradictoire vu qu'il a travaillé avec Wenger... 

Il ne pas nous faire croire que Wenger n'avait pas son mot à dire sur le recrutement... 

Et d'autres exemples comme Zidane, plus loin Fergusson etc... 

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