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Presse 2022/2023


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C’était déjà très flippant de perdre nos bons joueurs durant leur passage chez nous, aujourd'hui on a presque encore plus peur de perdre nos compétences dans l'organigramme fonctionnel du club, tous ces hommes et femmes indispensables qui a leur niveau apportent leur expérience et leur savoir faire. Et puis imaginer les voir passer a l'ennemi avec tout ce qu'ils savent c'est vraiment rageant car les heureux recruteurs gagneraient un temps incroyable dans leur progression... J'espère presque qu'il y a une clause de confidentialité pour certains d'entre eux...

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il y a 50 minutes, Vistule a dit :

Un peu nul cet article de L'Équipe sur les étrangers. Une source moins biaisée pourrait relever qu'au final, c'est le groupe des jeunes qui passe son temps à se plaindre et qui évolue le plus en "clan". Nos "expats", de l'extérieur, paraissent nettement plus pros.

...et article qui se termine en apothéose avec N'goumou "neveu" d'Achille Emana. Raté, c'est son cousin. 

  • Bave 1
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Foot
 L1, 
Toulouse
issu du journal

Toulouse, 15 nationalités différentes dans son effectif

Toulouse, champion de Ligue 2 la saison passée avec un effectif cosmopolite, a encore accentué cette tendance dans son recrutement estival pour son retour en Ligue 1.

 
La reprise de l'entraînement des Toulousains, fin juin. De gauche à droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le Brésilien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
 
La reprise de l'entraînement des Toulousains, fin juin. De gauche à droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le Brésilien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
Hugues Sionis à Saint-Sébastien (Espagne)mis à jour le 24 juillet 2022 à 00h15
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C'est une stratégie qui a déjà fait ses preuves par le passé, à Arsenal à une époque, au PSG plus récemment. Moins à Bordeaux, relégué la saison dernière, avec dix-huit nationalités.

Mais recruter massivement à l'étranger est-il viable sur la durée pour un club comme Toulouse, promu aux moyens plus limités ? Pour tenter d'y parvenir, l'idée du Téfécé a été de fédérer un noyau fort autour d'un projet.

Parmi les quinze pays aujourd'hui représentés dans son effectif, plusieurs communautés se dégagent.

Les 5 matches clés qui ont ramené Toulouse en Ligue 1

Avec la dernière arrivée du Suédois Oliver Zanden, les Scandinaves (Desler, Haug, Nicolaisen, Pettersson et Skytta) sont devenus aussi nombreux que les Néerlandais (Dallinga, Spierings et Van Den Boomen), auxquels il faut ajouter Zakaria Aboukhlal, recruté à l'AZ Alkmaar, l'Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise, et le Belge Brecht Dejaegere.

Tous les trois comprennent parfaitement le néerlandais, l'une des langues les plus parlées dans le vestiaire toulousain.

« C'est un truc de "ouf", se marre le capitaine originaire de la région flamande, parfois amené à jouer les traducteurs. Pour moi, c'est pratique, tu peux utiliser des petits mots que les autres ne comprennent pas. Je pourrai dire dans quelques mois si ça nous aide ou pas. »

Au milieu de cette joyeuse colonie, l'entraîneur Philippe Montanier a dû s'adapter, dès la saison passée. Polyglotte lui aussi, il s'exprime en anglais - l'autre langue de référence à Toulouse - dans ses causeries et les séances, où il n'est pas rare d'entendre ses adjoints lui emboîter le pas, pour être sûrs d'être bien compris.

C'est le nombre de saisons dans l'élite du TFC (*). Il arrive au 20e rang national, à égalité avec Auxerre, également promu. Tous deux vont rejoindre Valenciennes (L2) cette saison.(*) Un premier club à Toulouse, fondé en 1937 puis disparu en 1967, avait auparavant joué dix-neuf ans en D1. Le TFC a été créé en 1970.

« Le côté sympa quand vous êtes à l'étranger, c'est que vous êtes encore plus proches les uns des autres. Je l'ai vécu ici d'ailleurs, se souvenait l'ancien coach de la Real Sociedad (2011-2013), le week-end dernier après la victoire de son équipe (1-0) en amical à Anoeta. On pourrait penser qu'il y a des clans mais, au contraire, tous les étrangers apprécient parce qu'ils sont tous dans la même situation d'expatriés. »

Cela n'empêche pas des groupes de se former naturellement, celui des jeunes formés au club étant bien représenté. Et des « crispations » d'apparaître, plus avec la direction qu'entre joueurs.

Une stratégie basée sur les data

« Il y a un certain mal-être avec le président (Damien Comolli) vis-à-vis des joueurs qui ont obtenu la montée et dont les contrats n'ont pas encore été revalorisés parce qu'il n'y a soi-disant pas d'argent. Pourtant, le club ne cesse de recruter des nouveaux à l'étranger, qui n'éblouissent personne pour l'instant », explique un familier du club.

Pour un ancien haut dirigeant de deux clubs de Ligue 1, « ne mettre que des étrangers peut créer un problème, ils peuvent se croire au-dessus du lot. En revanche, on ne peut pas leur reprocher de mettre du temps à s'adapter ».

En interne, on assure que la priorité est donnée à la formation. « Toute nationalité est la bienvenue » mais elle reste « une donnée comme une autre » dans le processus de recrutement.

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En misant sur les data depuis deux ans, Toulouse s'est automatiquement ouvert à d'autres Championnats.

Avec parfois le risque de s'enfermer dans son système, comme cet été, lorsque le gardien norvégien Kjetil Haug a été préféré à Quentin Braat (ex-Niort), pourtant libre et fort d'une solide expérience en Ligue 2, mais qui ne remplissait pas tous les critères.

Cet exemple, ajouté à un récent accrochage à l'entraînement entre un Scandinave et un jeune du club, seul exclu ce jour-là, montre que l'équilibre reste difficile à trouver.

Pas de quoi jusque-là remettre en cause une stratégie assumée, qui a permis à la Ville rose de retrouver sa place dans le gotha français.

L'avis de « L'Équipe »

Après deux ans d'absence en Ligue 1, les attentes sont nombreuses autour des Violets. Le rachat du club par le fonds d'investissement américain RedBird Capital Partners, après la relégation en 2020, doit lui permettre de se pérenniser dans l'élite, sans se fixer de limites. Le promu s'est donné les moyens de réussir avec un recrutement ciblé, pour renforcer l'ossature d'une équipe qui a produit un jeu offensif la saison passée, et avec une préparation sans fausse note. À l'exception peut-être de la situation à éclaircir de Rhys Healey, son meilleur buteur, dont l'avenir reste incertain.

Calendrier de la première journée de Ligue 1 2022-2023

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il y a 3 minutes, VioletSmurf a dit :
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 L1, 
Toulouse
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Toulouse, 15 nationalités différentes dans son effectif

Toulouse, champion de Ligue 2 la saison passée avec un effectif cosmopolite, a encore accentué cette tendance dans son recrutement estival pour son retour en Ligue 1.

 
La reprise de l'entraînement des Toulousains, fin juin. De gauche à droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le Brésilien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
 
La reprise de l'entraînement des Toulousains, fin juin. De gauche à droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le Brésilien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
Hugues Sionis à Saint-Sébastien (Espagne)mis à jour le 24 juillet 2022 à 00h15
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C'est une stratégie qui a déjà fait ses preuves par le passé, à Arsenal à une époque, au PSG plus récemment. Moins à Bordeaux, relégué la saison dernière, avec dix-huit nationalités.

Mais recruter massivement à l'étranger est-il viable sur la durée pour un club comme Toulouse, promu aux moyens plus limités ? Pour tenter d'y parvenir, l'idée du Téfécé a été de fédérer un noyau fort autour d'un projet.

Parmi les quinze pays aujourd'hui représentés dans son effectif, plusieurs communautés se dégagent.

Les 5 matches clés qui ont ramené Toulouse en Ligue 1

Avec la dernière arrivée du Suédois Oliver Zanden, les Scandinaves (Desler, Haug, Nicolaisen, Pettersson et Skytta) sont devenus aussi nombreux que les Néerlandais (Dallinga, Spierings et Van Den Boomen), auxquels il faut ajouter Zakaria Aboukhlal, recruté à l'AZ Alkmaar, l'Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise, et le Belge Brecht Dejaegere.

Tous les trois comprennent parfaitement le néerlandais, l'une des langues les plus parlées dans le vestiaire toulousain.

« C'est un truc de "ouf", se marre le capitaine originaire de la région flamande, parfois amené à jouer les traducteurs. Pour moi, c'est pratique, tu peux utiliser des petits mots que les autres ne comprennent pas. Je pourrai dire dans quelques mois si ça nous aide ou pas. »

Au milieu de cette joyeuse colonie, l'entraîneur Philippe Montanier a dû s'adapter, dès la saison passée. Polyglotte lui aussi, il s'exprime en anglais - l'autre langue de référence à Toulouse - dans ses causeries et les séances, où il n'est pas rare d'entendre ses adjoints lui emboîter le pas, pour être sûrs d'être bien compris.

C'est le nombre de saisons dans l'élite du TFC (*). Il arrive au 20e rang national, à égalité avec Auxerre, également promu. Tous deux vont rejoindre Valenciennes (L2) cette saison.(*) Un premier club à Toulouse, fondé en 1937 puis disparu en 1967, avait auparavant joué dix-neuf ans en D1. Le TFC a été créé en 1970.

« Le côté sympa quand vous êtes à l'étranger, c'est que vous êtes encore plus proches les uns des autres. Je l'ai vécu ici d'ailleurs, se souvenait l'ancien coach de la Real Sociedad (2011-2013), le week-end dernier après la victoire de son équipe (1-0) en amical à Anoeta. On pourrait penser qu'il y a des clans mais, au contraire, tous les étrangers apprécient parce qu'ils sont tous dans la même situation d'expatriés. »

Cela n'empêche pas des groupes de se former naturellement, celui des jeunes formés au club étant bien représenté. Et des « crispations » d'apparaître, plus avec la direction qu'entre joueurs.

Une stratégie basée sur les data

« Il y a un certain mal-être avec le président (Damien Comolli) vis-à-vis des joueurs qui ont obtenu la montée et dont les contrats n'ont pas encore été revalorisés parce qu'il n'y a soi-disant pas d'argent. Pourtant, le club ne cesse de recruter des nouveaux à l'étranger, qui n'éblouissent personne pour l'instant », explique un familier du club.

Pour un ancien haut dirigeant de deux clubs de Ligue 1, « ne mettre que des étrangers peut créer un problème, ils peuvent se croire au-dessus du lot. En revanche, on ne peut pas leur reprocher de mettre du temps à s'adapter ».

En interne, on assure que la priorité est donnée à la formation. « Toute nationalité est la bienvenue » mais elle reste « une donnée comme une autre » dans le processus de recrutement.

b9cb9.jpg

En misant sur les data depuis deux ans, Toulouse s'est automatiquement ouvert à d'autres Championnats.

Avec parfois le risque de s'enfermer dans son système, comme cet été, lorsque le gardien norvégien Kjetil Haug a été préféré à Quentin Braat (ex-Niort), pourtant libre et fort d'une solide expérience en Ligue 2, mais qui ne remplissait pas tous les critères.

Cet exemple, ajouté à un récent accrochage à l'entraînement entre un Scandinave et un jeune du club, seul exclu ce jour-là, montre que l'équilibre reste difficile à trouver.

Pas de quoi jusque-là remettre en cause une stratégie assumée, qui a permis à la Ville rose de retrouver sa place dans le gotha français.

L'avis de « L'Équipe »

Après deux ans d'absence en Ligue 1, les attentes sont nombreuses autour des Violets. Le rachat du club par le fonds d'investissement américain RedBird Capital Partners, après la relégation en 2020, doit lui permettre de se pérenniser dans l'élite, sans se fixer de limites. Le promu s'est donné les moyens de réussir avec un recrutement ciblé, pour renforcer l'ossature d'une équipe qui a produit un jeu offensif la saison passée, et avec une préparation sans fausse note. À l'exception peut-être de la situation à éclaircir de Rhys Healey, son meilleur buteur, dont l'avenir reste incertain.

Calendrier de la première journée de Ligue 1 2022-2023

Donc c'est un familier du club qui balance sympa.

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