Asha31 Posté(e) 14 avril 2022 Posté(e) 14 avril 2022 il y a 54 minutes, LutherBlissett a dit : D'autant plus que je trouve qu'ils les donnent assez "facilement" les passes décisives, par exemple sur une petite passe suivi d'un tir de 25 mètres ou une passe suivi d'un dribble avant le tir. Il y a 3 heures, Vistule a dit : Merci ! Quelle bande de relous 😱 Ouaip, on a une interprétation assez débile de la passe décisive dans le championnat français: dernière passe avant but, point à la ligne, au point comme vous dites Luther que la moindre passe peut devenir décisive pour peu que celui qui la reçoive fasse un exploit. Par contre, une "action" ultra décisive , comme celle de Branco (récupération sur un pressing bien senti à 25 mètres des cages, qui donne un ballon vers le but adverse exploité par l'attaquant), ça n'est pas comptabilisée. Dans le genre absurde par exemple, sur le coup-franc indirect marqué par Branco contre Amiens, par contre, la petite déviation de 5 centimètres de Genreau de la semelle avant le tir, ça comte pour "passe décisive" Les allemands par exemple sont beaucoup plus sur la notion de "décisivité" de l'action, même si il n'y a pas d'intention de passe : une frappe repoussée par le gardien ou le poteau et reprise par un attaquant, ou un bon centre légèrement dévié, ça compte passe quand même, ils sont plus sur l'origine de la notion d'"assist" , à savoir "être aidant sur le but" . 2 1 Citer
ResetBulshit Posté(e) 14 avril 2022 Posté(e) 14 avril 2022 il y a 41 minutes, Asha31 a dit : Dans le genre absurde par exemple, sur le coup-franc indirect marqué par Branco contre Amiens, par contre, la petite déviation de 5 centimètres de Genreau de la semelle avant le tir, ça comte pour "passe décisive" Ah oui j'avais oublié ça 😂 😂 1 Citer
Grominet Posté(e) 14 avril 2022 Posté(e) 14 avril 2022 (modifié) Il y a 1 heure, Asha31 a dit : Ouaip, on a une interprétation assez débile de la passe décisive dans le championnat français: dernière passe avant but, point à la ligne, au point comme vous dites Luther que la moindre passe peut devenir décisive pour peu que celui qui la reçoive fasse un exploit. Par contre, une "action" ultra décisive , comme celle de Branco (récupération sur un pressing bien senti à 25 mètres des cages, qui donne un ballon vers le but adverse exploité par l'attaquant), ça n'est pas comptabilisée. Dans le genre absurde par exemple, sur le coup-franc indirect marqué par Branco contre Amiens, par contre, la petite déviation de 5 centimètres de Genreau de la semelle avant le tir, ça comte pour "passe décisive" Les allemands par exemple sont beaucoup plus sur la notion de "décisivité" de l'action, même si il n'y a pas d'intention de passe : une frappe repoussée par le gardien ou le poteau et reprise par un attaquant, ou un bon centre légèrement dévié, ça compte passe quand même, ils sont plus sur l'origine de la notion d'"assist" , à savoir "être aidant sur le but" . Même en acceptant la subjectivité et le contexte, le décompte reste à mon avis très imparfait dans la mesure où tout dépend du destinataire de la passe... 10 ballons moyennasses envoyés à Suarez peuvent être des passes décisives, alors que 10 ballons parfaits envoyés à Onaiwu, c'est plus compliqué... (on notera que le ballon de Adli pour Moreira, face à Troyes l'an dernier, n'a pas été comptabilisé comme une passe décisive ) Et finalement, c'est donc le moins bon technicien qui sera valorisé comme meilleur passeur. C'est pour ça que ce classement ne peut exprimer qu'une "tendance" et ne devrait pas, à mon humble avis, être officiel... Il est juste bon pour la data. Modifié 14 avril 2022 par Grominet Citer
NicoPaviot Posté(e) 14 avril 2022 Posté(e) 14 avril 2022 Il y a 3 heures, Grominet a dit : Même en acceptant la subjectivité et le contexte, le décompte reste à mon avis très imparfait dans la mesure où tout dépend du destinataire de la passe... 10 ballons moyennasses envoyés à Suarez peuvent être des passes décisives, alors que 10 ballons parfaits envoyés à Onaiwu, c'est plus compliqué... (on notera que le ballon de Adli pour Moreira, face à Troyes l'an dernier, n'a pas été comptabilisé comme une passe décisive ) Et finalement, c'est donc le moins bon technicien qui sera valorisé comme meilleur passeur. C'est pour ça que ce classement ne peut exprimer qu'une "tendance" et ne devrait pas, à mon humble avis, être officiel... Il est juste bon pour la data. Oui mais dans la globalité, si tu prends pas en compte les moments où il est incohérent, c'est un excellent indicateur. 1 Citer
AgentX Posté(e) 14 avril 2022 Posté(e) 14 avril 2022 Il y a 11 heures, Asha31 a dit : Son ballon récupéré sur Mauricio au Stadium contre Sochaux, le premier but de Rhys! Ce n'est pas une passe quoi, un peu comme un "foie gras" veggie-vegan. Alors la faiblesse mentale de den Boomen est problématique, surtout avec le retour de BD10, mais de là à tordre le coup au sens des mots... Citer
Grominet Posté(e) 15 avril 2022 Posté(e) 15 avril 2022 Il y a 13 heures, NicoPaviot a dit : Oui mais dans la globalité, si tu prends pas en compte les moments où il est incohérent, c'est un excellent indicateur. Tout à fait, mais de là le transformer en "classement officiel", c'est peut-être un peu excessif. Remarque, dans l'absolu on peut aussi gloser à l'envi sur le classement des buteurs... Entre ceux qui empilent les buts sur penalty, ceux qui sont à chaque fois servis sur un plateau... Il faut peut-être tout simplement accepter que chaque classement recèle sa part d'imperfection dans sa volonté de délivrer une information 1 1 Citer
NicoPaviot Posté(e) 15 avril 2022 Posté(e) 15 avril 2022 Je met un ninja, vu qu’apparemment, j'ai fait une dondiegade. 1 Citer
Grominet Posté(e) 15 avril 2022 Posté(e) 15 avril 2022 Il y a 8 heures, NicoPaviot a dit : Je met un ninja, vu qu’apparemment, j'ai fait une dondiegade. Je confesse que celle là était trop subtile pour moi. Citer
RobespierreDorsini Posté(e) 17 avril 2022 Posté(e) 17 avril 2022 Pas son meilleur match hier, il commence à piocher, mais il reste indispensable à notre équipe. Toute proportion, il me rappelle Zidane : Il a les deux pieds, il tire les CPA à merveille, il dégage une certaine puissance dans le jeu défensif. Citer
kike Posté(e) 17 avril 2022 Posté(e) 17 avril 2022 https://www.ladepeche.fr/2022/04/15/reportage-tfc-vivez-aimez-riez-on-est-parti-sur-les-traces-de-branco-van-den-boomen-a-eindhoven-10238895.php Citer
RobespierreDorsini Posté(e) 17 avril 2022 Posté(e) 17 avril 2022 il y a 8 minutes, kike a dit : https://www.ladepeche.fr/2022/04/15/reportage-tfc-vivez-aimez-riez-on-est-parti-sur-les-traces-de-branco-van-den-boomen-a-eindhoven-10238895.php Le look de hooligan du daron Citer
marco Posté(e) 17 avril 2022 Posté(e) 17 avril 2022 Il y a 2 heures, Vistule a dit : Le look de hooligan du daron J'espère qu'il négocie pas les prolongations de contrat. Citer
C’est un message populaire. kike Posté(e) 18 avril 2022 C’est un message populaire. Posté(e) 18 avril 2022 REPORTAGE. TFC : "Vivez, aimez, riez !" On est parti sur les traces de Branco van den Boomen à Eindhoven Avant de triompher à Toulouse, Branco van den Boomen s’est battu avec son destin aux Pays-Bas.Pour tenter de le comprendre, La Dépêche du Midi s’est rendue dans sa ville natale, à Eindhoven. Famille, amis, anciens entraîneurs... Ils racontent l’itinéraire du nouveau roi du TFC. La passion, ça ne se négocie pas. Celle qui électrise Harry van den Boomen depuis toujours est rood-witten, rouge et blanche comme les couleurs du PSV. L’homme de 55 ans a donné rendez-vous au "Eetcafé de Verlenging", bar-restaurant lové dans les entrailles du Philips Stadion, le stade du club mythique d’Eindhoven, parce qu’il est ici chez lui. Entre deux tapes dans le dos du patron, il navigue parmi les vitrines qui ornent la salle, où dorment maillots, photos et paires de crampons, témoins de la gloire du PSV et de ses légendes. Son œil s’allume comme celui d’un gosse : ces objets, c’est aussi sa vie qu’ils racontent. Quelque part, ils lui appartiennent. C’est vrai pour tous les supporters, mais pour lui peut-être un peu plus. Formé au PSV, par Guus Hiddink notamment, joueur de l’équipe nationale hollandaise en U18, Harry van den Boomen est fauché avant 20 ans par une rupture des ligaments croisés et doit ranger au placard ses rêves et son maillot rayé. Accoudé à la rambarde de la petite terrasse qui surplombe la pelouse où Willy van der Kuijlen, Phillip Cocu, Ruud van Nistelrooy et Ronaldo ont jeté des éclairs d’éternité, il se demande : "qu’aurait été ma vie sans cette blessure ?" Aujourd’hui restent des souvenirs, immortalisés par des photos et articles de presse jaunis, comme ce tournoi à Croix où il termine meilleur buteur devant les attaquants du Real Madrid, de Milan, de Saint-Etienne. Il y a aussi, surtout, un héritage : "Ma blessure m’a empêché de réaliser mon rêve. Maintenant, je vois mon fils l’atteindre, et ça, c’est magnifique." À 26 ans et à 1 000 bornes d’Eindhoven, Branco van den Boomen vit la plus belle saison de sa carrière. Meilleur passeur de Ligue 2, élu deux fois d’affilée joueur du mois, en février et en mars, le milieu de terrain a trouvé une couronne au bout de l’exil et une justification à son destin. Branco van den Boomen n’avait que le foot dans la tête. À 16 ans, il le répétera sous la forme d’une promesse adressée à son grand-père Frans Leemans lors de ses funérailles : "Je te le jure, je deviendrai un joueur pro." Alors qu’il attaque son club sandwich très hollandais – bacon, poulet, concombre, tomates, œuf – Harry van den Boomen rembobine : "Branco est presque né avec un ballon dans les pieds. Dans son parc pour bébé, alors qu’il ne savait pas marcher, il se tenait aux rambardes et tirait dans un ballon de l’autre côté. Il faisait le tour en s’agrippant, tirait dans l’autre sens, et ainsi de suite pendant des heures. Au bout d’un moment, il tombait de fatigue, dormait un peu, et il remettait ça. Je ne l’ai jamais vu jouer aux voitures ou à quoi que ce soit d’autre." L’enfance à Veldhoven, ville de 45 000 âmes du Brabant-Septentrional, voisine d’Eindhoven et de Nuenen où vécut Van Gogh, ressemble à celle que vivent des milliers d’autres gamins partout en Europe. "Nous étions heureux, et les meilleurs amis", se souvient Vinnie van den Boomen, petit frère né deux ans après. Chez les frangins, le foot prend toute la place, ou presque. Le temps qu’il reste, quand les jambes sont trop fatiguées, ils le tuent sur la Playstation, à FIFA et GTA, ou serrés sur le canapé du salon lors des soirées Ligue des champions. Harry dit que son deuxième fils avait autant voire plus de talent que l’aîné. Ça le fait marrer : "Branco, depuis que j’ai deux ans, a toujours dit qu’il serait footballeur professionnel. Il n’avait que ça dans la tête." À 16 ans, il le répétera sous la forme d’une promesse adressée à son grand-père Frans Leemans lors de ses funérailles : "Je te le jure, je deviendrai un joueur pro." Le père concède : "Vinnie, peut-être qu’il n’avait pas le caractère de Branco. Il était attiré par d’autres choses, comme la musique." Celui qui partage désormais son temps entre le foot, qu’il pratique en amateur au RKVVO, le club de Veldhoven, la pop musique qu’il compose et son boulot de nuit en boulangerie, réfléchit un peu lorsqu’on lui demande à quel moment il a su que les choses devenaient sérieuses pour son frère. "Probablement lorsque l’Ajax est venu le chercher", finit-il par répondre. Le manager de l’Ajax, Jan Olde Riekerink, m’appelle : il me dit qu’il veut me parler de Branco Je raccroche, trois fois de suite ! Je pensais que c’était une blague, et moi, je suis pour le PSV !" Nous sommes en 2011. Branco van den Boomen répète ses gammes depuis sept ans à Willem II, le club de Tilbourg, quand le téléphone de son père sonne. "C’était le manager de l’Ajax, Jan Olde Riekerink, qui me dit qu’il veut me parler de Branco. Je raccroche, trois fois de suite ! Je pensais que c’était une blague, et moi, je suis pour le PSV !" Le quatrième appel sera le bon. Au fond, Harry van den Boomen le sait : quand l’Ajax Amsterdam sonne à votre porte, vous n’avez pas d’autre choix que de l’ouvrir en grand. Branco prépare ses valises pour la capitale et le plus grand club du pays, où il fera ses débuts avec l’équipe réserve en 2013, après avoir raflé un titre de champion d’Europe des moins de 17 avec les Oranje. Mais il ne portera jamais le maillot de l’équipe première. "La marche était peut-être trop haute", analyse Robin Pronk dix ans plus tard. Coach des U17 de l’Ajax à l’époque, il est l’un des hommes derrière l’arrivée de Branco à Amsterdam : "Il avait déjà cette magnifique qualité de passe, de frappe, il était excellent sur coup franc. Mais je pense que certaines faiblesses défensives et sa vitesse l’ont empêché de franchir ce palier vers le très haut niveau." "Branco, à Eindhoven, tout le monde l’aime" Ce vendredi soir, le Jan Louwers Stadion, 4 600 places, n’a pas fait le plein. L’enjeu est pourtant de taille pour le FC Eindhoven, en bonne position pour décrocher son accession en Eredivisie à l’heure de recevoir Almere City. Mais au sud d’une ville où l’attention est vampirisée par le PSV, on s’est résignés à vivre à l’ombre d’un géant. Le club fondé en 1909, quatre ans avant que Philips ne crée le PSV pour ses ouvriers, a tout de même son histoire et ses légendes. Pascal Maas, 44 ans en bleu et blanc en tant que joueur puis entraîneur, en est assurément une, du haut de ses 88 buts. "Et en tant que milieu de terrain !" se marre-t-il. On dirait que ce grand gaillard noueux a toujours été là. Il l’était lorsque Branco van den Bommen a signé, en 2014, après son échec à l’Ajax. "Je n’ai jamais senti qu’il était déçu", rejoue-t-il. « Branco n’est pas quelqu’un qui regarde en arrière. Il se dit, ‘‘qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui ?’’" Ce qu’il a fait en 2014-2015, c’est participer à l’une des meilleures saisons du FC Eindhoven, qui échoue aux portes de la montée, deuxième avec 80 points derrière un ahurissant NEC Nimègue et ses 101 points. rop fort pour l’Eerste Divisie, van den Boomen ira quand même découvrir la première division hollandaise, à Heerenveen, où il débarque en 2015 pour remplacer Marten de Roon, parti à l’Atalanta Bergame. Mais deux ans et 31 matchs plus tard, il reviendra encore, attiré comme un aimant par sa ville natale, après un nouvel échec et une nouvelle "marche peut-être un peu haute" selon Pascal Maas. C’est lors de sa deuxième période à Eindhoven, entre 2017 et 2019, que van den Boomen deviendra "le Branco que vous voyez aujourd’hui à Toulouse. On ne peut le comparer à aucun autre joueur que l’on a eu ici", admire son ancien entraîneur. Quand il est revenu, il a ajouté les buts et la gestion du tempo à sa palette. C’était devenu un excellent joueur, notre maître à jouer. Il avait des statistiques, et il était surtout resté un très bon être humain. C’est quelqu’un avec qui j’ai énormément apprécié travailler, jamais en colère, toujours enthousiaste, avec cette envie de gagner, même à l’entraînement. C’est un mec normal. Branco, à Eindhoven, tout le monde l’aime. Ça a matché entre lui et le club. Il se sentait bien ici, il était dans une zone de confort, mais prêt à exploser." C’est ce qu’il fera, loin d’Eindhoven, mais avec les yeux de sa ville braqués sur lui. Amour, IPTV et semi-conducteurs 15 heures. Dans le salon de la petite maison en briques sombres typique de Veldhoven, les premières bouteilles de Bavaria s’ouvrent. Aux murs, un maillot violet floqué du numéro 8, encadré aux côtés d’autres photos de Branco et d’autocollants des Indians Tolosa, ramenés par Harry van den Boomen de son déplacement en parcage avec les ultras toulousains, cette saison à Valenciennes. Ce samedi, le TFC est à Guingamp, et comme lors de chaque match, la télé est branchée sur l’IPTV dans ce qu’il appelle "sa cave d’hommes." Maurice, Syef, Michel et Bart sont là. Les amitiés remontent à loin. Elles se sont pour la plupart liées à l’usine d’ASML, géant de l’industrie de semi-conducteurs qui emploie près de 30 000 personnes, indépendante de Philips depuis 1988. À Veldhoven, où est situé son siège social, elle fait partie de la vie et conditionne les solidarités. "Que je parle à Comolli, à un joueur, à un paysan, à un ultra, c’est la même chose pour moi", répète Harry van den Boomen, dont un autre de ses cadres permet d’apprécier la philosophie : "Live, Love, Laugh" (Vivez, Aimez, Riez) peut-on lire. "J’aime la vie, elle est trop courte pour ne pas faire ce que tu veux. Et ce n’est pas important de tomber, il faut se relever. C’est ce que j’ai voulu apprendre à Branco." À la télé, le fils prodige distribue deux nouvelles passes décisives sur la pelouse du Roudourou et porte le TFC encore un peu plus près de la Ligue 1. Guingamp a un genou à terre, les "on est les champions" fusent dans le salon et les cinq amis préparent déjà leur prochain voyage à Toulouse, demandant à ce qu’on leur traduise le chant des supporters "qui ne saute pas n’est pas toulousain." "Branco, on ne peut le comparer à aucun autre joueur qu’on a eu ici au FC Eindhoven. Et c’est surtout un très bon être humain. C’est un mec normal." Pascal Maas, entraîneur au FC Eindhoven Puis les discussions reviennent à l’ordinaire. Au PSV Eindhoven. "C’est sûr qu’on aurait aimé voir Branco y jouer" souffle Maurice. L’histoire s’est jouée à peu. "Le PSV voulait récupérer Branco quand il avait 8 ans, mais souhaitait le laisser encore une saison au RKVVO. À l’époque, les gars de Willem II ont été malins : ils faisaient descendre des joueurs de l’équipe 1 pour s’entraîner avec les jeunes, et quand Branco a vu ça, il avait des étoiles dans les yeux. Il me disait : ‘‘Papa je ne veux pas attendre.’’" Harry van den Boomen se tourne alors vers la légende du PSV, Willy van der Kuijlen. "Il m’a dit : ‘‘Harry, ce n’est pas grave si le gosse veut aller à Willem, laisse le faire.’’" 18 ans plus tard, après quelques détours et faux départs, Branco van den Boomen n’a toujours pas porté le maillot rood-witten mais est enfin prophète, même loin de son pays. Adulé à Toulouse, "il n’a jamais été aussi fort" selon son frère Vinnie. "C’est aussi parce qu’il est en confiance. Il a une stabilité, sa copine, sa famille. Il ne se focalise plus uniquement sur le foot, et ça lui permet d’être plus serein, plus mature." Père d’une petite fille depuis l’année dernière, c’est désormais à lui de transmettre l’héritage. Assurément rouge et blanc, forcément un peu violet. 10 2 Citer
allo Posté(e) 19 avril 2022 Posté(e) 19 avril 2022 Vdb va trop au V&B en ce moment ? un peu fatigué mais il a tellement donné cette saison Citer
Asha31 Posté(e) 25 avril 2022 Posté(e) 25 avril 2022 Quelle classe folle en seconde période, quelle passe dé encore. Quel joueur bordel. Citer
joseywales Posté(e) 25 avril 2022 Posté(e) 25 avril 2022 Magnifique passe décisif ce soir, dommage que rasmus touche le poteau c était nickel. Et puis bon le daron il fait trop plaisir à voir 😀 Citer
Docteur NO Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 Sur le débordement et le centre , il a la rage , comme si on venait de commencer le match , assez incroyable Citer
Ali_Rachitique Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 Et que dire de son père posé en virage Brice, debout en train de chanter avec les autres 😍 Je ne sais pas poster d'image mais il était à quelques rangs devant moi, c'était top de le voir là ! 2 Citer
CAHORS Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 (modifié) il y a 32 minutes, Docteur NO a dit : Sur le débordement et le centre , il a la rage , comme si on venait de commencer le match , assez incroyable Le centre est incroyable de justesse, ce type a un pied droit magique. Quelle saison il fait Même en L1 il peut nous garantir presque le maintien par sa seule présence, s'il est à ce niveau. A prolonger ABSOLUMENT, le talent doit se payer c'est normal. Après, il fait la meilleure saison de sa carrière et il a 27 ans, c'est normal qu'il souhaite valoriser ses performances mais chez nous il a les clés du camion Modifié 26 avril 2022 par CAHORS Citer
NicoPaviot Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 il y a 24 minutes, Ali_Rachitique a dit : Et que dire de son père posé en virage Brice, debout en train de chanter avec les autres 😍 Je ne sais pas poster d'image mais il était à quelques rangs devant moi, c'était top de le voir là ! J'aimerais bien voir ça. Tu peux utiliser un site comme imgur.com Tu glisses ta photo, tu copies le lien ici et ca devrait le faire. Citer
taz Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 Dans la Dépêche d'aujourd'hui, il dit 50-50 comme possibilité de rester à Toulouse. 1 1 Citer
moyo Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 https://www.ladepeche.fr/2022/04/25/video-tfc-quand-le-pere-de-branco-van-den-boomen-intervient-en-plein-direct-aux-abords-du-stadium-10258621.php Citer
jerome69 Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 il y a 23 minutes, taz a dit : Dans la Dépêche d'aujourd'hui, il dit 50-50 comme possibilité de rester à Toulouse. mhh ça sent pas bien bon ça , si dans l'euphorie de la montée il n'est qu à 50% de rester , ça risque d'être pire dans 2 mois. Citer
Louvin Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 Le deuxième but je ne m'en lasse pas : il est sur l'aile parce que Nathan a percé à l'intérieur, il reste en retrait ce qui fait que sur la passe latérale il est sur le ballon sans avoir à la contrôler - une fois la passe faite, il prend deux fois l'information et sans contrôle envoie un centre téléguidé brossé pile au bon endroit. Sa plus belle assist de la saison - elle ressemble à celle contre Dijon mais en 10 fois mieux 1 2 Citer
CAHORS Posté(e) 26 avril 2022 Posté(e) 26 avril 2022 (modifié) il y a 9 minutes, moyo a dit : https://www.ladepeche.fr/2022/04/25/video-tfc-quand-le-pere-de-branco-van-den-boomen-intervient-en-plein-direct-aux-abords-du-stadium-10258621.php Ben voilà pour la prolongation, y a qu'à embaucher son père et le pote on arrivera bien à leur trouver des trucs à faire Modifié 26 avril 2022 par CAHORS Citer
Messages recommandés
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.