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Jules Tchimbakala


bobby31

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Posté(e)

Pour ceux qui se rappelle de Jules Tchimbakala notre arriere droit de reve arrive

du Mans et qui a joue a Toulouse devenant international congolais (participation

a la CAN 2000).

Je viens d'avoir de ses nouvelles : apres etre passe par le Paris FC , il vient

de signer un contrat de 1 ans avec Raith Rovers un club de D2 ecossaise dirige

depuis peu par un certain Claude Anelka le frere de qui vous savez.

  • 3 semaines plus tard...
Posté(e)
Claude Anelka, frère de son altesse Nicolas de Manchester City, va faire ses débuts dentraîneur en match compétitif pour léquipe de D2 écossaise de Raith Rovers cette semaine à loccasion dun match de Bells League Cup contre les Albion Rovers. C. Anelka na conservé que trois joueurs qui portaient le maillot de Raith la saison passée : Jonathan Smart, le capitaine Darren Brady et le défenseur espagnol Paquito. Cest majoritairement du côté de la banlieue parisienne que le coach a fait ses amplettes pour la saison à venir, recrutant entre autres les « sommités » françaises du ballon rond suivantes : les gardiens de but de 26 ans David Berthelot (ex-Dunkerque et Louhans-Cuiseaux) et Rudy Pounoussamy (ex-ASSE, Créteil et divers clubs réunionais), le défenseur de 22 ans Maurice Mendy (AS Orly), le milieu défensif international congolais de 33 ans mais titulaire dun passeport français - Jules Tchimbakala (ex-Toulouse, Le Mans, Thouars, Paris FC), les milieux Amar Benaissa (22 ans , Choisy Le Roi) et Mehdi Eloujdi (21 ans, US Ivry), l attaquant de 25 ans Hervé Ebanda (ex-Créteil et Beaucaire) ou encore lattaquant de 24 ans Hamed Sacko (ex-Paris FC). Bref, Anelka fait avec les moyens du bord et la pré-saison ne sest pas passée sans encombre si lon en juge par quelques douloureuses défaites en amical face à St Mirren, Clyde, St Johnstone, Rochdale ou autres Berwick Rangers Que du gratin la encore ! La chaîne de télévision anglaise Sky One sest penchée sur cette petite entreprise et suivra pas à pas la progression des Raith Rovers dès leur entame de championnat. Voilà un show de télé-réalité qui devrait, lui, tenir toutes ses promesses ! (Par Sam Couratin
  • 3 ans plus tard...
  • 1 an plus tard...
Posté(e)
Oui toujours. Il a joué contre notre équipe 1 (Pavie) et il parait qu'il a vraiment de beaux restes........

Je confirme. Je l'ai vu jouer deux fois, et il tient la défense de sa petite équipe à lui tout seul. Maintenant, vu le niveau, ca parait normal ! <_<

  • 2 ans plus tard...
Posté(e)

Bonjour à tous,

Quelques nouvelles de Jules pour cette saison 2011-2012.

Il a signé cette année dans un club voisin du Mas-Grenier, L'Association Sportive Savenes-Verdun/Garonne

Toujours dans le Tarn & Garonne, il joue Libero et tient de main de maître une bonne défense jeune mais attentive à ses conseils.

Par ailleurs, il a en charge la catégorie U13 de l'école de Football du canton qui compte pas moins de 4 équipes dans cette catégorie. Son fils en fait parti et on voit que les génes de papa son là!

Voici donc quelques infos sur un ancien TéFéCiste qui est resté fidèle à la région et qui continue à mettre à disposition son expèrience et tout son talent dans un club de jeune.

Qu'il en soit ici remercié par tous les dirigeants, éducateurs et joueurs.

Salutations à tous

PS: pour l'anecdote, son équipe c'est imposé dans le derby (6km de distance) de la garonne 4-0 cet après-midi.

  • 3 ans plus tard...
Posté(e)
Jules Tchimbakala : une vie dédiée au ballon rond
 
Depuis trois saisons, le capitaine du Sporting-club Lafrançaise se nomme Jules Tchimbakala. Après un début de carrière au Paris FC, l'international congolais fut l'un des artisans de la remontée du TFC en Ligue 1. A bientôt 44 ans, il continue à vivre sa passion. Cet homme a le ballon rond chevillé au corps.
 
A l'image d'autres grands clubs amateurs de la Ligue du Midi tels le Montauban Football-club, l'US Cazères, l'AS Muret ou l'US Albi, le Sporting-club Lafrançaise faisait partie de l'élite régionale dans les années soixante-dix, quatre-vingt. De grands noms ont évolué à cette époque, sur la pelouse du stade Gouges-Boutal. Les anciens se rappelleront des Salido, Lepkovitz, Terme, Mouliérac, Pujol, Marty, Meynen ou Cassayre. Le plus fameux d'entre-eux, formé à l'école lafrançaisaine, fut sans conteste Jean-Louis Zanon, parti chez les Verts de Saint-Étienne où il effectua une brillante carrière.
 
Retombé dans l'anonymat comme tant d'autres, le Sporting se débat aujourd'hui dans les dures joutes de la Promotion Ligue. Dans ses rangs, un capitaine au nom bien connu : Jules Tchimbakala. Du football professionnel au football amateur, l'ancien international congolais nous a parlé de sa passion pour le football au cours d'une conversation à bâtons rompus. Morceaux choisis…
 
Jules, quel est le secret de votre longévité ?
Je vais fêter mes 44 ans en janvier 2015 et l'envie de jouer au ballon est toujours présente. Tant que je peux apporter quelque chose de positif sur le terrain, pourquoi me priver ? Je suis en bonne santé, j'ai une bonne hygiène de vie. Certes, il m'arrive d'avoir les jambes un peu lourdes après un match mais tout va bien. J'ai juste adapté ma façon de m'entraîner.
 
Tout se passe d'abord dans la tête, non ?
Exactement. A Lafrançaise, j'ai trouvé un groupe de jeunes joueurs assez extraordinaire. J'aime partager mon expérience avec eux. Ils sont réceptifs à mes conseils. C'est très gratifiant pour moi. Parfois, je leur en demande beaucoup sur le terrain, j'insiste pour qu'ils en fassent toujours plus mais c'est pour le bien de l'équipe. Même à notre niveau, les matchs se jouent souvent à peu de chose. Il faut donc travailler ce petit plus qui fait souvent la différence.
 
Vous parlez comme un coach…
Peut-être. Mais à Lafrançaise, le coach se nomme Yohan Vabre. Il est bien en place et assume bien son boulot. Je joue en défense centrale. Sur le terrain, je suis bien placé pour corriger certains défauts de l'équipe mais ça s'arrête là. Le patron, c'est Yohan.
 
Pourtant, on vous sent entraîneur dans l'âme…
On verra quand j'arrêterai ma carrière de joueur. Coacher une équipe ne me déplairait pas. Je passerais certainement mes diplômes un jour ou l'autre. J'ai vécu une belle expérience à la tête des U13 de Garonne et Gascogne à l'époque où mon fils y évoluait. Nous avions effectué une belle saison. Les gamins avaient bien progressé mais, entre le boulot, la famille, les matchs du week-end et l'entraînement des jeunes, j'étais complètement surbooké. Il a fallu faire des choix.
 
Comment se passe cette troisième saison à Lafrançaise ?
Avec quatre victoires et un match nul, nous avons bien entamé le championnat. Pour l'instant, notre attaque est la meilleure de la poule, notre défense n'est pas mal non plus. Nous sommes deuxième au classement, à deux points d'Auch. Donc tout va pour le mieux même si la défaite cruelle face à Lourdes en coupe de France a été difficile à avaler. Nous échouons après une interminable séance de tirs au but (11 à 10) qui aurait tout aussi bien pu tourner en notre faveur. Avec le recul, cette rencontre particulière fera partie des beaux souvenirs pour mes jeunes coéquipiers. Ce style de match, face des équipes de niveau supérieur, ne peut que faire progresser le groupe. C'est dans la défaite qu'on apprend le plus. Contre Lourdes, les garçons se sont rendu compte qu'ils possédaient des ressources insoupçonnées. Il faut travailler là dessus.
 
Vos objectifs ?
Notre groupe n'est pas assez étoffé pour affirmer quoique ce soit. Tout dépendra des blessures et des suspensions. Si nous sommes épargnés, nous animerons ce championnat avec quelques ambitions. L'appétit vient en mangeant…
 
Revenons à votre expérience professionnelle au Toulouse Football-club.
Je suis arrivé dans la ville rose lors de la saison 1995-1996, je côtoyais enfin le haut niveau. Ça marque. J'évoluais au poste de défenseur. Le club était en Ligue 2, Roland Courbis entraînait l'équipe puis, Alain Giresse l'a remplacé à la trêve. Alain Casanova s'occupait des gardiens de but. Nous avions terminé à la cinquième place derrière Marseille et Caen qui étaient montés cette année-là.
 
Et la saison suivante a été la bonne…
Oui. Nous avions l'un des plus gros budgets du championnat. Cette montée en Ligue 1 semblait donc logique. Nous avions une excellente équipe. Thierry Moreau, Laurent Batlles, Laurent Sachy, François Caldéraro, Rémy Lauret et Teddy Richert étaient les leaders. «Gigi» à la baguette nous apportait son expérience, son talent. Cette saison 96-97 reste, bien sûr, l'un des meilleurs souvenirs de ma carrière. Malheureusement, cette montée n'a pas été appréciée à sa juste mesure à Toulouse. Nous nous attendions à une grande fête, ce fut loin d'être le cas.
 
Vous avez ensuite découvert la Ligue 1. Vraiment un autre monde ?
Carrément. Tout va plus vite. Il a fallu s'adapter rapidement. Même si je n'ai pas joué autant que je le souhaitais, ce fut une saison enrichissante. J'ai eu la chance d'affronter Marseille, PSG, le Metz de Robert Pires. Malheureusement, le TFC ne m'a pas conservé en fin de saison. J'ai quitté Toulouse en même temps qu'Alain Giresse qui avait signé au PSG.
 
Que retenez-vous de ces trois belles saisons ?
J'arrivais du monde amateur. Je me suis vite aperçu du changement de mentalité. Le milieu professionnel est à l'image de notre société : aucuns cadeaux, il faut se battre en permanence pour exister. Parfois, on est loin de l'esprit collectif que devrait avoir une équipe de Ligue 1 ou de Ligue 2. Certaines pratiques ou certains comportements m'ont choqué à l'époque. C'est comme ça. On ne se faisait pas de cadeaux. J'exerçais un métier alors que le football est un jeu, une véritable passion pour moi.
 
Aucuns regrets ?
Non. Bien sûr, j'aurai souhaité poursuivre ma carrière professionnelle un peu plus longtemps mais tant que je peux vivre ma passion et que ma famille va bien, je suis le plus heureux des hommes.
 
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  • 3 ans plus tard...

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