Aller au contenu

Europa League : TFC 3 - Liverpool 2 / phase de groupes J4


résultat  

54 membres ont voté

Vous n’avez pas la permission de voter dans ce sondage, ou de voir les résultats du sondage. Veuillez vous connecter ou vous inscrire pour voter dans ce sondage.

Messages recommandés

il y a 14 minutes, dud44 a dit :

Hello les Toulousains. Je suis supporter nantais (on reste vexé du 5-1 on oublie pas hein !) mais franchement quel kif votre match ce soir, c'était absolument énorme. Quel plaisir de voir les équipes françaises se défoncer comme ça face aux géants européens. 😍

Bonne saison à vous en tout cas et profitez ! 🤍💜 💛💚

Tu pourras passer le message  à tes ultras qu’ils peuvent s’inspirer des supporters de Liverpool qui ont déposé une gerbe en hommage à Brice en bas du virage en début de match. 

Sympa  ton message en tout cas oui ça relève un peu le niveau 😉

Lien vers le commentaire

Merci Asha, en te lisant je revis une deuxième fois cette folle soirée. Tu conclus parfaitement tous les commentaires que je viens de rattraper 😁

Je n’avais pas pu être de la partie au stade de France mais ce soir j’ai vécu le plus beau match de ma vie de supporter. J’en reviens toujours pas, c’est incroyable.

Peu importe la suite de la saison ce match restera gravera à jamais dans ma mémoire et dans celle de tout ceux qui ont vécu ce moment. Je vais mettre un moment à m’en remettre.

Merci les joueurs, merci coach, merci Comolli, merci aux Indians, merci à tous. Je vous aime ♥️

  • Like 5
Lien vers le commentaire

Le CR de gollum vallait aussi son pesant  d’or . A soirée de légende , CR de légende . 

il y a 2 minutes, jpaul1171 a dit :

Ses espoirs ont été réduits en cendres. 

Je crois qu’il a le sentiment de s’être fait rouler ...

Pourtant en 2eme mt il avait mis le paquet ...

Au retour en Angleterre  il va se faire allumer 

  • Like 2
  • Top ! 1
  • Haha 3
Lien vers le commentaire
il y a 22 minutes, Asha31 a dit :

Pour l'histoire, pour l'éternité, pour toujours. Notre Naples. Notre légende. Ou plutôt une page de plus de la folle légende qu'écrit ce TFC depuis 3 ans.  Quel rêve éveillé. Mon dieu, qu'il est beau, qu'il est grand notre TFC ce soir.

 

Par où commencer ? A 17h , je quitte ma classe, déjà la tête au stadium et au train à ne pas rater pour voir un match historique. Trois de mes petits 5e s'approchent timidement, maillots violets sur les épaules. "Vous allez au match, monsieur?". Ils ont compris, depuis le début de saison. Un clin d'oeil, un sourire et je cours chercher mon train. Le temps de passer une sécurité presque débordé, je parviens péniblement en Taton au moment du Se Canto, et un mur de supporter m'attends. Je l'ai vu plein ce virage, mais jamais il ne m'a paru si dense, si fort, si vibrant. Devant moi, un gamin de 8 ans, derrière, un ancien de 70, autour, ma garde rapprochée avec laquelle je suis monté au Stade de France , un soir fou d'avril, qui nous a donné le droit d'être là ce soir. Cette tribune a quelque chose d'inexprimable, la passion, le mélange des générations, entre les anciens qui apprennent à rêver à nouveau, les jeunes qui découvrent leurs premières émotions en violet, les gars comme moi qui vivent leur meilleur vie de supporters depuis 3 ans. Trois rangées plus loin, je reconnais un élève, son visage s'éclaire, il m'envoie un timide signe de la main. Que c'est beau d'être là. Soudain, on lève les yeux, un tifo se déploie. Le temps que l'on comprenne, les visages s'illuminent. Un tifo aussi inattendu qu'historique recouvre le virage, une idée folle et hilarante, qui résume à elle seule tout ce qui fait des Indians les ultras les plus attachants du championnat. "Sur un malentendu...", fou message d'humilité, de second degré, mais aussi d'espoir. Le match peut commencer, celui des tribunes est déjà largement gagné.

Et sur le terrain, on voit ce que l'on attendait: des toulousains en place, parfaitement préparés tactiquement à 100% sur chaque ballon, face à un Liverpool remanié mais qui domine tranquillement et logiquement son sujet sur la première demi-heure, sans pour autant trouver la moindre clé, sinon sur un premier CPA et une erreur de Restes. Un supporter proche de moi souffle : "C'est du très haut niveau , quand même". On convient ensemble que si l'on doit marquer, il faudra une erreur en face.

Et puis, après une demi-heure, après une première situation de Suazo, un sentiment diffus sur le terrain: les anglais s'agacent, comprennent visiblement qu'en face, ce sera plus costaud qu'au match aller. Les Toulousains , petit à petit, les secouent dans l'entrejeu, les coups pleuvent, l'engagement est fou et total sur chaque ballon, bien aidé par un arbitrage très...britannique. Et puis, elle arrive. L'erreur dont on parlé. Le malentendu annoncé par les Indians. Donnum vient arracher un ballon sur son aile, et file punir des Reds bien trop sûrs d'eux . Une frappe légèrement contrée, comme déjà un signe des Dieux du foot. Le Stadium explose, en tribune Brice, on tombe les uns sur les autres, on hurle, on s'embrasse. Un parfum de finale de coupe de France flotte dans l'air. On se dit alors que ça y est, le fauve en face va sortir de sa torpeur et se réveiller, mais non. Le TFC monte encore d'un cran dans les duels, Endo n'est pas loin de sortir du match, le grand, l'immense Liverpool doute et perd les pédales au Stadium. Mi-temps. Le TFC mène face à Liverpool. Déjà, l'histoire est là. 

Retour des vestiaires, Klopp sort l'artillerie lourde et ses stars entrent sur le terrain. On grimace. La fête est sans doute finie. Comment imaginer que le 11 qui reprend ne roule pas sur le petit TFC, déjà heureux de mener? On s'y attend, on va se recroqueviller, tenir le plus possible, certainement se faire remonter. C'est comme ça, c'est le foot. On l'a eu, notre mi-temps enchantée, le supporter toulousain, il a pas le droit de voir Liverpool tomber au stadium.

Oui mais voilà. Desler, Dallinga, Sierro, Schmidt, Donnum, Suazo, et tous les autres, eux, ils en ont rien à foutre du So TFC, rien à foutre de notre histoire avant eux. Parce que eux, ils ont rejoint un projet fou, celui de faire du TFC un club qui compte. Et ils vont nous offrir, ni plus, ni moins, que le plus extraordinaire quart d'heure de l'histoire moderne de notre club. 15 minutes phénoménales , une agressivité, une insolence, un panache absolue. 46e, transition incroyable, Desler passe un petit pont dans la surface de Liverpool puis ne cadre pas. 48e, Suazo ratele but  au terme d'une action somptueuse, qui met hors de position toute la défense anglaise. 50e , Dallinga au bout d'une autre action phénoménale, envoi Josep Matip au tapis, et conclut superbement. Refusé par un arbitre qui jusque là regarder passer sans moufter les tacles aux genoux. Mais pas grave, le plus beau est à venir. 

58e. Le TFC mène chez lui, mais ses joueurs pressent comme des tarés les joueurs du grand Liverpool dans leur propre moitié de terrain. Et là, un moment de grâce. Au bout du combat, Sierro, le pestiféré Sierro, Sierro l'arnaque , l'erreur de casting, Sierro immense jusque là et  depuis la première minute, envoie une merveille, une passe Vandenboomienne, à Dallinga. Un contrôle fabuleux, une frappe en pivot de l'immense avant-centre qu'il sera un jour. Toulouse mène 2-0 face à Liverpool. Folie. Extase. 

Les Reds sont sonnés, mais se mettent enfin en colère. On est parti, pour une demi-heure, une demi-heure pour écrire une légende. En tribune, le terrible et doux poison de l'espoir est dans toutes les veines, on chante , on hurle comme jamais pour pousser des violets qui se battent et se recroquevillent. Au bout d'une nouvelle transition folle, un 3e but, encore refusé. Schmidt, perclus de crampes, sort pour .. Magri. Incrédulité. Un attaquant ? Novell rentre un attaquant à 2-0 contre Liverpool ? C'est soit une folie, soit un coup de génie d'un coach qui décidément, mourra avec ses idées. 

Et puis, il arrive le moment terrible, Casseres malheureux vient réduire le score contre son camp. Et de nouveau, la petite musique dans les têtes. Il reste trop de temps. C'était trop beau. 

Mais là encore, les violets disent non. Non à l'histoire, non au destin. Donnum met le feu, renverse sur Suazo qui , en un centre puissant au sol cafouillé par le gardien, fait pardonner le raté d'Anfield. Au second poteau, surgit... Magri. Comme si l'univers hurlait à Novell que ce soir, c'était aussi son soir, sa carte blanche pour le reste de la saison. Son TFC mène 3 buts à 1, et vient littéralement de répondre du tac au tac au Liverpool de Klopp. L'ambiance en tribune est indescriptible. Nos violets en ont passé 5 à Liverpool, en 75 minutes. C'est fou. 

Et puis, et puis... Jota. Un copié-collé du match aller, pour une fin de match irrespirable. 7 minutes de temps additionnelle, une éternité. Les toulousains ne font plus grand chose sinon repousser, encore et encore, jusqu'à craquer, au bout du match, comme un cruel remake  du Havre, comme une ultime gifle du destin. C'était trop beau...

Mais ? Les toulousains sont autour de l'arbitre , sûrs d'eux, Nicolaisen met la pression. Les hommes en noirs hésitent, se ravisent, et l'arbitre fais le signe attendu. Un frisson dingue traverse les tribunes . But annulé. Jusqu'au bout, le scénario incroyable. L'arbitre nous libère, libère un stadium ivre de bonheur , d'extase. On le tient, l'exploit fou, celui d'une génération, celui qui construira des petits Indians pour les années à venir. On chante, on saute, on célèbre nos héros qui ont gagné notre amour jusqu'à la fin de saison , quelque soit les obstacles. Restes vient faire sauter la tribune, les joueurs se prennent en photo quand le "Se Canto" retentit une dernière fois. C'est beaucoup trop beau.

Le TFC ce soir a écrit une page de son histoire. Le TFC a battu Liverpool, chez lui, avec fierté, avec audace, avec insolence, avec panache. Quand je quitte le stadium , ça klaxonne, ça chante dans toutes les rues, j'attrape le dernier train pour rentrer dans ma cambrousse, encore sonné. Sur le banc prés de moi à la Gare de Saint-Agne, un supporter français de Liverpool fait la moue, j'engage la discussion, la voie enrouée. "Vous le méritez les gars, ça fait longtemps que j'ai pas vu Liverpool se faire bouger comme ça. Et l'ambiance, c'est dingue. C'est toujours comme ça ?".

Ca l'a été, ça le sera encore, et pour longtemps. Car ce soir, les gars qui portaient notre maillots ont posé une trace indélébile dans l'histoire du club. Merci les joueurs, merci coach. Qu'il est beau, qu'il est grand notre TFC.

Forza Viola les gars, avant, ce soir, et pour toujours... :drapeau-tfc1:

 

Je te l ai dit en avant match@Asha31, je t 💜  !!

@IndiansTolosa1993!! Un Tifo pour l histoire 😈💜😈💜😈💜

@claude1960, @tad11, j espère que vous avez .......kiffé !!

Joueurs, STAFF, Direction, Redbird .....MERCI MERCI et MEEERRRCCCIIIIIIIIIII !!

Je savais pas que nous aussi ( supporters du tèf) avions droit à ce bonheur...

Le Stade de France, cette soirée, me suivront dans l au delàà !!

MMMEEERRRCCCCCCCCCCCCIIIIIIIIIIII !!

 

 

Lien vers le commentaire
il y a 2 minutes, Violet82 a dit :

Je te l ai dit en avant match@Asha31, je t 💜  !!

@IndiansTolosa1993!! Un Tifo pour l histoire 😈💜😈💜😈💜

@claude1960, @tad11, j espère que vous avez .......kiffé !!

Joueurs, STAFF, Direction, Redbird .....MERCI MERCI et MEEERRRCCCIIIIIIIIIII !!

Je savais pas que nous aussi ( supporters du tèf) avions droit à ce bonheur...

Le Stade de France, cette soirée, me suivront dans l au delàà !!

MMMEEERRRCCCCCCCCCCCCIIIIIIIIIIII !!

 

 

Les bro derrière moi après l'égalisation de Liverpool... "On a pas droit au bonheur nous ? C'est ça ?" 😭

Après l'intervention de la VAR... "Voilà ! On est là !... TFC coupe d'Europe, TFC coupe d'Europe... ♪♫"

C'était zinzin comme ambiance bordel de m... 🤣🙏

  • Like 1
Lien vers le commentaire
il y a 33 minutes, Asha31 a dit :

Pour l'histoire, pour l'éternité, pour toujours. Notre Naples. Notre légende. Ou plutôt une page de plus de la folle légende qu'écrit ce TFC depuis 3 ans.  Quel rêve éveillé. Mon dieu, qu'il est beau, qu'il est grand notre TFC ce soir.

 

Par où commencer ? A 17h , je quitte ma classe, déjà la tête au stadium et au train à ne pas rater pour voir un match historique. Trois de mes petits 5e s'approchent timidement, maillots violets sur les épaules. "Vous allez au match, monsieur?". Ils ont compris, depuis le début de saison. Un clin d'oeil, un sourire et je cours chercher mon train. Le temps de passer une sécurité presque débordé, je parviens péniblement en Taton au moment du Se Canto, et un mur de supporter m'attends. Je l'ai vu plein ce virage, mais jamais il ne m'a paru si dense, si fort, si vibrant. Devant moi, un gamin de 8 ans, derrière, un ancien de 70, autour, ma garde rapprochée avec laquelle je suis monté au Stade de France , un soir fou d'avril, qui nous a donné le droit d'être là ce soir. Cette tribune a quelque chose d'inexprimable, la passion, le mélange des générations, entre les anciens qui apprennent à rêver à nouveau, les jeunes qui découvrent leurs premières émotions en violet, les gars comme moi qui vivent leur meilleur vie de supporters depuis 3 ans. Trois rangées plus loin, je reconnais un élève, son visage s'éclaire, il m'envoie un timide signe de la main. Que c'est beau d'être là. Soudain, on lève les yeux, un tifo se déploie. Le temps que l'on comprenne, les visages s'illuminent. Un tifo aussi inattendu qu'historique recouvre le virage, une idée folle et hilarante, qui résume à elle seule tout ce qui fait des Indians les ultras les plus attachants du championnat. "Sur un malentendu...", fou message d'humilité, de second degré, mais aussi d'espoir. Le match peut commencer, celui des tribunes est déjà largement gagné.

Et sur le terrain, on voit ce que l'on attendait: des toulousains en place, parfaitement préparés tactiquement à 100% sur chaque ballon, face à un Liverpool remanié mais qui domine tranquillement et logiquement son sujet sur la première demi-heure, sans pour autant trouver la moindre clé, sinon sur un premier CPA et une erreur de Restes. Un supporter proche de moi souffle : "C'est du très haut niveau , quand même". On convient ensemble que si l'on doit marquer, il faudra une erreur en face.

Et puis, après une demi-heure, après une première situation de Suazo, un sentiment diffus sur le terrain: les anglais s'agacent, comprennent visiblement qu'en face, ce sera plus costaud qu'au match aller. Les Toulousains , petit à petit, les secouent dans l'entrejeu, les coups pleuvent, l'engagement est fou et total sur chaque ballon, bien aidé par un arbitrage très...britannique. Et puis, elle arrive. L'erreur dont on parlé. Le malentendu annoncé par les Indians. Donnum vient arracher un ballon sur son aile, et file punir des Reds bien trop sûrs d'eux . Une frappe légèrement contrée, comme déjà un signe des Dieux du foot. Le Stadium explose, en tribune Brice, on tombe les uns sur les autres, on hurle, on s'embrasse. Un parfum de finale de coupe de France flotte dans l'air. On se dit alors que ça y est, le fauve en face va sortir de sa torpeur et se réveiller, mais non. Le TFC monte encore d'un cran dans les duels, Endo n'est pas loin de sortir du match, le grand, l'immense Liverpool doute et perd les pédales au Stadium. Mi-temps. Le TFC mène face à Liverpool. Déjà, l'histoire est là. 

Retour des vestiaires, Klopp sort l'artillerie lourde et ses stars entrent sur le terrain. On grimace. La fête est sans doute finie. Comment imaginer que le 11 qui reprend ne roule pas sur le petit TFC, déjà heureux de mener? On s'y attend, on va se recroqueviller, tenir le plus possible, certainement se faire remonter. C'est comme ça, c'est le foot. On l'a eu, notre mi-temps enchantée, le supporter toulousain, il a pas le droit de voir Liverpool tomber au stadium.

Oui mais voilà. Desler, Dallinga, Sierro, Schmidt, Donnum, Suazo, et tous les autres, eux, ils en ont rien à foutre du So TFC, rien à foutre de notre histoire avant eux. Parce que eux, ils ont rejoint un projet fou, celui de faire du TFC un club qui compte. Et ils vont nous offrir, ni plus, ni moins, que le plus extraordinaire quart d'heure de l'histoire moderne de notre club. 15 minutes phénoménales , une agressivité, une insolence, un panache absolue. 46e, transition incroyable, Desler passe un petit pont dans la surface de Liverpool puis ne cadre pas. 48e, Suazo rate le but  au terme d'une action somptueuse, qui met hors de position toute la défense anglaise. 50e , Dallinga au bout d'une autre action phénoménale, envoi Josep Matip au tapis, et conclut superbement. Refusé par un arbitre qui jusque là regarder passer sans moufter les tacles aux genoux. Mais pas grave, le plus beau est à venir. 

58e. Le TFC mène chez lui, mais ses joueurs pressent comme des tarés les joueurs du grand Liverpool dans leur propre moitié de terrain. Et là, un moment de grâce. Au bout du combat, Sierro, le pestiféré Sierro, Sierro l'arnaque , l'erreur de casting, Sierro immense jusque là et  depuis la première minute, envoie une merveille, une passe Vandenboomesque, à Dallinga. Un contrôle fabuleux, une frappe en pivot de l'immense avant-centre qu'il sera un jour. Toulouse mène 2-0 face à Liverpool. Folie. Extase. 

Les Reds sont sonnés, mais se mettent enfin en colère. On est parti, pour une demi-heure, une demi-heure pour écrire une légende. En tribune, le terrible et doux poison de l'espoir est dans toutes les veines, on chante , on hurle comme jamais pour pousser des violets qui se battent et se recroquevillent. Au bout d'une nouvelle transition folle, un 3e but, encore refusé. Schmidt, perclus de crampes, sort pour .. Magri. Incrédulité. Un attaquant ? Novell rentre un attaquant à 2-0 contre Liverpool ? C'est soit une folie, soit un coup de génie d'un coach qui décidément, mourra avec ses idées. 

Et puis, il arrive le moment terrible, Casseres malheureux vient réduire le score contre son camp. Et de nouveau, la petite musique dans les têtes. Il reste trop de temps. C'était trop beau. 

Mais là encore, les violets disent non. Non à l'histoire, non au destin. Donnum met le feu, renverse sur Suazo qui , en un centre puissant au sol cafouillé par le gardien, fait pardonner le raté d'Anfield. Au second poteau, surgit... Magri. Comme si l'univers hurlait à Novell que ce soir, c'était aussi son soir, sa carte blanche pour le reste de la saison. Son TFC mène 3 buts à 1, et vient littéralement de répondre du tac au tac au Liverpool de Klopp. L'ambiance en tribune est indescriptible. Nos violets en ont passé 5 à Liverpool, en 75 minutes. C'est fou. 

Et puis, et puis... Jota. Un copié-collé du match aller, pour une fin de match irrespirable. 7 minutes de temps additionnelle, une éternité. Les toulousains ne font plus grand chose sinon repousser, encore et encore, jusqu'à craquer, au bout du match, comme un cruel remake  du Havre, comme une ultime gifle du destin. C'était trop beau...

Mais ? Les toulousains sont autour de l'arbitre , sûrs d'eux, Nicolaisen met la pression. Les hommes en noirs hésitent, se ravisent, et l'arbitre fait le signe attendu. Un frisson dingue traverse les tribunes . But annulé. Jusqu'au bout, le scénario incroyable. L'arbitre nous libère, libère un stadium ivre de bonheur , d'extase. On le tient, l'exploit fou, celui d'une génération, celui qui construira des petits Indians pour les années à venir. On chante, on saute, on célèbre nos héros qui ont gagné notre amour jusqu'à la fin de saison , quelque soit les obstacles. Restes vient faire sauter la tribune, les joueurs se prennent en photo quand le "Se Canto" retentit une dernière fois. C'est beaucoup trop beau.

Le TFC ce soir a écrit une page de son histoire. Le TFC a battu Liverpool, chez lui, avec fierté, avec audace, avec insolence, avec panache. Quand je quitte le stadium , ça klaxonne, ça chante dans toutes les rues, j'attrape le dernier train pour rentrer dans ma cambrousse, encore sonné. Sur le banc prés de moi à la Gare de Saint-Agne, un supporter français de Liverpool fait la moue, j'engage la discussion, la voie enrouée. "Vous le méritez les gars, ça fait longtemps que j'ai pas vu Liverpool se faire bouger comme ça. Et l'ambiance, c'est dingue. C'est toujours comme ça ?".

Ca l'a été, ça le sera encore, et pour longtemps. Car ce soir, les gars qui portaient notre maillots ont posé une trace indélébile dans l'histoire du club. Merci les joueurs, merci coach. Qu'il est beau, qu'il est grand notre TFC.

Forza Viola les gars, avant, ce soir, et pour toujours... :drapeau-tfc1:

 

Encore merci pour cet instantané gravé dans notre histoire de supporter violet.

J'y fût, nous y fûmes. :kopindians:

  • Like 1
Lien vers le commentaire

Quelle Folie ce match, plus de voix, plus de jambes, quelle chance d avoir vécu cela en direct au stadium, je me sens privilégié.

Même en haut de la'tribunes j ai vu tout le monde debout et chantant pendant 90 min c est fou. Et ce tifo quel génie !

Je pense que nous serons nombreux demain au réveil à vérifier sur nos téléphones si cela c'est bien déroulé. 

  • Like 1
  • Feu 1
Lien vers le commentaire

J'ai raté le 1er but, j'étais parti pisser les binouzes. Dédicace aux 3 copains qui tenaient aussi leur teub quand le stade a explosé :grin: 

Je suis persuadé que c'est parce que le stade hurle que la VAR se met en marche à la 97eme (+ les contestations des joueurs et du staff). On a clairement joué notre role.

  • Like 1
  • Top ! 2
  • Bave 1
Lien vers le commentaire

Mais quel kiff bordel !

Ce match rentre dans le top 3 des plus belles recentes victoires Toulousaines !

Cette equipe  elle est fabuleuse ce soir, rien a dire ! Merci, tout simplement merci !

@Vistule@Nens @Asha31 on a pu etre en contradiction 10000 fois mais aujourd'hui on fait la paix.

Si un admin passe par la, ca serait sympa de virer mes 100 derniers commentaires negatfis postés sur ce forum.

Cette victoire pardonne tout.

Toulouse replacé sur la carte du foot francais et europeeen, ce soir c'est la ville rose et ses supporters qui font la fete !!! 

Forza Viola ! 

Modifié par sebztfc10
  • Like 4
  • Bave 1
Lien vers le commentaire

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.