Modérateur Modérateur Posté(e) 11 juillet 2022 Modérateur Partager Posté(e) 11 juillet 2022 Vous pourrez poster ici les articles concernant les joueurs et le club pour la saison 2022/2023. Citer Lien vers le commentaire
NicoPaviot Posté(e) 12 juillet 2022 Partager Posté(e) 12 juillet 2022 https://www.lesviolets.com/actu/les-performances-de-carrasso-et-ahamada-avec-le-tfc-dans-l-histoire-de-la-ligue-1,62992.html Mais oui, bien sûr Dropsy a joué au TFC, surement juste après Bats et juste avant Martini... #lesexperts 1 Citer Lien vers le commentaire
Labinocle81 Posté(e) 12 juillet 2022 Partager Posté(e) 12 juillet 2022 (modifié) Fleck Scout (un mec sérieux sur twitter) passe sur RMC dans 2 minutes et va parler des clubs qui travaillent bien (Lens et Toulouse) : RMC en direct - Écouter la radio en ligne - LIVE (ecouter-en-direct.com) Modifié 12 juillet 2022 par Labinocle81 Citer Lien vers le commentaire
Spidav3231 Posté(e) 12 juillet 2022 Partager Posté(e) 12 juillet 2022 C'est juste après cette pub Citer Lien vers le commentaire
Labinocle81 Posté(e) 12 juillet 2022 Partager Posté(e) 12 juillet 2022 C'est maintenant après le point mercato Citer Lien vers le commentaire
JR31 Posté(e) 12 juillet 2022 Partager Posté(e) 12 juillet 2022 (modifié) Et..... Alors? 😏 (j'ai raté ma diffusion). Une info qui sort du lot ? 🙄 Modifié 12 juillet 2022 par JR31 Citer Lien vers le commentaire
Labinocle81 Posté(e) 12 juillet 2022 Partager Posté(e) 12 juillet 2022 à l’instant, JR31 a dit : Et..... Alors? 😏 (j'ai raté ma diffusion) Pas grand chose mais revoir le TFC dans des émissions a forte audience c'est cool ! il y a 7 minutes, JR31 a dit : Et..... Alors? 😏 (j'ai raté ma diffusion). Une info qui sort du lot ? 🙄 2 Citer Lien vers le commentaire
Casimir Posté(e) 15 juillet 2022 Partager Posté(e) 15 juillet 2022 Le 12/07/2022 à 10:09, NicoPaviot a dit : https://www.lesviolets.com/actu/les-performances-de-carrasso-et-ahamada-avec-le-tfc-dans-l-histoire-de-la-ligue-1,62992.html Mais oui, bien sûr Dropsy a joué au TFC, surement juste après Bats et juste avant Martini... #lesexperts Dropsy a bien joué au Tfc mais il était déguisé en D’angelo Citer Lien vers le commentaire
taz Posté(e) 20 juillet 2022 Partager Posté(e) 20 juillet 2022 https://messengerpowerplus.com/friendly-tfc-duel-dallinga-onaiwu-orientations-of-van-den-boomen-flashes-of-chaibi-what-to-remember-from-the-fifth-preparation-meeting-from-toulouse-to-osasuna/ 1 2 Citer Lien vers le commentaire
C’est un message populaire. Labinocle81 Posté(e) 21 juillet 2022 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 21 juillet 2022 il y a 26 minutes, taz a dit : toulouse.latribune.fr Julien Demeaux, le Monsieur « data » du football qui applique au Toulouse Football Club les recettes de l'aéronautique Pierrick Merlet 9-12 minutes À L’AFFICHE – Julien Demeaux est arrivé au Téfécé comme responsable data football sur volonté du nouveau propriétaire, RedBird Capital Partners Depuis, cet ancien ingénieur apparaît comme un rouage essentiel de la stratégie mise en place par le fonds d’investissement américain. Tout droit venu du secteur aéronautique, rien ne prédestiné l'homme à une telle finalité, jusqu’à un concours. Portrait. Après des premières expériences professionnelles dans l'aéronautique, Julien Demeaux a rejoint le Toulouse Football Club en 2020. (Crédits : Rémi Benoit) Julien Demeaux est arrivé au Toulouse Football Club en 2020 dans les valises du nouvel actionnaire américain, le fonds d'investissement RedBird Capital Partners. Sa fonction ? Responsable data football, un rôle-clef pour cet homme de l'ombre dans la stratégie incarnée par Damien Comolli, le président du Toulouse Football Club, qui va retrouver l'élite du football français dans quelques semaines. Lire aussi :Ce que veut faire le fonds RedBird Capital du Toulouse Football Club Depuis son arrivée à la tête du club de la quatrième ville de France, ce dirigeant a, en imprimé au club sa vision du football, totalement orientée vers la data, comme peut l'être une entreprise à la recherche de la moindre amélioration possible. Il ne s'en cache pas : chaque décision sportive fait l'objet d'une analyse de données. Le choix de l'entraîneur principal, le style de jeu à instaurer par l'équipe pour retrouver le championnat de France de Ligue 1, et désormais pour s'y maintenir, le choix des joueurs pour l'appliquer..., tout, pour RedBird Capital Partners, est une question de data-science. Même le choix il y a deux ans de jeter son dévolu sur le « Téfécé », a été tranché après avoir analysé plus de 70 clubs de football... En Europe, peu de clubs poussent autant la démarche data pour en exploiter son côté prédictif. Seul le Liverpool FC, avec des moyens plus importants, applique cette même stratégie. « Le duo de clubs Brentford FC (en Angleterre, ndlr) et le Football Club Midtjylland (au Danemark, ndlr), qui ont le même propriétaire, a aussi emprunté le même chemin avec de très bons résultats à tous les niveaux. Néanmoins, aujourd'hui un cap est en train d'être passé sur le continent dans l'acceptation de ce que peut apporter la data dans le sport avec une démarche si poussée. Comme tout changement, l'usage de ce côté prédictif de la donnée a fait l'objet de résistance dans un premier temps », analyse Julien Demeaux. Et dans ce monde de la data, Julien Demeaux nage comme un poisson dans l'eau. Armé de son ordinateur, ce quadragénaire natif de la région fait parler une base de données composée de... 40.000 joueurs. « Les équipes data de RedBird travaillent avec moi pour créer les algorithmes et me fournir la data en masse. Ma responsabilité est de faire fonctionner cette data-science et l'interpréter pour en tirer les enseignements que nous en attendons dont principalement des noms de joueurs à surveiller voire à recruter. Pour l'intersaison actuelle par exemple, j'ai analysé 600 profils différents. À partir d'un cahier des charges arrêté par le président, j'ai ensuite fourni une liste par poste et en fonction de nos besoins à la cellule de recrutement du club », raconte celui qui a débuté sa carrière professionnelle entouré d'avions. Julien Demeaux s'est perfectionné à l'analyse de la donnée aux États-Unis. (Crédits : Rémi Benoit) « Les enjeux sont les mêmes » Et pour cause. Plus jeune, Julien Demeaux a d'abord travaillé pendant quatre ans sur les lignes d'assemblage final de l'avionneur européen Airbus, à Toulouse, pour le compte de sous-traitants dans l'intégration de divers équipements. Il a par la suite été recruté par un autre avionneur, ATR, pour enfiler le maillot de responsable conformité au sein du centre de formation de celui qui vient d'engranger les commandes au salon de l'aéronautique de Farnborough (Royaume-Uni). ATR, les moissons enfin au rendez-vous au pays du soleil levant « ATR dispose d'un réseau de centres de formation et de simulateurs. Je devais assurer la cohérence des formations organisées par rapport aux attentes des clients et des autorités locales. Il y avait une attention au détail très importante, avec la recherche d'une très grande compétitivité comme dans le sport », témoigne-t-il. Selon Julien Demeaux, le traitement technique de la donnée et la recherche du détail dans l'aéronautique et le sport « sont similaires pour ne pas dire identiques ». « Finalement, les enjeux sont les mêmes : récupérer la data, la stocker, créer des modélisations pour la comprendre puis transmettre cette donnée au bon interlocuteur », ajoute le responsable data football du TFC. À la différence notable que ce nouveau poste lui permet « d'être au cœur du processus », contrairement à sa dizaine d'années d'expérience dans l'industrie aéronautique. Par exemple, grâce à son travail, les joueurs du Toulouse Football Club sont parvenus à s'imposer sur la plus petite des marges (1-0) face au Paris Football Club, lors de la saison 2020-2021. « Pour préparer le match, mon analyse des données en amont avait permis de déceler un point faible chez le gardien adversaire. Il avait du mal à se mettre rapidement au sol sur sa droite. Le match était serré et vers la fin l'un de nos attaquants au moment de frapper s'est souvenu de cette information et a tiré la droite du gardien et a marqué. On a gagné le match 1-0 et les joueurs sont venus me remercier dans le vestiaire après la rencontre », se rappelle Julien Demeaux. Il se prend au jeu du club de football de Seattle Pour lui, la jonction entre les deux univers, l'aéronautique et le football, qui semblent opposés au premier abord s'est opéré au cours d'un séjour aux États-Unis. Après avoir démissionné, Julien Demeaux suit son épouse mutée en Amérique du Nord au milieu de la décennie précédente. Là-bas, il devient à la fois entraîneur de baseball et entraîneur de soccer. « C'était une superbe opportunité. J'y ai rencontré et côtoyé des responsables performance, des responsables data voire des personnes en charge uniquement de la performance, axés totalement sur le détail. Là-bas, ils ont une approche du sport totalement différente de celle que nous connaissons en Europe. Cela m'a permis de me former à cette technique du traitement de la donnée et de la perfectionner en peu de temps », raconte l'analyste. De retour en France dès 2018, il est recruté par la société The Information Lab, spécialisée dans le conseil sur la donnée, pour y développer la verticale « sport » alors peu importante voire inexistante. Les contacts avec les clubs de football, de basket et de rugby voire les fédérations, se multiplient. « J'ai vraiment eu le sentiment d'apporter une vision différente de nos sports par mon passif américain », se remémore-t-il. Un ressenti qui va se confirmer grâce à un concours à distance. En plein confinement, le club de football de Seattle organise un challenge d'analystes des données dans le football. La mission des participants ? Préparer un rapport d'avant-match pour préparer une rencontre contre le FC Barcelone. « Au-delà du style de jeu de l'équipe adverse, j'ai aussi analysé les zones où Lionnel Messi touchent le plus de ballons et celles où il reçoit le plus de passes notamment », se souvient Julien Demeaux qui fait ce jeu pour « faire passer le temps » et sans ambition particulière. Mais il remporte le concours et attire l'attention de RedBird Capital Partners qui participe à une conférence en marge de la remise des prix. Quelques jours plus tard, Julien Demeaux et Damien Comolli échangent pour la première fois... Désormais, jusqu'où se voit aller cet ancien ingénieur aéronautique ? L'analyste, originaire de l'ancienne Midi-Pyrénées, est attaché au club et ne s'imagine pas ailleurs qu'au TFC. « Envisager des évolutions, c'est un peu tôt. Tout est nouveau pour moi et nous n'avons atteint que la première marche du projet, à savoir la remonter en Ligue 1», se positionne celui qui a découvert le milieu du football professionnel depuis 24 mois seulement. Julien Demeaux compte aider son club à s'installer durablement dans la première division et plus précisément dans son Top 6, objectif fixé par le fonds américain qui a déniché ce profil incarnant le football 4.0. 3 13 Citer Lien vers le commentaire
Casimir Posté(e) 21 juillet 2022 Partager Posté(e) 21 juillet 2022 On ne donne jamais ses recettes ni ses secrets de fabrication Citer Lien vers le commentaire
Zorglub Posté(e) 21 juillet 2022 Partager Posté(e) 21 juillet 2022 Il y a 2 heures, Casimir a dit : On ne donne jamais ses recettes ni ses secrets de fabrication Si on est les seuls à avoir les ingrédients ou que l'on a les meilleurs, pas de soucis ! 😉 Citer Lien vers le commentaire
flibustier Posté(e) 22 juillet 2022 Partager Posté(e) 22 juillet 2022 C’était déjà très flippant de perdre nos bons joueurs durant leur passage chez nous, aujourd'hui on a presque encore plus peur de perdre nos compétences dans l'organigramme fonctionnel du club, tous ces hommes et femmes indispensables qui a leur niveau apportent leur expérience et leur savoir faire. Et puis imaginer les voir passer a l'ennemi avec tout ce qu'ils savent c'est vraiment rageant car les heureux recruteurs gagneraient un temps incroyable dans leur progression... J'espère presque qu'il y a une clause de confidentialité pour certains d'entre eux... Citer Lien vers le commentaire
marco Posté(e) 23 juillet 2022 Partager Posté(e) 23 juillet 2022 Qui ça peut bien être 1 2 Citer Lien vers le commentaire
Asha31 Posté(e) 23 juillet 2022 Partager Posté(e) 23 juillet 2022 il y a 7 minutes, marco a dit : Qui ça peut bien être On se le demande ... 1 1 Citer Lien vers le commentaire
RobespierreDorsini Posté(e) 24 juillet 2022 Partager Posté(e) 24 juillet 2022 Un peu nul cet article de L'Équipe sur les étrangers. Une source moins biaisée pourrait relever qu'au final, c'est le groupe des jeunes qui passe son temps à se plaindre et qui évolue le plus en "clan". Nos "expats", de l'extérieur, paraissent nettement plus pros. Citer Lien vers le commentaire
Spidav3231 Posté(e) 24 juillet 2022 Partager Posté(e) 24 juillet 2022 On sait donc que le journaliste fait partie de la catégorie papy connard ....( Les étrangers c'est bien, mais trop c'est des problèmes) 1 Citer Lien vers le commentaire
Asha31 Posté(e) 24 juillet 2022 Partager Posté(e) 24 juillet 2022 il y a 50 minutes, Vistule a dit : Un peu nul cet article de L'Équipe sur les étrangers. Une source moins biaisée pourrait relever qu'au final, c'est le groupe des jeunes qui passe son temps à se plaindre et qui évolue le plus en "clan". Nos "expats", de l'extérieur, paraissent nettement plus pros. ...et article qui se termine en apothéose avec N'goumou "neveu" d'Achille Emana. Raté, c'est son cousin. 1 Citer Lien vers le commentaire
dondiego Posté(e) 24 juillet 2022 Partager Posté(e) 24 juillet 2022 La compo type avec VDB et Spierrings inversés (on pourrait discuter du reste) est pas mal aussi. Ça a bossé. Citer Lien vers le commentaire
VioletSmurf Posté(e) 24 juillet 2022 Partager Posté(e) 24 juillet 2022 Foot L1, Toulouse issu du journal Toulouse, 15 nationalités différentes dans son effectif Toulouse, champion de Ligue 2 la saison passée avec un effectif cosmopolite, a encore accentué cette tendance dans son recrutement estival pour son retour en Ligue 1. La reprise de l'entraînement des Toulousains, fin juin. De gauche à droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le Brésilien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe) Hugues Sionis à Saint-Sébastien (Espagne)mis à jour le 24 juillet 2022 à 00h15 ma liste commenter partager C'est une stratégie qui a déjà fait ses preuves par le passé, à Arsenal à une époque, au PSG plus récemment. Moins à Bordeaux, relégué la saison dernière, avec dix-huit nationalités. Mais recruter massivement à l'étranger est-il viable sur la durée pour un club comme Toulouse, promu aux moyens plus limités ? Pour tenter d'y parvenir, l'idée du Téfécé a été de fédérer un noyau fort autour d'un projet. Parmi les quinze pays aujourd'hui représentés dans son effectif, plusieurs communautés se dégagent. Les 5 matches clés qui ont ramené Toulouse en Ligue 1 Avec la dernière arrivée du Suédois Oliver Zanden, les Scandinaves (Desler, Haug, Nicolaisen, Pettersson et Skytta) sont devenus aussi nombreux que les Néerlandais (Dallinga, Spierings et Van Den Boomen), auxquels il faut ajouter Zakaria Aboukhlal, recruté à l'AZ Alkmaar, l'Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise, et le Belge Brecht Dejaegere. Tous les trois comprennent parfaitement le néerlandais, l'une des langues les plus parlées dans le vestiaire toulousain. « C'est un truc de "ouf", se marre le capitaine originaire de la région flamande, parfois amené à jouer les traducteurs. Pour moi, c'est pratique, tu peux utiliser des petits mots que les autres ne comprennent pas. Je pourrai dire dans quelques mois si ça nous aide ou pas. » Au milieu de cette joyeuse colonie, l'entraîneur Philippe Montanier a dû s'adapter, dès la saison passée. Polyglotte lui aussi, il s'exprime en anglais - l'autre langue de référence à Toulouse - dans ses causeries et les séances, où il n'est pas rare d'entendre ses adjoints lui emboîter le pas, pour être sûrs d'être bien compris. C'est le nombre de saisons dans l'élite du TFC (*). Il arrive au 20e rang national, à égalité avec Auxerre, également promu. Tous deux vont rejoindre Valenciennes (L2) cette saison.(*) Un premier club à Toulouse, fondé en 1937 puis disparu en 1967, avait auparavant joué dix-neuf ans en D1. Le TFC a été créé en 1970. « Le côté sympa quand vous êtes à l'étranger, c'est que vous êtes encore plus proches les uns des autres. Je l'ai vécu ici d'ailleurs, se souvenait l'ancien coach de la Real Sociedad (2011-2013), le week-end dernier après la victoire de son équipe (1-0) en amical à Anoeta. On pourrait penser qu'il y a des clans mais, au contraire, tous les étrangers apprécient parce qu'ils sont tous dans la même situation d'expatriés. » Cela n'empêche pas des groupes de se former naturellement, celui des jeunes formés au club étant bien représenté. Et des « crispations » d'apparaître, plus avec la direction qu'entre joueurs. Une stratégie basée sur les data« Il y a un certain mal-être avec le président (Damien Comolli) vis-à-vis des joueurs qui ont obtenu la montée et dont les contrats n'ont pas encore été revalorisés parce qu'il n'y a soi-disant pas d'argent. Pourtant, le club ne cesse de recruter des nouveaux à l'étranger, qui n'éblouissent personne pour l'instant », explique un familier du club. Pour un ancien haut dirigeant de deux clubs de Ligue 1, « ne mettre que des étrangers peut créer un problème, ils peuvent se croire au-dessus du lot. En revanche, on ne peut pas leur reprocher de mettre du temps à s'adapter ». En interne, on assure que la priorité est donnée à la formation. « Toute nationalité est la bienvenue » mais elle reste « une donnée comme une autre » dans le processus de recrutement. En misant sur les data depuis deux ans, Toulouse s'est automatiquement ouvert à d'autres Championnats. Avec parfois le risque de s'enfermer dans son système, comme cet été, lorsque le gardien norvégien Kjetil Haug a été préféré à Quentin Braat (ex-Niort), pourtant libre et fort d'une solide expérience en Ligue 2, mais qui ne remplissait pas tous les critères. Cet exemple, ajouté à un récent accrochage à l'entraînement entre un Scandinave et un jeune du club, seul exclu ce jour-là, montre que l'équilibre reste difficile à trouver. Pas de quoi jusque-là remettre en cause une stratégie assumée, qui a permis à la Ville rose de retrouver sa place dans le gotha français. L'avis de « L'Équipe » Après deux ans d'absence en Ligue 1, les attentes sont nombreuses autour des Violets. Le rachat du club par le fonds d'investissement américain RedBird Capital Partners, après la relégation en 2020, doit lui permettre de se pérenniser dans l'élite, sans se fixer de limites. Le promu s'est donné les moyens de réussir avec un recrutement ciblé, pour renforcer l'ossature d'une équipe qui a produit un jeu offensif la saison passée, et avec une préparation sans fausse note. À l'exception peut-être de la situation à éclaircir de Rhys Healey, son meilleur buteur, dont l'avenir reste incertain. Calendrier de la première journée de Ligue 1 2022-2023 1 Citer Lien vers le commentaire
fifidu31170 Posté(e) 24 juillet 2022 Partager Posté(e) 24 juillet 2022 il y a 3 minutes, VioletSmurf a dit : Foot L1, Toulouse issu du journal Toulouse, 15 nationalités différentes dans son effectif Toulouse, champion de Ligue 2 la saison passée avec un effectif cosmopolite, a encore accentué cette tendance dans son recrutement estival pour son retour en Ligue 1. La reprise de l'entraînement des Toulousains, fin juin. De gauche à droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le Brésilien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe) Hugues Sionis à Saint-Sébastien (Espagne)mis à jour le 24 juillet 2022 à 00h15 ma liste commenter partager C'est une stratégie qui a déjà fait ses preuves par le passé, à Arsenal à une époque, au PSG plus récemment. Moins à Bordeaux, relégué la saison dernière, avec dix-huit nationalités. Mais recruter massivement à l'étranger est-il viable sur la durée pour un club comme Toulouse, promu aux moyens plus limités ? Pour tenter d'y parvenir, l'idée du Téfécé a été de fédérer un noyau fort autour d'un projet. Parmi les quinze pays aujourd'hui représentés dans son effectif, plusieurs communautés se dégagent. Les 5 matches clés qui ont ramené Toulouse en Ligue 1 Avec la dernière arrivée du Suédois Oliver Zanden, les Scandinaves (Desler, Haug, Nicolaisen, Pettersson et Skytta) sont devenus aussi nombreux que les Néerlandais (Dallinga, Spierings et Van Den Boomen), auxquels il faut ajouter Zakaria Aboukhlal, recruté à l'AZ Alkmaar, l'Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise, et le Belge Brecht Dejaegere. Tous les trois comprennent parfaitement le néerlandais, l'une des langues les plus parlées dans le vestiaire toulousain. « C'est un truc de "ouf", se marre le capitaine originaire de la région flamande, parfois amené à jouer les traducteurs. Pour moi, c'est pratique, tu peux utiliser des petits mots que les autres ne comprennent pas. Je pourrai dire dans quelques mois si ça nous aide ou pas. » Au milieu de cette joyeuse colonie, l'entraîneur Philippe Montanier a dû s'adapter, dès la saison passée. Polyglotte lui aussi, il s'exprime en anglais - l'autre langue de référence à Toulouse - dans ses causeries et les séances, où il n'est pas rare d'entendre ses adjoints lui emboîter le pas, pour être sûrs d'être bien compris. C'est le nombre de saisons dans l'élite du TFC (*). Il arrive au 20e rang national, à égalité avec Auxerre, également promu. Tous deux vont rejoindre Valenciennes (L2) cette saison.(*) Un premier club à Toulouse, fondé en 1937 puis disparu en 1967, avait auparavant joué dix-neuf ans en D1. Le TFC a été créé en 1970. « Le côté sympa quand vous êtes à l'étranger, c'est que vous êtes encore plus proches les uns des autres. Je l'ai vécu ici d'ailleurs, se souvenait l'ancien coach de la Real Sociedad (2011-2013), le week-end dernier après la victoire de son équipe (1-0) en amical à Anoeta. On pourrait penser qu'il y a des clans mais, au contraire, tous les étrangers apprécient parce qu'ils sont tous dans la même situation d'expatriés. » Cela n'empêche pas des groupes de se former naturellement, celui des jeunes formés au club étant bien représenté. Et des « crispations » d'apparaître, plus avec la direction qu'entre joueurs. Une stratégie basée sur les data« Il y a un certain mal-être avec le président (Damien Comolli) vis-à-vis des joueurs qui ont obtenu la montée et dont les contrats n'ont pas encore été revalorisés parce qu'il n'y a soi-disant pas d'argent. Pourtant, le club ne cesse de recruter des nouveaux à l'étranger, qui n'éblouissent personne pour l'instant », explique un familier du club. Pour un ancien haut dirigeant de deux clubs de Ligue 1, « ne mettre que des étrangers peut créer un problème, ils peuvent se croire au-dessus du lot. En revanche, on ne peut pas leur reprocher de mettre du temps à s'adapter ». En interne, on assure que la priorité est donnée à la formation. « Toute nationalité est la bienvenue » mais elle reste « une donnée comme une autre » dans le processus de recrutement. En misant sur les data depuis deux ans, Toulouse s'est automatiquement ouvert à d'autres Championnats. Avec parfois le risque de s'enfermer dans son système, comme cet été, lorsque le gardien norvégien Kjetil Haug a été préféré à Quentin Braat (ex-Niort), pourtant libre et fort d'une solide expérience en Ligue 2, mais qui ne remplissait pas tous les critères. Cet exemple, ajouté à un récent accrochage à l'entraînement entre un Scandinave et un jeune du club, seul exclu ce jour-là, montre que l'équilibre reste difficile à trouver. Pas de quoi jusque-là remettre en cause une stratégie assumée, qui a permis à la Ville rose de retrouver sa place dans le gotha français. L'avis de « L'Équipe » Après deux ans d'absence en Ligue 1, les attentes sont nombreuses autour des Violets. Le rachat du club par le fonds d'investissement américain RedBird Capital Partners, après la relégation en 2020, doit lui permettre de se pérenniser dans l'élite, sans se fixer de limites. Le promu s'est donné les moyens de réussir avec un recrutement ciblé, pour renforcer l'ossature d'une équipe qui a produit un jeu offensif la saison passée, et avec une préparation sans fausse note. À l'exception peut-être de la situation à éclaircir de Rhys Healey, son meilleur buteur, dont l'avenir reste incertain. Calendrier de la première journée de Ligue 1 2022-2023 Donc c'est un familier du club qui balance sympa. Citer Lien vers le commentaire
C’est un message populaire. RobespierreDorsini Posté(e) 24 juillet 2022 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 24 juillet 2022 (modifié) Il y a 2 heures, fifidu31170 a dit : Donc c'est un familier du club qui balance sympa. Ça fait des mois ici qu'on a la version des "familiers". Qu'ils aillent l'étaler dans la presse n'a rien de surprenant, surtout quand ils ont la chance de trouver face à eux de piètres journalistes comme celui-là. L'article parle des 15 nationalités différentes dans l'effectif comme si cela pouvait être un problème, ou a minima quelque chose de surprennant. Je suis allé compter, il y en a 20 différentes à l'OM, 10 à Lyon, 10 à Rennes, 13 à Lille, 13 à Paris, 13 à Monaco, 18 à Lens, 11 à Nice. En Angleterre, pour Chelsea, Brentford et Arsenal : 17, 19 et 18. Et encore, on parle pas de proportionnalité. À Brentford, c'est 7 joueurs danois pour 9 anglais, sur un effectif de 34 joueurs. 15 est un chiffre tout au mieux moyen à moyen-haut dans le football actuel, mais en aucun cas une statistique impressionnante. Il y a aussi de quoi faire avec les sous-entendus : les étrangers sont assimilés aux "clans", les Français à des "groupes"... Je pourrais aussi relever la petite phrase sur les nouveaux qui "n'éblouissent personne". Typiquement un endroit où un connaisseur du club aurait pu rappeler qu'un Healey, qui fait partie du clan du malaise, n'éblouissait personne non plus à son arrivée. Pareil, Ngoumou était vu comme un tout-droit y'a pas un an par les "familiers" du club. Bref, c'est un article à chier de L'Équipe. Un de plus. Limite un peu mieux que ce que faisait l'immense Emery Taisne en son temps, mais alors vraiment pas de beaucoup. Modifié 24 juillet 2022 par Vistule 1 7 Citer Lien vers le commentaire
GG Posté(e) 24 juillet 2022 Partager Posté(e) 24 juillet 2022 Le passage sur Quentin Braat est surréaliste Citer Lien vers le commentaire
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