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TFC 1 - OGC Nice 1 / 1ère journée de L1


Résultat   

59 membres ont voté

  1. 1. Résultat du match ?

    • victoire du TFC
      23
    • match nul
      21
    • victoire de Nice
      14

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Posté(e)
il y a 14 minutes, dondiego a dit :

Personnellement je ne sais pas dire en me basant sur les perfs de Sylla précédentes si ce 7 août il aura des capacités physiques  inférieures à celles de Zanden. 

Chubee va t'expliquer comment il fait lui 😁

  • Crylol 1
Posté(e)
il y a 5 minutes, Ibarra a dit :

Je suis confiant moi. Surtout si on signe N'Diaye. 

Il jouera pas dimanche quoi qu’il arrive. Là on parle du match de dimanche 😉

Posté(e)

En tous les cas il vaut mieux les jouer maintenant car ils sont en train de faire un sacré recrutement mais déjà face à cette équipe même un nul serait un exploit

  • Like 1
Posté(e)
il y a 1 minute, CAHORS a dit :

En tous les cas il vaut mieux les jouer maintenant car ils sont en train de faire un sacré recrutement mais déjà face à cette équipe même un nul serait un exploit

Ils construisent une belle team oui

Posté(e)
il y a 52 minutes, chubee a dit :

De ce que j’ai vu loin d’être emballé… 

Ne va pas à la plage du coup :)

Euh j'ai payé assez cher 😋

Donc ça sera le Tef au bord de l'eau hihihi !!! 

J espère que je vais me rouler dans le sable de bohneur à la fin du match 😜

  • Haha 2
Posté(e) (modifié)
il y a 25 minutes, CAHORS a dit :

Pour Sylla aucun débat, il a été très bon sur les matchs de préparation et tiendra sans problème sa place.

 

Très bon, peut-être, par contre, faut qu'il se canalise...toujours des fautes inutiles.

Après dans l'état d'esprit, il sera présent.-_-

Modifié par marco
  • Top ! 1
Posté(e)
Il y a 1 heure, valdo a dit :

Euh j'ai payé assez cher 😋

Donc ça sera le Tef au bord de l'eau hihihi !!! 

J espère que je vais me rouler dans le sable de bohneur à la fin du match 😜

J’espère aussi 😁

  • Haha 1
Posté(e) (modifié)
Il y a 2 heures, chubee a dit :

Classique? Tu vas voir si les autres teams de L1 vont pas aligner des recrues… tu dois avoir 1 équipe ou 2 qui fait ca en debut de saison donc dire que c’est classique c’est osé Ah! ah!

Classique dans notre contexte: 

- tu as pour le moment perdu personne, donc pas d’urgence. 

- tes recrues ne sont pas du genre prête  à consommer (jeune venant de l’étranger)

Au premier match de la saison tu as rarement beaucoup de recrue sur le terrain , et ça vaudra aussi pour Nice dimanche.

Modifié par joseywales
Posté(e)

On a vu du 4-4-2 en amical, mais Montanier n'a pas l'air du genre à innover à tout va. Je tablerais plus sur le 4-3-3, et éventuellement un 4-4-2 pendant le match selon les cas. Sachant que l'on joue déjà dans un système qui mélange les deux sur certaines phases.

Posté(e)
il y a une heure, SuperTFC a dit :

Ceux qui disent que le TFC va jouer le maintien à l'arrache, vous vous basez sur quoi ? Sur le match de Clermont ? Ouarf.

Faudra assumer en fin de saison, quand le TFC sera Top10 ...

Facile de balancer n'importe quoi sans arguments.

Mon argument est très simple le budget. 

Posté(e)
il y a 54 minutes, joseywales a dit :

Mon argument est très simple le budget. 

il y a 53 minutes, Big_Bros a dit :

Infaillible Ah! ah!

Un article de Pierre Rondeau sur le sujet, avant qu'il ne devienne trop médiatique
https://theconversation.com/football-faut-il-depenser-plus-pour-gagner-plus-70572

Football : faut-il dépenser plus pour gagner plus ?

 

Récemment, la presse spécialisée a publié les salaires des principaux joueurs du Championnat de France de Ligue 1 ainsi que les moyennes et les écarts globaux. Ce qui frappe, c’est l’inégalité persistante entre les ténors de la Ligue 1, le PSG en tête puis l’AS Monaco, et le reste de la concurrence.

Alors que le salaire moyen dans l’hexagone est de 50 000 euros brut mensuel, la moyenne au Paris Saint-Germain s’élève à 450 000 euros, quasiment dix fois plus. Quant à Monaco, le chiffre est de 198 000 euros, près de quatre fois supérieur aux canons de la Ligue 1, et le club place trois joueurs (Falcao, Moutinho, Mendy) dans le top 20 des footballeurs les mieux payés de France.

Fait marquant, ou simple coïncidence, les deux clubs présentant la masse salariale la plus élevée sont aussi ceux ayant les meilleurs résultats sur ces quatre dernières saisons. Paris a enchaîné quatre sacres en Ligue 1, en plus de deux coupes de France et trois coupes de la Ligue. Monaco est actuellement la meilleure attaque européenne, devant les gargantuesques Real Madrid et FC Barcelone, et, sous la houlette du coach Léonardo Jardim, se maintient sur le podium depuis trois ans.

Y aurait-il une corrélation évidente, prouvée sportivement et théoriquement, entre la masse salariale, l’argent investi dans les joueurs, et les performances sportives ? Dit autrement, faut-il dépenser plus pour gagner plus ?

L’inefficience des années 2000

Dans les années 2000, les économistes Élisé Wendlassida Miningou et Valérie Vierstraete s’étaient intéressées au lien entre le budget global (masse salariale, investissement, dépenses structurelles, etc.), calculé sur une période de six ans, et la stabilité sportive des équipes de première et de deuxième division. Dans leur article, « Efficience des clubs français de football des ligues 1 et 2 », elles ont conclu à une déconnexion totale entre la valeur économique et la valeur sportive, surtout en Ligue 1. D’après elles, le Championnat de France, contrairement à ses acolytes européens, n’était pas capable de présenter une parfaite efficience économique :

« Les résultats de notre étude montrent que, dans l’ensemble, les clubs français sont inefficients et utilisent donc plus de ressources qu’il n’en faudrait pour atteindre leurs objectifs. De plus, les clubs de la Ligue 1 sont moins efficients que ceux de la Ligue 2 et l’efficience semble avoir diminué dans le temps dans les deux ligues. »

Le club représentatif, de 2002 à 2008, était le Paris Saint-Germain. Il faut en effet se rappeler qu’à cette période, le PSG, malgré son statut de troisième club le plus riche du pays, ne cessait de décevoir avec des performances plus que catastrophiques. Lors de la saison 2007-2008, le club s’est même sauvé de la relégation à la toute dernière journée, suite à une victoire contre Sochaux, après un but marqué à la 79e minute par l’attaquant Amara Diané. Nous sommes très loin des succès d’aujourd’hui.

Particularisme hexagonal

Mais alors que s’est-il passé ? Élisé Wendlassida Miningou et Valérie Vierstraete, dans le même article, précisent que le football français, dans les années 2000, était très particulier, contrairement aux autres championnats du « Big Five ». Incapable de garantir une efficience entre l’économique et le sportif, il présentait une intensité et un équilibre compétitif plus important que la moyenne européenne. À cette époque, des grosses écuries, comme Paris ou Marseille, avaient du mal à confirmer, alors que des petites équipes, comme Nancy, Auxerre, Lens ou Toulouse arrivaient à truster les premières places. Pour Wendlassida Miningou et Vierstraete, « l’inefficience semble plus attribuable à des problèmes managériaux qu’à des problèmes liés à la taille des clubs ».

 

Aurions-nous des problèmes ou des retards de coaching en France qui font que, malgré l’argent, nous serions incapables de performer sportivement ? D’après Alexandre Marles, préparateur physique et statisticien de formation, « en France, on n’a pas de Mourinho, Guardiola ou Ancelotti : la plupart des coachs entraînent encore comme dans les années 80. […] Si au bout de dix journées, tu vois que les trois premiers, dont Nice, ont des entraîneurs et des joueurs passés par l’étranger, ce n’est pas un hasard ».

À l’étranger, cette efficience est bel et bien présente. En Angleterre, par exemple, il n’y a eu que 5 champions différents sur 20 ans, en Espagne, 90 % des titres ont été remportés par les trois équipes les plus riches entre 1990 et 2010. En Italie, la donnée tombe à 84 %, 75 % en Allemagne et seulement 60 % en France.

La France dans le moule

Mais les choses sont-elles en train de changer ? En 1999, les économistes Kuypers et Szymanski avaient mesuré la corrélation entre la masse salariale cumulée des équipes de Premier League, le championnat d’Angleterre, et leurs performances sportives globales entre 1978 et 1996. Le lien dépassait les 90 %. L’économiste français Bastien Drut a alors appliqué la même méthodologie que Kuypers et Szymanski au Championnat de France, entre les saisons 2006-2007 et 2013-2014, soit sur une autre périodicité que l’étude de Wendlassida Miningou et Vierstraete. Que trouve-t-il ? Que la corrélation, alors qu’elle était caractéristique d’une très faible efficience, entre 2004 et 2008, est montée à 85 %, soit quasiment autant que le championnat d’Angleterre.

La France serait donc rentrée dans le moule et aurait réussi à outrepasser ses problèmes de management pour assurer une parfaite efficience économique et sportive. Drut le souligne ainsi :

« Les clubs dépensant le plus en termes de salaires réalisent les meilleures performances sportives. […] Ceux capables de dégager les budgets les plus importants peuvent attirer les meilleurs joueurs en leur proposant les salaires les plus compétitifs et donc obtiennent les meilleurs résultats sportifs »

Efficience et absence de suspense

C’est l’affirmation même de la théorie du salaire d’efficience appliquée au football. Développée par les économistes américain Joseph Stiglitz et Carl Shapiro, cette théorie suppose une causalité directe entre rémunération et productivité individuelle. « Payez mieux vos salariés, ils augmenteront leurs compétences et leurs efforts à la tâche », affirment-ils dans leur article de 1984. Dans le foot, finalement, c’est pareil : les meilleurs clubs payent cher les meilleurs joueurs qui permettent, en retour, d’avoir les meilleurs résultats et de rester meilleurs. Paris et Monaco l’ont très bien compris.

 

Seulement, le risque, avec la réalisation de l’efficience, est de voir disparaître l’intensité et l’équilibre compétitif des ligues, le suspense et le hasard. L’économiste Nicolas Scelles, auteur d’une thèse en 2009 sur l’incertitude du résultat des ligues sportives professionnelles, reconnaît un lien évident entre la demande du public et l’équilibre compétitif. Si un match est gagné d’avance, si un classement est déjà connu, seulement à partir de la hiérarchie économique, quel serait l’intérêt d’aller au stade, de regarder les matchs et de s’intéresser au football ?

La France, jusque-là, était épargnée par ce principe, mais avec l’affirmation des géants parisien et monégasque, l’attractivité diminue et l’affluence faiblit. D’après les derniers chiffres de la Ligue de football professionnelle, la baisse est de 11 % entre cette saison et la saison dernière, malgré un Euro joué en France et la construction de nouveaux stades. On ne peut que s’inquiéter de ce phénomène et même aller jusqu’à dire, comme le magazine So Foot du mois de décembre, « Sommes-nous en train de tuer le foot ? »

 
Posté(e)
Il y a 1 heure, Vistule a dit :

Un article de Pierre Rondeau sur le sujet, avant qu'il ne devienne trop médiatique
https://theconversation.com/football-faut-il-depenser-plus-pour-gagner-plus-70572

Football : faut-il dépenser plus pour gagner plus ?

 

Récemment, la presse spécialisée a publié les salaires des principaux joueurs du Championnat de France de Ligue 1 ainsi que les moyennes et les écarts globaux. Ce qui frappe, c’est l’inégalité persistante entre les ténors de la Ligue 1, le PSG en tête puis l’AS Monaco, et le reste de la concurrence.

Alors que le salaire moyen dans l’hexagone est de 50 000 euros brut mensuel, la moyenne au Paris Saint-Germain s’élève à 450 000 euros, quasiment dix fois plus. Quant à Monaco, le chiffre est de 198 000 euros, près de quatre fois supérieur aux canons de la Ligue 1, et le club place trois joueurs (Falcao, Moutinho, Mendy) dans le top 20 des footballeurs les mieux payés de France.

Fait marquant, ou simple coïncidence, les deux clubs présentant la masse salariale la plus élevée sont aussi ceux ayant les meilleurs résultats sur ces quatre dernières saisons. Paris a enchaîné quatre sacres en Ligue 1, en plus de deux coupes de France et trois coupes de la Ligue. Monaco est actuellement la meilleure attaque européenne, devant les gargantuesques Real Madrid et FC Barcelone, et, sous la houlette du coach Léonardo Jardim, se maintient sur le podium depuis trois ans.

Y aurait-il une corrélation évidente, prouvée sportivement et théoriquement, entre la masse salariale, l’argent investi dans les joueurs, et les performances sportives ? Dit autrement, faut-il dépenser plus pour gagner plus ?

L’inefficience des années 2000

Dans les années 2000, les économistes Élisé Wendlassida Miningou et Valérie Vierstraete s’étaient intéressées au lien entre le budget global (masse salariale, investissement, dépenses structurelles, etc.), calculé sur une période de six ans, et la stabilité sportive des équipes de première et de deuxième division. Dans leur article, « Efficience des clubs français de football des ligues 1 et 2 », elles ont conclu à une déconnexion totale entre la valeur économique et la valeur sportive, surtout en Ligue 1. D’après elles, le Championnat de France, contrairement à ses acolytes européens, n’était pas capable de présenter une parfaite efficience économique :

« Les résultats de notre étude montrent que, dans l’ensemble, les clubs français sont inefficients et utilisent donc plus de ressources qu’il n’en faudrait pour atteindre leurs objectifs. De plus, les clubs de la Ligue 1 sont moins efficients que ceux de la Ligue 2 et l’efficience semble avoir diminué dans le temps dans les deux ligues. »

Le club représentatif, de 2002 à 2008, était le Paris Saint-Germain. Il faut en effet se rappeler qu’à cette période, le PSG, malgré son statut de troisième club le plus riche du pays, ne cessait de décevoir avec des performances plus que catastrophiques. Lors de la saison 2007-2008, le club s’est même sauvé de la relégation à la toute dernière journée, suite à une victoire contre Sochaux, après un but marqué à la 79e minute par l’attaquant Amara Diané. Nous sommes très loin des succès d’aujourd’hui.

Particularisme hexagonal

Mais alors que s’est-il passé ? Élisé Wendlassida Miningou et Valérie Vierstraete, dans le même article, précisent que le football français, dans les années 2000, était très particulier, contrairement aux autres championnats du « Big Five ». Incapable de garantir une efficience entre l’économique et le sportif, il présentait une intensité et un équilibre compétitif plus important que la moyenne européenne. À cette époque, des grosses écuries, comme Paris ou Marseille, avaient du mal à confirmer, alors que des petites équipes, comme Nancy, Auxerre, Lens ou Toulouse arrivaient à truster les premières places. Pour Wendlassida Miningou et Vierstraete, « l’inefficience semble plus attribuable à des problèmes managériaux qu’à des problèmes liés à la taille des clubs ».

 

Aurions-nous des problèmes ou des retards de coaching en France qui font que, malgré l’argent, nous serions incapables de performer sportivement ? D’après Alexandre Marles, préparateur physique et statisticien de formation, « en France, on n’a pas de Mourinho, Guardiola ou Ancelotti : la plupart des coachs entraînent encore comme dans les années 80. […] Si au bout de dix journées, tu vois que les trois premiers, dont Nice, ont des entraîneurs et des joueurs passés par l’étranger, ce n’est pas un hasard ».

À l’étranger, cette efficience est bel et bien présente. En Angleterre, par exemple, il n’y a eu que 5 champions différents sur 20 ans, en Espagne, 90 % des titres ont été remportés par les trois équipes les plus riches entre 1990 et 2010. En Italie, la donnée tombe à 84 %, 75 % en Allemagne et seulement 60 % en France.

La France dans le moule

Mais les choses sont-elles en train de changer ? En 1999, les économistes Kuypers et Szymanski avaient mesuré la corrélation entre la masse salariale cumulée des équipes de Premier League, le championnat d’Angleterre, et leurs performances sportives globales entre 1978 et 1996. Le lien dépassait les 90 %. L’économiste français Bastien Drut a alors appliqué la même méthodologie que Kuypers et Szymanski au Championnat de France, entre les saisons 2006-2007 et 2013-2014, soit sur une autre périodicité que l’étude de Wendlassida Miningou et Vierstraete. Que trouve-t-il ? Que la corrélation, alors qu’elle était caractéristique d’une très faible efficience, entre 2004 et 2008, est montée à 85 %, soit quasiment autant que le championnat d’Angleterre.

La France serait donc rentrée dans le moule et aurait réussi à outrepasser ses problèmes de management pour assurer une parfaite efficience économique et sportive. Drut le souligne ainsi :

« Les clubs dépensant le plus en termes de salaires réalisent les meilleures performances sportives. […] Ceux capables de dégager les budgets les plus importants peuvent attirer les meilleurs joueurs en leur proposant les salaires les plus compétitifs et donc obtiennent les meilleurs résultats sportifs »

Efficience et absence de suspense

C’est l’affirmation même de la théorie du salaire d’efficience appliquée au football. Développée par les économistes américain Joseph Stiglitz et Carl Shapiro, cette théorie suppose une causalité directe entre rémunération et productivité individuelle. « Payez mieux vos salariés, ils augmenteront leurs compétences et leurs efforts à la tâche », affirment-ils dans leur article de 1984. Dans le foot, finalement, c’est pareil : les meilleurs clubs payent cher les meilleurs joueurs qui permettent, en retour, d’avoir les meilleurs résultats et de rester meilleurs. Paris et Monaco l’ont très bien compris.

 

Seulement, le risque, avec la réalisation de l’efficience, est de voir disparaître l’intensité et l’équilibre compétitif des ligues, le suspense et le hasard. L’économiste Nicolas Scelles, auteur d’une thèse en 2009 sur l’incertitude du résultat des ligues sportives professionnelles, reconnaît un lien évident entre la demande du public et l’équilibre compétitif. Si un match est gagné d’avance, si un classement est déjà connu, seulement à partir de la hiérarchie économique, quel serait l’intérêt d’aller au stade, de regarder les matchs et de s’intéresser au football ?

La France, jusque-là, était épargnée par ce principe, mais avec l’affirmation des géants parisien et monégasque, l’attractivité diminue et l’affluence faiblit. D’après les derniers chiffres de la Ligue de football professionnelle, la baisse est de 11 % entre cette saison et la saison dernière, malgré un Euro joué en France et la construction de nouveaux stades. On ne peut que s’inquiéter de ce phénomène et même aller jusqu’à dire, comme le magazine So Foot du mois de décembre, « Sommes-nous en train de tuer le foot ? »

 

https://www.sportune.fr/sport-business/football/classement-final-de-ligue-1-compare-aux-budgets-des-clubs-285031/2

mouais...

 

Posté(e)
à l’instant, Flolynyk a dit :

Aucun des 7 plus bas budgets n'a fini dans les 3 derniers, ça va plutôt dans son sens. 

C'est plutôt par rapport à l'affirmation de @joseywales

il y a 6 minutes, Flolynyk a dit :

Aucun des 7 plus bas budgets n'a fini dans les 3 derniers, ça va plutôt dans son sens. 

Oui, donc aussi un peu dans le mien :ninja:

Posté(e)
Le 01/08/2022 à 16:51, chubee a dit :

C’est cool tout le monde dit qu’on fait un des meilleurs recrutements de L1 et nous on en fait jouer aucun… original

Bien vu ! 

Il y a 22 heures, joseywales a dit :

Non plutôt classique, les recrues ne sont jamais intégrées directement ici ou ailleurs. Tu fais toujours ça progressivement. Surtout que pour l’instant tu as perdu personne donc pas de joueur à remplacer d’urgence

Il me semble que l'an dernier Desler avait démarré bille en tête, trois jours après son arrivée ! 

  • Top ! 1
Posté(e)
il y a une heure, Big_Bros a dit :

Il y a une corrélation entre budget (enfin, surtout la partie salaire) et résultat. Mais il y a ensuite un facteur d'efficience sur l'argent investi. À masse salariale proche ou égal, certains seront beaucoup plus dans la réussite que d'autres.

Ça illustre le fait que vous aviez tous les raisons. En y réfléchissant, vos propos ne s'opposent pas forcément. Ils se complètent 😁

Posté(e) (modifié)
il y a une heure, Flolynyk a dit :

Aucun des 7 plus bas budgets n'a fini dans les 3 derniers, ça va plutôt dans son sens. 

Dans le sens de qui ? L’étude montre justement que le budget est le principal critère de classement (après y avait il besoin d’une étude pour ça …). Après ça reste des statistiques ça ne veut pas dire que ça marche tout le temps.

il y a 5 minutes, Vistule a dit :

Il y a une corrélation entre budget (enfin, surtout la partie salaire) et résultat. Mais il y a ensuite un facteur d'efficience sur l'argent investi. À masse salariale proche ou égal, certains seront beaucoup plus dans la réussite que d'autres.

Ça illustre le fait que vous aviez tous les raisons. En y réfléchissant, vos propos ne s'opposent pas forcément. Ils se complètent 😁

Non mais clairement ça dépend aussi comment tu le dépenses (Bordeaux, sainté) 😀.Mais l’avantage du budget c’est que c’est pragmatique comme critère. On oublie un peu vite que l’année dernière on avait l’un des plus gros budget

 

Modifié par joseywales

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