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Repêchage TFC Ligue 1


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à l’instant, Casimir a dit :

Si j'ai pu donner du rêve ne serait-ce qu'à un seul forumeur :ninja: 

Je n'ai pas dû comprendre; enfin toujours est-il que si séquestre de 30M€ il y a (il devrait y avoir 27 + 23 à savoir dette + apport transferts provisionné donc en réalité 50M€) c'est à mon sens plus que suffisant étant donné le contexte pour valider l'avenir de Bordeaux en L1 et Toulouse en L2. Ca suffira à débrancher les cerveaux sur la partie addition/soustraction et donc fermer les yeux avant de ramasser les morceaux en 2022 voire en décembre. C'est terminé.

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il y a 9 minutes, Alexis a dit :

Et dans la foulée je parie sur un transfert bouclé ! ^^

Quelle que soit la décision, notre mercato est peut-être déjà intégralement bouclé. Comolli va signer soit la pile de droite soit la pile de gauche selon si on est en L1 ou L2

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Bordeaux va être sauvé. Ce qui me fait rire c’est que sur les 30M mis sous séquestre, 20M sont empruntés … quelle bulle spéculative le bordel.

Dans 1 ou 2 ans explosion a Bordeaux !

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il y a 16 minutes, arnahud a dit :

Je n'ai pas dû comprendre; enfin toujours est-il que si séquestre de 30M€ il y a (il devrait y avoir 27 + 23 à savoir dette + apport transferts provisionné donc en réalité 50M€) c'est à mon sens plus que suffisant étant donné le contexte pour valider l'avenir de Bordeaux en L1 et Toulouse en L2. Ca suffira à débrancher les cerveaux sur la partie addition/soustraction et donc fermer les yeux avant de ramasser les morceaux en 2022 voire en décembre. C'est terminé.

Je suis pas sur. Ils devaient mettre 50M sous séquestre, ils en mettent seulement 30M. Avec en plus les pressions des acteurs du foot contre ce rachat, c'est pas du tout no brainer pour moi..

Posté(e) (modifié)

Ce cirque :lolol:

Quand Lopez parle de réunion de travail aulieu d'audition auprès de la DNCG, je crois que ça veut tout dire...

Modifié par format_c
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à l’instant, SpeedyTFC a dit :

Je crois que l'image de la DNCG serait lourdement entachée demain si ils annonçaient le maintien de Bordeaux. Et ça ouvrirait la porte à des mafieux pour rentrer sur le marché français du foot.

Voilà mon sentiment.

Les mafieux sont déjà aux commandes des plus hautes instances du football français et les portes sont ouvertes depuis bien longtemps comme en témoigne cette mascarade..

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il y a 8 minutes, Toulousain31 a dit :

Réunion de travail.. en fait il est tellement en train d entuber tout le monde qu il va finir par racheter la DNCG 

Avec un emprunt d'état :ninja:

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il y a 2 minutes, SpeedyTFC a dit :

Je crois que l'image de la DNCG serait lourdement entachée demain si ils annonçaient le maintien de Bordeaux. Et ça ouvrirait la porte à des mafieux pour rentrer sur le marché français du foot.

Voilà mon sentiment.

Tout à fait d'accord. J'attends avec impatience ...

 Après, je rappelerai que Lopez avait aussi dit que la 1ere réunion qui avait envoyée Bordeaux en L2 s'était bien passée...😂 Opération propagande... Cet homme est un génie. Perso, je pense que Bordeaux est trop petit pour lui. Je suis sûr que ce gars est capable de rendre la parole aux muets, d'arrêter le changement climatique ...

  • Bave 1
Posté(e) (modifié)

Gérard Lopez : « Bordeaux, ce n’est pas une reprise, c’est une opération de sauvetage »

Ejecté du LOSC en décembre 2020, après trois ans à la tête du club nordiste, l’homme d’affaires est entendu par la Direction nationale du contrôle de gestion, lundi 12 juillet, sur son projet de reprise des Girondins de Bordeaux.

Propos recueillis par Jérôme Porier

Publié aujourd’hui à 11h00 

 

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L’ancien président du Losc Gérard Lopez, le 30 juin à Paris. L’ancien président du Losc Gérard Lopez, le 30 juin à Paris. SIMONE PEROLARI POUR "LE MONDE"

Si Gérard Lopez, 49 ans, est désormais un acteur bien connu dans le milieu du sport, ses méthodes ne font pas l’unanimité. A l’origine du projet lillois qui a mené le LOSC au titre de champion de France de football en mai, l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois a été évincé fin 2020 du club nordiste, le laissant dans une situation financière délicate. Aujourd’hui, il espère racheter les Girondins de Bordeaux et doit, pour cela, convaincre la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) de la viabilité de son projet, lundi 12 juillet.

Depuis votre passage à Lille, vous incarnez dans le football français le « trading » de joueurs, un modèle économique qui repose sur l’achat de jeunes joueurs prometteurs dans l’espoir de les revendre avec de grosses plus-values. Cette stratégie a permis au LOSC de devenir champion de France, mais est-elle viable à long terme ?

Le modèle économique des clubs français n’est pas pérenne. Les droits télé, le sponsoring et la billetterie ne suffisent pas à équilibrer les dépenses d’un club, donc tout le monde fait du trading de joueurs sans le dire. La différence, c’est que, moi, je dis ce que je fais et que j’ai industrialisé le processus. Et je fais ça tout en étant champion de France et en qualifiant Lille deux fois en trois ans pour la Ligue des champions, ce qui énerve beaucoup de monde. Si j’avais repris un petit club et que je finissais chaque saison entre la dixième et la dix-huitième place, personne ne me critiquerait.

Votre activité de trading n’a pas permis à Lille de rembourser les 225 millions d’euros empruntés auprès du fonds américain Elliott, qui a pris le contrôle du club. L’endettement du LOSC reste élevé, proche de 120 millions. Est-ce donc un échec ?

Pas du tout, ma gestion a été excellente ! A la tête de Lille, j’ai investi 180 millions d’euros dans l’effectif et réalisé pour 340 millions d’euros de ventes. En parallèle, j’ai remboursé 200 millions d’euros. Et, contrairement à ce qu’affirme la nouvelle direction du LOSC, le club n’a aucune dette bancaire et n’était pas en cessation de paiement, puisqu’un plan était prévu pour couvrir tous les engagements financiers, y compris dans le cadre de la pandémie.

 

Au moment de mon départ, la seule dette correspondait aux investissements dans des tiers (joueurs, agents…), tout le reste a été apuré. Le club était dans une position bien plus forte qu’à mon arrivée, avec un effectif dont la valeur, évaluée à 330 millions d’euros, est la deuxième en France derrière celle du PSG [le site allemand TransferMarkt le place en quatrième position, derrière Paris, Monaco et Lyon]. En outre, une part des coûts opérationnels est couverte grâce aux recettes supplémentaires générées par les bons résultats sportifs de Lille.

Avec le recul, regrettez-vous d’avoir fait appel à Elliott, un fonds vautour exigeant un taux d’intérêt supérieur à 10 % ?

Il y a cinq ans, c’était la première fois qu’un fonds d’investissement finançait un club de football en France. J’ai dû accepter des conditions que je n’accepterais plus aujourd’hui, car le marché a changé. Beaucoup de fonds s’intéressent désormais au football, et j’ai le choix de décider avec qui je veux travailler à Bordeaux. Mais je n’ai pas de regrets pour Lille, car je ne pouvais pas agir de manière différente il y a cinq ans.

Pourquoi avoir choisi Bordeaux ?

C’est un club que je connais bien. J’ai 50 ans, je suis francophile, j’ai aimé les Girondins de Bordeaux dans les années 1980, à l’époque des grandes épopées européennes, avec des joueurs comme Jean Tigana, Alain Giresse, Patrick Battiston… Enfant, je suis tombé amoureux de Lille, le club qui me faisait vibrer chaque week-end, mais mon club de cœur, c’est le FC Barcelone.

A Bordeaux, vous proposez d’apporter 7,5 millions d’euros en fonds propres. A Lille, vous aviez financé le rachat du club uniquement par endettement. D’où provient votre fortune ?

En 1993, j’ai créé, aux Etats-Unis, Icon, une agence de design Web, l’une des toutes premières. Après sa vente, je suis rentré en Europe, où j’ai rencontré ceux qui sont devenus mes associés. Ensemble, nous avons monté, en 1999, Mangrove, un fonds d’investissement spécialisé dans les entreprises technologiques américaines. Nous avons été parmi les premiers à investir dans des start-up comme Skype, Wix ou WorkMe, qui ont été introduites au Nasdaq. Aujourd’hui, les sociétés dans lesquelles Mangrove a investi pèsent plus de 20 milliards de dollars [16,9 milliards d’euros]. Aucun investisseur en Europe n’a fait mieux.

Selon « L’Equipe », le LOSC n’aurait touché que 10 millions d’euros sur le transfert du Nigérian Victor Osimhen, vendu pour plus de 70 millions d’euros à Naples. Comment l’expliquez-vous ?

Le contrat prévoit des paiements échelonnés entre 2020 et 2024, ce qui est normal pour un transfert de ce type. Quant à la commission versée aux intermédiaires, de ce que j’en sais, elle était de 8 %, donc inférieure à la limite de 10 % fixée par la réglementation française. Tout s’est fait dans les règles.

 

Quel bilan dressez-vous de votre passage à Lille ?

Avec l’entraîneur Christophe Galtier, avec Luis Campos [spécialiste réputé du trading de joueurs, le Portugais dirigeait Scoutly, la société de Gérard Lopez installée à Londres et chargée de détecter les jeunes joueurs de talent], avec son bras droit, Admar Lopes, et leur équipe, nous avons eu une relation exceptionnelle. Dans plusieurs décennies, on repensera à ce que nous avons vécu ensemble, et on se dira probablement que nous avons réussi un truc incroyable. C’est ce dont je suis le plus fier : avoir vécu une telle aventure humaine.

Des regrets ?

Si c’était à refaire, je communiquerais davantage. Je n’accepte plus qu’on dise n’importe quoi sur moi, simplement parce que je n’ai pas l’habitude de répondre. J’ai appris aussi à être moins passionnel dans mes choix. Celui de Marcelo Bielsa [l’entraîneur argentin, réputé pour son football offensif, a été démis de ses fonctions cinq mois après son arrivée à Lille, à l’été 2017] était un de ces choix. Je l’ai fait car j’étais amoureux de ce jeu, de ce que pourrait être ce foot-là !

 

Comptez-vous appliquer la même méthode à Bordeaux ?

Les deux situations ne sont pas comparables. Bordeaux, ce n’est pas une reprise, c’est une opération de sauvetage. Tous les voyants sont au rouge : masse salariale énorme, recettes très faibles, pertes importantes… Il faudra trois à six mois pour stabiliser la situation. Ensuite, nous pourrons démarrer le trading de joueurs, sous la responsabilité d’Admar Lopes qui a fait ses preuves sous la direction de Luis Campos au FC Porto, à l’AS Monaco et à Lille, et qui sera le directeur technique de Bordeaux. Si j’obtiens le feu vert au rachat du club, tout est en place pour démarrer.

Vous avez créé des cascades d’entreprises au Luxembourg, en France, au Royaume-Uni, à Hongkong, dans les îles Caïmans… Pourquoi ce goût du secret ?

Dans la plupart des cas, c’est pour répondre à la demande des fonds qui nous prêtent de l’argent. Scoutly, notre société de « scouting », est basée à Londres, car la plupart de ses salariés passaient dans cette ville. Il n’y a pas d’opacité, c’est un procès d’intention lié à ma nationalité. Je suis né au Luxembourg, ma famille vit là-bas, et une grande partie de mes activités y sont implantées, notamment la holding de tête de toutes mes affaires, mais je n’ai pas grand-chose à voir avec la haute finance du Grand-duché.

 

Pour les trois prochaines saisons, Amazon sera le diffuseur de la plupart des matchs de Ligue 1 en France. Craignez-vous que la visibilité du foot français en souffre ?

Amazon fait une bonne opération, car ils acquièrent les droits de diffusion de la Ligue 1 à un prix qui n’est pas excessif. Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose pour les clubs. Quand un acteur de l’envergure d’Amazon met sa puissance au service du « produit » Ligue 1, ça peut être un succès. C’est un nouveau modèle économique, il faut lui laisser le temps de faire ses preuves. Il faut surtout que la ligue comprenne comment valoriser au maximum un partenariat comme celui d’Amazon.

 

Que pensez-vous du projet d’une Ligue fermée réunissant les meilleurs clubs en Europe ?

C’est une idée catastrophique, contraire à l’éthique sportive. Ce qui fait l’intérêt du sport, c’est que le petit arrive parfois à battre le gros, celui qui est supérieur sur le papier. Qu’une poignée de grands clubs puissent se partager le même gâteau tous les ans, ça ne m’intéresse pas. Aux Etats-Unis, les ligues sont fermées, sans possibilité de relégation, mais le sport y est avant tout un spectacle. On peut y délocaliser une franchise dans une nouvelle ville, ce qui n’est pas imaginable en France.

Jérôme Porier

Modifié par ElChocoRoro
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  • Crylol 1
Posté(e)

je ne vois pas comment bordeaux va pouvoir viser la 9e place en vendant pour 26M de joueurs et en etant au bord du gouffre financier, sauf si c'est toute la L1 qui s'effondre de niveau (qui n'était déjà pas terrible)

Posté(e)

Donc le gars achète une entreprise avec un crédit qui sera remboursé par l entreprise qu il achète 😅. Après perso je m en fous je pense que la saison sera plus cool pour nous en d2; pour la partie coup de pouce de l état c est juste un prêt il me semble.

Posté(e)
Il y a 2 heures, Romain31 a dit :

Si Pierre rondeau l’avais dis , Toulouse Lyon et d’autre club  font pression 

Petite piste pour comprendre ma blague: Le tweet parte d'équipes de L1 qui font pression, tu cites Lyon et Toulouse et Toulouse est en .... 🤪

  • Crylol 1
Posté(e)
il y a 15 minutes, Stef82 a dit :

un pret qu'il ne pourra probablement pas remboursé

Attendez vous parlez des fameux PGE accordés par une banque et dont le garant est l'Etat ?

C'est censé être fait pour les petites entreprises en difficulté suite au Covid...

Posté(e)
il y a 15 minutes, spidav32 a dit :

Lopez c'est ça 

 

Tu peux envoyer aux grands experts comptables de la DNCG s'il te plaît ?

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