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[Topic Cyclisme]


Faurégol

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Posté(e)

Jean René Godart qui parle de Lance Armstrong c'est exactement pareil que lorsque Vincent Hardy parle de Thierry Henry. :lol2:

Jean René Godart qui commence son résumé de l'étape :

"Départ donné par Jean Marie Leblanc [NDFRANFROU : quel conna** celui là] patati patata... Vous remarquerez que M. Lance Armstrong a mis un petit K-Way car Lance fait attention à tous les petits détails... blabla..."

Qu'est ce qu'on s'en branle que Lance coure à poil ou avec un passe montagne... :lol2: Affligeant ce journaliste. ;)

Posté(e) (modifié)
Jean René Godart qui parle de Lance Armstrong c'est exactement pareil que lorsque Vincent Hardy parle de Thierry Henry. :lol2:

Jean René Godart qui commence son résumé de l'étape :

"Départ donné par Jean Marie Leblanc [NDFRANFROU : quel conna** celui là] patati patata... Vous remarquerez que M. Lance Armstrong a mis un petit K-Way car Lance fait attention à tous les petits détails... blabla..."

Qu'est ce qu'on s'en branle que Lance coure à poil ou avec un passe montagne...  :lol2: Affligeant ce journaliste.  ;)

<{POST_SNAPBACK}>

C'est normal. Il faut qu'ils montrent que Amstrong est un sportif exceptionnel et que ses victoires ne sont pas dues au hasard (il prend un k-way ® donc il gagne: CQFD) On comprend mieux pourquoi il gagne grâce aux explication éclairées de Godart.

S'ils laissaient le moindre doute sur un éventuel dopage (si le doute est encore possible) ils perdraient de l'audimat.

C'est bô le sport.

Modifié par BioHazard
Posté(e) (modifié)
Dans le Velo Club ils parlent de l'affaire Simeoni...

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et ils ont sortis la même sommité de conneries que Jalabert ?? qui lui appelle ca du panache ptdrrrrrrrrr :lol2::lol2:

Modifié par al_thunder
Posté(e)
et ils ont sortis la même sommité de conneries que Jalabert ?? qui lui appelle ca du panache ptdrrrrrrrrr  :lol2:  :lol2:

Jalabert a sorti une version un peu différente pendant le Velo Club... Mais c'est vrai que j'ai été déçu de son commentaire pendant la course...

Posté(e)
et ils ont sortis la même sommité de conneries que Jalabert ?? qui lui appelle ca du panache ptdrrrrrrrrr  :lol2:  :lol2:

<{POST_SNAPBACK}>

J'ai écouté Jaja sur RTL et il expliquait que sur le moment il avait trouvé ça super mais qu'il avait été très déçu d'apprendre la raison de l'attitude d'Armstrong. Il l'a dit à demi-mot avec les précautions d'usage mais pour lui, Armstrong est très con de régler ses comptes personnels dans le TdF et en direct à la télé.

Posté(e)
J'ai écouté Jaja sur RTL et il expliquait que sur le moment il avait trouvé ça super mais qu'il avait été très déçu d'apprendre la raison de l'attitude d'Armstrong. Il l'a dit à demi-mot avec les précautions d'usage mais pour lui, Armstrong est très con de régler ses comptes personnels dans le TdF et en direct à la télé.

Alors je comprends mieux son changement de point de vue entre l'après midi et le début de soirée...:lol2: Peu de coureurs ont osé réagir. C'est dommage.

Posté(e)

Réactions lues sur L'Equipe.fr :

Lance Armstrong (USA, 1er au général):

«Aujourd'hui, c'était tranquille car on a laissé partir les échappés. La finalité de ma discussion avec Simeoni a été essentiellement dictée par mon souci de protection du peloton. Je ne veux pas en faire une plus grande histoire qu'elle ne le mérite. Avec Simeoni, il en existe certes une. Mais ce que veulent écrire les journalistes n'est seulement qu'une partie de l'histoire. Simeoni, c'est quelqu'un qui veut détruire le cyclisme, le sport qui le paye. Quand je suis revenu dans le peloton, je ne peux pas dire combien de coureurs m'ont remercié. Ils comprennent que le cyclisme est leur métier.»

Filippo Simeoni (ITA, 145e de l'étape):

«Ce n'est pas normal qu'un grand champion comme Lance Armstrong ne laisse pas d'espace à des petits coureurs comme moi, dans une course aussi importante que le Tour de France. J'ai fait un gros effort pour rentrer sur l'échappée. Quand je suis revenu, les autres ont été surpris par la présence d'Armstrong. Je respecte mes collègues et j'ai préféré me relever. Il a montré le genre de type qu'il était.»

Posté(e)

Tout est dit dans la déclaration d'Armstrong.

Personne ne dit rien sur le dopage, car ils ont peur de "détruire le cyclisme" c'est à dire de ne plus gagner d'argent en faisant ce sport.

Donc, c'est l'omerta pour tout le monde, et celui qui l'ouvre se fait rejeter par le peloton. Remember le retour de Virenque après "l'affaire".

:vomi:

Posté(e)

Un commentaire désabusé...

Le Roi danse

23/07/2004

Par SYLVAIN LABBE

De Sports.fr

Incroyable épisode que celui qui aura animé vendredi les premiers kilomètres de course de la 18e étape du Tour de France. Vingt-quatre heures après son impitoyable mais légitime retour, à certains égards, sur Andreas Klöden sur la ligne d'arrivée du Grand-Bornand, Lance Armstrong s'est offert un numéro de souverain absolu en interdisant un bon de sortie à l'Italien Filippo Simeoni, coupable aux yeux de l'Américain de lui avoir tenu tête dans l'affaire du Dr Ferrari. Effarant!

Et Armstrong passa à l'attaque...

Et maintenant, il a droit de vie et de mort sur le peloton. Après le Lance Armstrong insatiable, transformé en cannibale avide de la plus petite victoire d'étape pour grossir le butin de ce sixième sacre annoncé dimanche sur les Champs-Elysées, le Tour de France a fait connaissance vendredi sur les routes du Jura avec un Armstrong tout à coup capable du pire pour soumettre et humilier un Simeoni simplement décidé à tenter sa chance dans l'échappée du jour.

Il est un peu plus de 13 heures vendredi quand tout le peloton, à peine secoué par une grappe de fuyards lancés aux avants-postes dès les premiers kilomètres, croit bien tomber à la renverse. Là, en tête, Lance Armstrong en personne a choisi de prendre en chasse en personne un anonyme décidé à rejoindre les six hommes échappés en tête. Quelle mouche peut bien piquer alors l'Américain censé alors couler une journée des plus tranquilles avant de croquer le chrono de Besançon?

Armstrong a dit non

La cible du Seigneur du Tour? Un certain Filippo Simeoni, gregario parmi tant d'autres au sein du peloton, sans-grade orphelin de Mario Cipollini au sein de la Domina Vacanze mais surtout coureur devenu célèbre pour s'être opposé à sa majesté Armstrong en personne. Un Armstrong contre lequel le Transalpin a eu le courage de porter plainte pour diffamation après que ce dernier, mécontent du repentir de Simeoni mettant en cause son bon Dr Ferrari, avait mis en doute la valeur des propos. Invraisemblable scénario que celui d'un leader du Tour incontestable et incontesté, s'exposant inutilement pour interdire ni plus ni moins à un coureur d'accomplir son métier.

Simeoni peut bien lever les bras au ciel et maudire le postier US calé dans sa roue. Armstrong a dit non. Et l'Américain pousse son effort pour mieux faire entende raison à cet insolent sujet. Revenus sur les six échappés, ce curieux attelage va s'expliquer. Et Armstrong, du haut de sa superbe, expliquer sa façon de penser à celui qui a osé se poser en travers de son chemin. Au royaume du Tour d'Armstrong, on courbe l'échine et on se soumet.

Derrière, en revanche, la panique est totale au sein d'un peloton médusé devant l'attitude du patron devenu au fil des jours de plus en plus monarque absolu. D'autant que l'écart des échappés grimpe désormais en flèche pour atteindre les 2'20! Et les T-Mobile d'éprouver alors toutes les peines à organiser une chasse digne de ce nom derrière ce fuyard pas comme les autres.

Panique derrière et sérieux coup de grisou parmi les échappés où l'on imagine l'effet de surprise quand le maillot jaune a pointé à l'horizon pour s'inviter à la fête. Perplexité, puis vrai coup de gueule des fuyards, à l'image de Garcia Accosta, rejoints et dont l'entreprise prenait du plomb dans l'aile avec un comparse de virée aussi encombrant. L'inspiration douteuse d'Armstrong avait fait naître parmi les hommes de tête un sentiment de colère bien légitime. Mais à quoi joue donc l'Américain?

Au milieu des bouffons...

Est-ce un soudain retour à la raison, la soumission délibérée d'un Simeoni ou le rappel à l'ordre de Johann Bruyneel depuis sa voiture, toujours est-il que le leader du classement général allait se relever, accompagné par un Simeoni mortifié pour réintégrer le peloton pas mécontent de voir son maître retrouver sa place en son sein. Le Tour avait repris un visage acceptable.

Pourtant, l'attitude des uns et des autres ne trompait pas. Oui, le peloton venait de vivre un événement majeur qui pourrait bien marquer la sixième couronne de l'Américain. Un Armstrong qui, plus facile que jamais, allait, comme pour mieux accentuer l'impression d'omnipotence, passer en revue un peloton où pas une critique sur cet épisode rocambolesque, ne semblait devoir naître. Echange de sourires complices avec Ullrich et Bettini, retour en queue de peloton: le seigneur, après avoir soumis l'un des siens au supplice, avait retrouvé sa cour. Au milieu de ses bouffons, Armstrong s'amusait...

Posté(e)

Armstrong au micro de Josse à la fin de l'étape... quelle hypocrisie...

"Je voulais protéger le peloton"

Excuse moi Lance mais mon meilleur pote est mort il y a deux mois parce qu'il aimait le vélo, en s'entraînant... Il était propre lui, comme tant d'autres cyclistes "amateurs"... Si tu pouvais lui éviter de se retourner dans sa tombe ou de salir sa mémoire par ce genre de conneries et une attitude indigne des cyclistes qui t'ont précédé ce serait sympa... :lol2::lol2:;):lol::lol::P:angry:

Coco complètement écoeuré...

Posté(e)
Clair! Pour une fois que ça escence pas Amstrong, ça fait plaisir :lol2:

<{POST_SNAPBACK}>

Je t'y en balancerais du gazole à cette turne...

Posté(e)
Plus tyrannique que jamais, Lance Armstrong ne se contente plus de truster les victoires sur le Tour de France. L'Américain décide également qui a le droit de s'échapper. Vendredi, il a pris personnellement en chasse Filippo Simeoni, histoire de régler un vieux compte...

----------------

La scène peut faire rire. Elle peut aussi faire peur. Vendredi, lors de la 18e étape du Tour de France, Lance Armstrong est passé du statut de souverain à celui de dictateur. Il était environ 13h45 lorsque la nouvelle, pour le moins étonnante, a surpris tout le monde: le maillot jaune est sorti du peloton, en poursuite derrière les six échappés. En réalité, le Texan se moque du groupe de tête comme de son premier Paris-Camembert. S'il a giclé de la sorte, à la surprise si générale que le peloton mettra dix bonnes minutes à s'organiser, c'est pour marquer au cuissard un certain Filippo Simeoni.

Bon sang, mais qu'est-ce qui peut pousser un Armstrong à agir de la sorte, à la veille d'un contre-la-montre de 55 bornes, et à 48 heures d'entrer dans la légende? Tout bêtement un différent vieux de quelques mois. Entendu dans le cadre du procès du trop célèbre Docteur Ferrari, Simeoni a chargé, sans mauvais jeu de mot, le sympathique toubib. Un affront pour Armstrong, qui fait ami-ami avec Ferrari depuis plusieurs années. Le contentieux a tourné au vinaigre, au point de se terminer en procès pour diffamation, intenté par l'Italien contre l'Américain, qui l'avait traité de menteur.

Manque de respect

Par le passé, d'autres patrons ont agi en gendarme. Les défenseurs d'Armstrong évoquent d'ailleurs le cas Hinault, qui avait tancé Joël Pelier dans les années 80. Mais si le Blaireau s'était fâché, c'est parce que le gamin avait attaqué précocement dans une étape de montagne, alors que le peloton s'était mis d'accord pour un début de course plus calme. Rien à voir donc avec le cas qui nous intéresse aujourd'hui, puisque Armstrong a réglé ici un compte personnel, pour une affaire privée, totalement extérieur à la vie du Tour de France.

Si Armstrong est seul sur sa planète, il n'est pas seul dans le peloton. Il y a aussi des coureurs, certes beaucoup moins forts que lui, qui ont le droit de vivre et de rêver. Joly, Mercado, Flecha, Lotz, Fofonov et Garcia Acosta ont attaqué pour essayer de gagner une étape. Un sommet dans une carrière. Ces six-là avaient envie de faire la course, Armstrong a commis une faute en l'oubliant. En les rejoignant pour des motifs indifférents au déroulement de la course, Armstrong aurait pu condamner leur escapade en incitant le peloton à réagir. Il n'est pas exagéré de considérer cela comme un manque de respect de la part du Texan.

"Dans l'intérêt du peloton"

Simeoni a eu beau jeu de se poser en victime. "Armstrong a montré à tout le monde quel personnage il était, estime l'Italien de la Domina Vacanze. Ce n'est pas normal qu'un grand champion ne laisse pas d'espace à des petits coureurs comme moi, dans une course aussi importante que le Tour de France. Je respecte mes collègues et j'ai préféré me relever. Pour la course, c'est mieux mais c'est dommage".

"J'ai protégé l'intérêt du peloton et beaucoup m'ont remercié " s'est défendu Armstrong. L'intérêt du peloton, vraiment? C'est une vision des choses. En tout cas, personne n'a bronché, témoignage du joug sous lequel chacun est placé. Quand Lance veut gagner, on s'incline. Quand Armstrong se fâche, on se tait. C'est comme ça, et pas autrement. Ceux qui ne sont pas d'accord avec le maître n'avaient qu'à pas venir. N'est-ce pas, Filippo?

Eurosport - Laurent VERGNE

Je trouve ça bizarre que les rares coureurs qui s'expriment râlent sur le fait qu'Amstrong ne les a pas laissé gagner ... S'il est capable de les rattraper, c'est qu'il le "mérite" ... Il fait ce qu'il veut, merde ! Amstrong peut gagner toutes les étapes s'il le veut donc qu'ils s'estiment heureux ...

Le probleme n'est pas là il me semble. A moins qu'ils aient tous quelque chose à se repprocher. :grin:

Posté(e)

le consultant de l equipe tv dont j ai deja parle eric boyet ancien cycliste a declare que c était petit bras qu a son epoque il y a avait des leaders charismatiques qu on devai respecte(indurain lemon mercx hinault) mais que armonstrong est gars que le peloton respecte mais qui n est pas respectable

moi je dis bravo car c est lui meme quiincinue y a quelques jours qu amstrong était dope

Posté(e)

non mais faut arrêter la

Armstrong met 43 sec à ulrich au bout de 18 km

Il te met Landis qui était incapable de passer la côté de Montmartre, et Rubiera le grimpeur pur dans les 10 premiers

Bref la honte quand même

Posté(e)

Je viens enfin de me rappeler la connerie qu'avait sorti Josse durant l'étape Bourg d'Oisans => Le Grand Bornand.

Les coureurs étaient juste un peu au dessus de Saint François Longchamps, dans la montée du col de la Madelaine, soit à environ 1700-1800 mètres d'altitude.

Je cite Josse : "vous pouvez remarquer qu'il n'y a pas de sapin le long de la route [NDFRANFROU : à ce moment là il s'arrête et son cerveau se bloque]... effectivement, l'altitude ne permet pas la pousse de sapins..."

Vala vala... :grin: Et le sapins dans les stations élevées comme Avoriaz, ils poussent comment ?

Posté(e)
non mais faut arrêter la

Armstrong met 43 sec à ulrich au bout de 18 km

Il te met Landis qui était incapable de passer la côté de Montmartre, et Rubiera le grimpeur pur dans les 10 premiers

Bref la honte quand même

J'en étais plus trop sûr mais il me semblait bien aussi que Rubiera était un pur grimpeur et avait été recruté pour ces qualités de grimpeur... :grin:

C'est beau le sport propre. :lol2:

Posté(e) (modifié)
"Patients" du Dr Ferrari

Moreno Argentin (Gewiss)

Lance Armstrong (US Postal)

Evgueni Berzin (Gewiss)

Mario Cippolini

Gianluca Bortolami

Fabrizio Convalle

Armand De Las Cuevas

Laurent Dufaux

Fernando Escartin

Giorgio Furlan (Gewiss)

Ivan Gotti

lano

Kevin Livingston (US Postal)

Erwan Menthéour

Axel Merckx

Abraham Olano

Petacchi

Tony Rominger

Savoldelli

Filippo Simeoni

Pavel Tonkov

Piotr Ugrumov

Beat Zberg

Ah&#33; ah&#33; c'est trop trop fort, les Gewiss c'est ceux qui ont montrés le doipage au monde entier, Berzin le type qui a 22 ans était une bête et qui prend sa retraite à 25 ans

Bref vive Ferrari

Repères

Règle d'or : «Tout ce qui n'est pas détecté par les contrôles n'est pas du dopage».

Début des années 80 : débute sa carrière à Ferrare au centre de préparation du Dr Conconi (celui-là même qui "prépara" Francesco Moser pour ses deux records de l'heure à Mexico).

1994 : Déclare que l'EPO "n'est pas plus dangereuse que 10 litres de jus d'orange." (Voir le bétisier du dopage).

1994 : "prépare" Moreno Argentin, Giorgio Furlan et Evgueni Berzin lors de leur triplé à la Flèche Wallonne, ainsi que Tony Rominger pour son record de l'heure.

Depuis 1995, consultant de Lance Armstrong en matière de diététique, de préparation en altitude et d'utilisation de caisson hyperbare, «autant de méthodes totalement naturelles».

1998 : dans le cadre d'une enquête sur un trafic de produits dopants pour des lapins, le procureur de Bologne Giovanni Spinosa épluche les papiers d'une pharmacie de la ville. Le magistrat découvre que plusieurs sportifs s'approvisionnent en produits dopants dans la petite officine. Il remonte ainsi jusqu'à Michele Ferrari et sur une liste de plusieurs coureurs, dont Ivan Gotti.

2001-2002 : Jugé pour dopage en Italie.

Dirige actuellement un camp d'entraînement à San Diego (Califormie)

Modifié par And1

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