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Topic livres


Toulousiano

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je suis en train de le lire. Même si le personnage dont parle Carrere est atypique, j'ai du mal à finir le bouquin. L'écriture me semble décousue. Pourtant, le livre permet de rentrer dans la société soviétique brejnevienne d'une autre manière que par l'histoire "classique".

A ce niveau c'est plus atypique, c'est complètement barré qu'il est Limonov :grin:

Le gars a été voyou, poète, SDF, écrivain, majordome, politique et je dois encore en oublier!

Par contre je sais pas ce que valent ses bouquins. Quelqu'un en a déjà lu un ?

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A ce niveau c'est plus atypique, c'est complètement barré qu'il est Limonov :grin:

Le gars a été voyou, poète, SDF, écrivain, majordome, politique et je dois encore en oublier!

Par contre je sais pas ce que valent ses bouquins. Quelqu'un en a déjà lu un ?

Non jamais. Je me demandais egalement la meme chose. Je vais tester ca sous peu, et je vous tiendrai au jus.

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Très beau livre l'Ombre du vent, j'avais beaucoup apprécié.

ce livre long mais excellent est en dix chapitres;

le chapitre dix est un des plus courts (sept pages),

dans le chapitre neuf, un des personnages (je ne dis pas lequel) se marie.

ce que je conseille c'est qu'une fois achevé le chapitre neuf, de lire le livre

'le prisonnier du ciel' et ensuite, seulement après de lire le chapitre dix.

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  • 2 semaines plus tard...

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Passionnant. Un demi-siècle de découvertes qui ont sapé la physique classique et les fondements même de la réalité. Une galerie de portraits magnifiques de certains des plus grands penseurs du XXème siècle. Oubliez les manuels d'histoire qui font du siècle dernier celui d'Hitler, Staline, des Kennedy, de Churchill, Roosevelt etc. Le XXème siècle est celui d'Einstein, de Bohr, d'Heisenberg, de Schrödinger et cie

Modifié par elkjaer
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bon, dans la série "livre offert à Noël que je n'aurais jamais pensé lire un jour" on continue avec ça

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c'est sûr, c'est nettement mieux écrit que le précédent sur Laurent Blanc :grin:, ça se lit facilement, mais ça n'apporte pas grand chose tellement les sujets sont traités rapidement et superficiellement...

bref, ça ne révolutionnera ni l’histoire ni la littérature

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c'est sûr, c'est nettement mieux écrit que le précédent sur Laurent Blanc :grin:, ça se lit facilement, mais ça n'apporte pas grand chose tellement les sujets sont traités rapidement et superficiellement...

bref, ça ne révolutionnera ni l’histoire ni la littérature

Autre chroniqueur "à la mode" : ils valent quoi ceux de Franck Ferrand ?

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je sais même pas qui c'est :blink2:

Une chronique devenue quotidienne sur Europe 1

http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emissions/Au-coeur-de-l-histoire/

et une "bi-mensuelle" sur France 3

http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Ombre_d%27un_doute_%28%C3%A9mission_de_t%C3%A9l%C3%A9vision%29

c'est un peu tard, donc facile à louper. Replays sur le site je suppose :

http://www.france3.fr/emissions/lombre-dun-doute/ombre-dun-doute-accueil_11769

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je viens de le commencer, c'est truffé de références philosophiques et historiques. Je lis avec l'encyclopédie à côté de moi.

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"Et si la fin des relations internationales classiques, celles des diplomates et des soldats d’antan, était en réalité le début d’une nouvelle histoire ?

Si commençait alors l’Histoire, celle non plus seulement des États rivaux, mais la vraie, la totale, celle de l’humanité tout entière et des sociétés compénétrées ?"

B.B.

La « fin de l’histoire » : le concept s’est aujourd’hui imposé dans les milieux intellectuels occidentaux pour définir les relations internationales. Il trouve son origine dans cette idée-force : l’interruption du processus dialectique opposant indéfiniment les États entre eux. Parce que les États ne se font plus la guerre, ou du moins plus de la même façon, et plus avec la même fréquence, nous serions arrivés à la « fin de l’histoire ». Voici ce à quoi la mondialisation nous aurait conduits : perte de souveraineté des États, triomphe de l’économique sur le politique, diminution du nombre de guerres, fermeture de l’arène mondiale où les États jouaient le rôle des gladiateurs, et donc fin de l’histoire. Rideau.

À rebours de cette interprétation dominante, Bertrand Badie montre au contraire que nous sommes entrés dans une nouvelle séquence des relations mondiales, une histoire infiniment plus dense, plus universelle, plus humaine, dominée par le tectonique des sociétés. En entrant délibérément dans l’arène, sans répondre à la convocation des États, l’acteur social « ordinaire » crée une histoire nouvelle autrement plus riche et complexe que jadis. L’Histoire est désormais soumise à l’imprévisibilité des sociétés, alors que les relations internationales, transformées en relations intersociales, sortent de leur statut technique pour se réaliser en une Histoire dont plus personne ne connaît la finalité. On ne vit donc pas la fin de l’Histoire, mais bel et bien celle d’une histoire…

Un essai revigorant et une analyse lucide du monde tel qu’il va.

source : CNRS Editions

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