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Topic police WEUUUU WEUUUUU


Flolynyk

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Posté(e)
il y a 7 minutes, Flolynyk a dit :


Et pourquoi le réserver aux policiers ? Un flic qui tabasse quelqu'un, faut pas aller emmerder sa famille, mais un random qui tabasse quelqu'un on peut ? 
 

j'ai jamais dit que j'étais contre que ça soit généralisé à tout le monde

Posté(e)
il y a une heure, Nens a dit :

198313

 

Source le Financial Times, donc pas très très à gauche :ninja:

Et donc ta conclusion c’est que les flics n’aiment pas les noirs et arabes ? 

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Posté(e) (modifié)
il y a une heure, chubee a dit :

@GG @3noze3 exprimes vous, curieux de connaître votre avis 🤨

Inutile, tu as déjà fait ta propre conclusion à côté de la plaque.

De plus, la publication est limpide.

Modifié par 3noze3
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Posté(e)
Il y a 2 heures, chubee a dit :

Et donc ta conclusion c’est que les flics n’aiment pas les noirs et arabes ? 

Non, ils les contrôlent parce qu’ils les adorent. C’est pour nouer le contact :love: 

  • Bave 1
  • Jeff 1
  • 3 mois plus tard...
Posté(e) (modifié)

Passionnante épisode de Concordance des Temps sur la police sous du second empire à la Première guerre mondiale. Très bien pour comprendre les fondements de l'image populaire qu'a la police en France : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/concordance-des-temps

Modifié par Vistule
  • Like 1
Posté(e) (modifié)
Il y a 6 heures, Nista a dit :
Citation

« on ne sait pas ouvrir un fichier zip, il faut que vous reveniez avec une clé USB »

l'ACCI recrute ! :ninaj: 

Modifié par Ekelund
Posté(e)
Citation

« on ne sait pas ouvrir un fichier zip, il faut que vous reveniez avec une clé USB »

Sachant que ca se fait nativement depuis Windows XP, ca en dit long sur le parc informatique 🤤

 

Qu'est ce ca va être quand une femme va venir leur dire qu'elle se fait harceler sur "x.com" 🤩 :ninja:

Posté(e)
Il y a 1 heure, PatMan a dit :

Sachant que ca se fait nativement depuis Windows XP, ca en dit long sur le parc informatique 🤤

 

même si ça se fait pas nativement il suffit de télécharger un des 10 000 logiciels libres existant (7zip, winrar, ...) ça prend 30 secondes :grin: 

Posté(e)
il y a 29 minutes, Ekelund a dit :

même si ça se fait pas nativement il suffit de télécharger un des 10 000 logiciels libres existant (7zip, winrar, ...) ça prend 30 secondes :grin: 

Et évidemment sur des ordinateurs avec des données sensibles tu peux télécharger et installer ce que tu veux :ninaj:

Posté(e)
à l’instant, PaG a dit :

Et évidemment sur des ordinateurs avec des données sensibles tu peux télécharger et installer ce que tu veux :ninaj:

ils doivent bien avoir un admin en local qui peut gérer les accès non ? enfin j'espère pour eux :ninja:

Posté(e)
à l’instant, Ekelund a dit :

ils doivent bien avoir un admin en local qui peut gérer les accès non ? enfin j'espère pour eux :ninja:

Heu tu parles de l'administration francaise, y'a des gens oui, mais qui n'ont aucun moyen de mise en oeuvre. 

Et c'est partout pareil, hopital et justice.

  • Top ! 1
Posté(e) (modifié)
Il y a 2 heures, PaG a dit :

Et évidemment sur des ordinateurs avec des données sensibles tu peux télécharger et installer ce que tu veux :ninaj:

une recherche google de 10 secondes m'indique qu'il existe aussi plein de sites en ligne pour "dézipper" les fichiers (ezyzip, unzip.online,...), ne nécessitant donc aucun téléchargement.

Modifié par Ekelund
Posté(e)
il y a 5 minutes, Ekelund a dit :

une recherche google de 10 secondes m'indique qu'il existe aussi plein de sites en ligne pour "dézipper" les fichiers (ezyzip, unzip.online,...), ne nécessitant donc aucun téléchargement.

Faut-il encore que ces sites soient accessibles depuis des ordinateurs traitant des données sensibles :ninja: 

  • Top ! 2
Posté(e)

 

Jean Phillipe, le commissaire de Toulouse qui a eu le courage de désobéir pendant l'Occupation

Ce commissaire de police toulousain, l'un des rares hauts fonctionnaires à démissionner de ses fonctions durant l'Occupation est arrêté puis fusillé. en Allemagne.

Le Commissaire Phillipe.
Le Commissaire Phillipe. (©Musée départemental de la Résistance & de la Déportation de Haute-Garonne ? don Naudy)
 
 

« Monsieur le Commissaire Central de Toulouse, J’ai le regret de vous rendre compte de ce que la politique actuellement suivie par notre gouvernement n’étant pas conforme à mon Idéal, je ne saurais désormais servir avec fidélité. Je refuse – et sous mon entière responsabilité – de persécuter des israélites qui, à mon avis, ont droit au bonheur et à la vie, aussi bien que Monsieur Laval lui-même. Je refuse d’arracher, par la force, des ouvriers français à leur famille : j’estime qu’il ne nous appartient pas de déporter nos compatriotes et que tout Français qui se rend complice de cette infamie, se nommerait-il Philippe Pétain, agit en traître… ». Le commissaire Jean Phillipe (et non Philippe comme c’est souvent orthographié), refuse de livrer aux Allemands la liste des Juifs recensés dans le 7e arrondissement de Toulouse dont il a la charge et démissionne avec grand fracas de son poste dans cette lettre datée du 15 janvier 1943. La stupeur est totale dans les rangs vichystes.

Résistant dès 1940

Ce Lyonnais d’origine, ancien militaire, rentré dans la police à la fin des années 1930, s’est jusqu’alors parfaitement acquitté de ses tâches. Sous-lieutenant à Jeumont (Nord) puis au Creusot (Saône-et-Loire) avant-guerre, il est affecté après la débâcle à l’automne 1940 à Lourdes (Hautes-Pyrénées) comme commissaire, avant d’être muté un an plus tard dans la Ville rose. Dans le plus grand secret, parallèlement à ses fonctions, il intègre Sabot, un premier mouvement de résistance qui contribue au passage d’agents belges vers l’Espagne. « Ce spécialiste en faux papiers est par la suite contacté par Marie-Madeleine Fourcade, la cheffe du réseau de renseignements Alliance (dépendant de l’Intelligence Service, le service de renseignements extérieurs du Royaume-Uni, avant d’être rattaché au Comité français de libération nationale).

Un martyr

Sous le pseudonyme de « Basset », il coordonne les actions de la région Toulouse-Pyrénées, et use de sa position officielle pour avertir les résistants des dangers encourus » explique Elerika Leroy, historienne au musée départemental de la Résistance et de la Déportation. Suite à l’imprudence d’un agent de liaison d’Alliance, Jean Phillipe est arrêté le 29 janvier à Beaumont-de-Lomagne où il s’était replié. De février à novembre, il est incarcéré à la prison militaire de Furgole et vit un véritable calvaire entre les mains du capitaine Retsek, le chef de la Gestapo de Toulouse, avant d’être transféré à Fresnes. Accusé d’espionnage au profit d’une puissance ennemie sous la classification « NN » (Nacht und Nebel, Nuit et Brouillard), il est déporté vers l’Allemagne à la prison de Karlsruhe puis à celle de Fribourg (Bade-Wurtemberg) avant d’être traduit devant le 3e Senat (chambre) du Tribunal de guerre qui le condamne à mort le 27 janvier 1944. Le 1er avril suivant, il est fusillé dans la forêt du Hardtwald avec 13 autres codétenus. En 1946, il est décoré à titre posthume de la Médaille de la Résistance avant de recevoir le titre de « Juste parmi les Nations » en 1997.

Mathieu Arnal

 

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