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Gollum

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  1. Il a toutes les chances de remplacer Capuozzo à l'aile...
  2. Pas sûr. Faut encore choisir un membre du staff à diction rapide qui ajoute (après "ceeeentre") : "sur des joueurs toulousains démarqués". Bon, OK, on peut peut-être de passer du "démarqués". Y'a encore du boulot.
  3. Le club a sans doute été présomptueux, là-dessus. Des touches ont été évoquées avec Aaron Smith mais manifestement sans suite. Est-ce qu'un 9 peut émerger dès cette saison de la jeunesse toulousaine ? Je n'en ai pas souvenir, cette saison mais il va falloir le trouver parce que si Graou ou Saito se pètent, y'a le feu au lac.
  4. Nettement moins bien : je ne pense pas l'avoir jamais vu aussi en difficulté depuis son intronisation dans les buts toulousains. Pour autant, lui imputer les buts qu'on encaisse récemment serait gonflé. Il n'est pas fautif mais il n'est pas non plus décisif alors que les buts en question sollicitent sa qualité première, à savoir son "oeil" sur la ligne. Disons qu'au moment où l'équipe aurait besoin qu'il l'aide, lui aurait besoin d'être aidé par l'équipe. Or, sa défense ne le protège plus et lui ne compense rien. Ça donne cette friabilité défensive absolument inédite, en espérant que les derniers matches corrigent le tir (comme lui ) pour en revenir à l'impression générale que mérite ce TFC sur l'ensemble de la saison : celle de la solidité et de la cohérence collectives.
  5. C'est "marrant" parce que cette troisième défaite de rang est comme celles qui l'ont précédée : à la fois inexorable et malheureuse. Mais l'inexorable domine, quand même. Il n'y a pas - ou plus - de hasard et on le sait, la fin de saison sera très, très longue du côté du TFC. Le club aura réussi à se maintenir en L1 et c'est bien la seule chose à laquelle cet effectif limité pouvait prétendre. Attendre plus, c'était juste insensé. Il n'y a évidemment ni honte ni regret à perdre chez le (désormais) second du championnat, a fortiori pour une équipe toulousaine qui perd quasiment tout le temps contre mieux classé qu'elle (le souci étant qu'à ce rythme, les mieux classés qu'elle vont devenir de plus en plus nombreux ). On pouvait juste se dire que ce match tombait à pic, face à un OM en pleine crise de nerfs. Et si j'en crois ce que j'ai vu, notamment en première MT, c'est vrai : on aura affronté Marseille au bon moment. Mais l'inverse est plus vrai encore ; pour Marseille, affronter ce TFC-là à ce moment-là, c'était du pain béni. Car le TFC est une équipe aujourd'hui fragile, ce qu'elle n'était pas il y a quelques semaines. Maladroite, c'est sa marque de fabrique depuis le début de saison quand bien même Babicka a quand même fait péter les xG ce soir. Mais fragile - aussi fragile - c'est sinon nouveau, du moins récent. Le TFC novellien qui a assuré tranquillement son maintien grâce à un hermétisme éprouvé, relève aujourd'hui de l'histoire ancienne. Il est vraisemblable que nos joueurs n'ont pas le coffre pour jouer un football aussi exigeant toute une saison durant. C'est hélas une très bonne nouvelle pour nos futurs adversaires. Alors bien sûr, faire ce constat est un peu injuste si on veut bien considérer que ce soir encore, comme contre Brest, on rend les armes sur une nouvelle frappe de l'espace signée Greenwood. Et honnêtement, avant ce but, je me dis que l'OM est dans un tel état défensif que y'a un coup à jouer. On n'est pas vernis, c'est évident. Mais en foot, la chance ne sourit-elle pas aux talentueux ? Et ne dessert-elle pas ceux qui oublient d'être laborieux quand ils n'ont fondamentalement rien d'autre en magasin ? Un OM dans le dur possède toujours un Greenwood ou un Rabiot dans ses rangs alors que chez nous, les facteurs X s'appellent Babicka et Gboho. C'est pas tout à fait le même pedigree et ça suffit à justifier le résultat de ce soir. Dès lors, pour rivaliser, il aurait fallu un bloc, une équipe autrement plus agressive sur le porteur, des défenseurs capables d'avancer sur l'adversaire voire un gardien qui n'encaisse pas un pion sur chaque frappe cadrée. À la place de ça, on a eu un Suazo nous gratifiant lui aussi de son but de l'espace - s'il y a un concours des csc grotesques de la L1, peut-être permettra-t-il au club de garnir son armoire à trophées, cette saison ? - et on a vu des DC en difficulté à cause d'un milieu lui-même bien moins souverain qu'avant (Casseres rentre dans le rang et ça se voit...) témoignant parfois d'attitudes sinon démissionnaires, du moins gagnées par la lassitude. Notre équipe a pourtant eu le mérite de revenir au moment où on s'y attendait le moins, ce qui signale paradoxalement la faiblesse de chacune des deux équipes, ce soir. Avec son but d'exception, Greenwood offre la victoire à une équipe qui ne semble pas capable de l'obtenir collectivement mais en même temps, il assomme un TFC rendant les armes à partir de ce coup du sort. Mais en contrepartie, si l'OM avait eu autre chose en magasin que les fulgurances de ses offensifs, jamais ce TFC à la dérive ne serait revenu dans le match, au point de menacer le Vélodrome d'un gros caca-culotte dans les dernières minutes (à la faveur d'entrants inspirés, notamment Edjouma, l'une des très bonnes nouvelles de cette fin de saison). C'est rare de voir le TFC sans réaction - ou aussi tardivement - et (ou parce qu') aussi vulnérable sur le plan défensif. C'est d'autant plus regrettable que Magri a encore marqué et que pendant une heure, il a franchement été très bon : ce qui signifie que grâce à sa résurrection, sur le plan offensif, on est plutôt moins mal que ce qu'on a été. En gros, on est donc en train de devenir moyens devant et franchement mauvais derrière, quand nous fûmes offensivement médiocres et défensivement solides. On ne gagne donc pas au change. Seul Babicka est égal à lui-même encore qu'aujourd'hui, il ait réussi à m'étonner. À son corps défendant, il en devient même toxique pour l'équipe : car bien sûr, quand on dispose d'un dragster pareil, on a envie de l'utiliser voire, on ne tente plus rien d'autre que de le chercher dans la profondeur. Sauf que, si ses appels voire ses contrôles sont méritoires, son déchet a quelque chose de robotique. Y'a un truc dans l'algorithme de ce garçon qui l'oblige à faire le mauvais choix ou à donner le ballon dans la mauvaise zone. Et donc, on a un attaquant qui à la fois aimante le ballon et le gâche de façon ridicule. Au final, ça fait des xG mais 0 but - rappelons qu'au classement, ce sont quand même les vrais buts qui comptent... - alors qu'avec un mec moins rapide mais un chouia moins incapable, peut-être aurait-on essayé de créer autrement pour, qui sait, planter un pion supplémentaire? On le sait, Novell ne sait ni changer d'hommes, ni changer de système. Mais ce serait peut-être bien de se faire violence, pour les prochaines journées parce que là, vraiment, la tête et les jambes sont entamées et surtout, passablement désynchronisées dans les rangs toulousains.
  6. Les forces dispos se réduisent comme peau de chagrin . Dupont puis Capuozzo - nos deux dynamiteurs - et Ntamack a un genou en vrac. Les blessures font partie d'une saison mais bon, ça commence quand même à faire cher. Oui. Mais on peut se féliciter que le petit orteil pied droit de l'ailier anglais ait léché la ligne de touche en fin de première période car un 10-20 ou 22 aurait commencé à refroidir un peu les travées du stadium. Victoire laborieuse donc, mais c'est bien parce que ça met l'équipe dans le ton de ce qui l'attend. On tombe dans le tableau franco-français et en rencontrant une au moins, voire les deux autres meilleures équipes de Top 14, ça va forcément piquer. En espérant ne pas perdre un mec par match, de surcroît...
  7. Le début de match des Toulonnais est incompréhensible. Un trou d'air majuscule. Pour moi, c'est un relâchement XXL de nature tout à fait ponctuelle, lié au statut de victime expiatoire annoncée des Saracens (pas facile de s'y filer quand on t'explique que y'aura rien en face). Cela n'aura pas lieu au moment d'accueillir le Stade vu que l'épouvantail, c'est le Stade et qu'il peut justement battre n'importe qui, n'importe où.
  8. En même temps c'est normal vu que même le pays a changé de nom .
  9. C'est vrai qu'on doit juger en relatif plutôt qu'en absolu. Et hier, en effet, personne ne s'est imposé à ce poste. Mais Donnum est quand même un pis-aller à ce poste d'ailier. Il a un gros volume de courses qui est typique d'un milieu de terrain et c'est pourquoi il est si à l'aise en piston (d'autant qu'il ne rechigne pas à la castagne). Mais en contrepartie, il manque singulièrement de capacités de débordement, faute d'accélération. Pour jouer ailier, ça reste très emmerdant. On a donc le choix entre un Donnum techniquement sûr qui ne sait pas accélérer et un Babicka qui est plutôt spectaculaire quand il court (très vite) derrière le ballon que son "contrôle" vient d'envoyer en sortie de but .
  10. Bah, ça fait un moment que l'arbitrage entretient une conception pour le moins extensive du duel à l'épaule. Un coup de coude dans le dos, c'est un duel à l'épaule, une prise de judo, c'est un duel à l'épaule, etc. Hier, Sidibé et Sierro ont donc perdu un duel à l'épaule . Ce qui est plus étonnant, c'est effectivement la non décision sur la charge de Bizot dans le pif de Messali. Il est possible que depuis hier, l'épaule commence à partir du genou, on ne sait pas, il faut respecter l'arbitrage...
  11. À croire qu'il redevient latéral : plutôt intéressant sur le plan offensif, le surnombre dans ce domaine n'étant pas du luxe dans cette équipe toulousaine. Et aurait dû bénéficier d'un péno si les règles du foot étaient appliquées mais on sait depuis un moment qu'au foot, les règles, c'est en option . Par contre, dans son rôle de DC, comment dire ? Rien justement, ou pas loin...
  12. Y'a quelque chose qui colle aux basques de cette équipe toulousaine, c'est une forme de fatalité. C'est quasi algorithmique : elle a beau tout donner, elle ne peut pas passer ce cap de la "L1 premium" et on ne peut pas le lui reprocher. Je dirais même qu'elle est objectivement irréprochable : quand "ton" équipe perd - voire encaisse le moindre but - t'as irrésistiblement envie de tout péter, d'insulter tout le monde, de cramer le coach et d'ensevelir les joueurs. Avec cette équipe, tu ne peux pas. Elle te prive de colère comme probablement aucune autre avant elle parce qu'elle donne tout, qu'elle parvient à relancer le cours d'un match impossible et qu'en dépit d'insuffisances criantes, elle souffre quand même de quelque chose qui ressemble à la poisse, la vraie, celle qu'un arbitrage à peu près constamment contraire sans jamais être vraiment scandaleux finit par incarner. Comme Strasbourg, Brest a les atouts pour punir cette équipe toulousaine courageuse mais limitée, à commencer par un M. Kamara qui m'a épaté chaque fois que je l'ai vu jouer. En tout début de match, les Toulousains ont pu faire illusion mais se sont heurtés à une défense décidée à jouer en bloc et opérer en contre, de sorte que sans surprise, on n'a pas trouvé la moindre solution. On a donc revu le TFC offensif de cette saison, vaillant, résolu à jouer sur les côtés mais péchant dans des proportions hélas habituelles dans la dernière passe, la dernière touche, la frappe. Et à force d'imprimer ce rythme stérile au match, comme on pouvait s'y attendre en voyant les vagues toulousaines se casser les dents sur la défense brestoise, l'adversaire nous plante sans trop forcer. Le premier but brestois est certes un bijou. Mais pour y arriver, que d'erreurs de notre part... En L1, laisser autant de temps au centreur et au frappeur, c'est minimum grosse occase contre toi. Kamara vient apporter le surnombre à la droite de l'attaque brestoise et n'est gêné par absolument personne. Le fautif s'appelle d'abord Sierro, qui doit normalement compenser ce surnombre dans sa zone et qui regarde Kamara centrer plus confortablement encore qu'à l'entraînement. Et que dire de cette passe décisive de Sidibé, ensuite, pour Bourgault ? Ce but assomme les Toulousains. Et s'il vient de deux grosses faiblesses individuelles côté TFC, le second est 100% collectif. Je dédouane Creswell de s'être fait déposer par Pereira Lage car intervenir dans ce genre de situation n'est tout simplement pas son rôle (Creswell n'est pas payé pour sa vitesse de course). C'est le placement de l'équipe qui l'envoie à l'abattoir, sur ce coup : le "bloc" toulousain est disposé 15 mètres de part et d'autre de la ligne médiane, pas assez haut pour empêcher le défenseur brestois de faire ce qu'il veut. Pas assez bas pour empêcher Pereira-Lage de plonger dans le dos de la défense. Le break est fait, on ne reviendra pas. Le début de seconde période montre une équipe toulousaine sinon démobilisée, du moins fatiguée. Et le troisième but brestois est celui qu'encaisse une équipe à la ramasse, en perdant tous ses duels et en laissant Doumbia crucifier Restes, non sans réussite. À ce moment-là du match, ma préoccupation est d'éviter le premier vrai naufrage de la saison : car ce que cette rencontre laisse de très désagréable, c'est une impression de vulnérabilité défensive déjà entr'aperçue à Strasbourg, et que les Brestois ont impitoyablement confirmée. Où est l'équipe défensivement souveraine d'il y a seulement quelques semaines ? Si les Brestois avaient daigné (ou pu...) attaquer plus qu'ils ne l'ont fait, ce match nous aurait sanctionné de 5, 6, 7 buts... Je ne reconnais pas McKenzie (depuis un moment), nos pistons n'y sont plus, Sidibé a beau s'être repris, il est en difficulté dans le domaine défensif et Creswell ne peut pas jouer dans une équipe qui laisse autant d'espaces à l'adversaire. Pour moi, cette faillite défensive porte un nom : Casseres, qui n'a pas existé dans ce match, pour d'évidentes raisons que Novell aurait dû anticiper (il a sa part, bien sûr). Et s'il va être très compliqué de se remobiliser pour les matches amicaux de la fin de saison, il serait bon que l'équipe toulousaine ne ternisse pas l'image de solidité qu'elle a réussi à construire de haute lutte tout au long de l'exercice car alors, celui-ci ferait tâche dans l'oeuvre de RedBird. Mais alors qu'on se dirige vers une mise à mort sans concession, Sierro troque son patronyme pour celui de Zorro, en sortant cette frappe de l'espace qui, sans vraiment nous remettre dans le match - je n'y ai jamais cru - signale à Brest que s'ils ont les oreilles, il faudra encore venir chercher la queue . Les 20 dernières minutes témoignent d'un changement radical d'attitude, le TFC trouvant dans ce but un second souffle, sinon un motif d'espoir. Je crois que cette réaction suffit à ma satisfaction car franchement, à 0-3, je ne vois pas comment cette équipe toulousaine trouvera les ressources d'éviter un séisme. Et c'est pour ça que, si on peut ne pas aimer cette équipe, il est impossible de ne pas la respecter. Dans ce contexte-là, dans cette adversité-là, ce que font les Toulousains est quand même costaud. Et puis, le geste de Sierro montre que s'il se manifeste rarement, le "talent" n'est pas complètement absent de cette équipe toulousaine. Or, c'est important de montrer à ses coéquipiers que Toulouse aussi peut marquer sur un geste de classe. Cela contribue sans doute à redonner de l'allant aux Toulousains et à 2-3 l'improbable, voire l'impossible, devient pensable. On connaît la suite : les Brestois ont produit une énième accélération sur leur côté gauche - notre côté droit a pris cher aujourd'hui- notamment parce que Zajc se laisse déposer après un corner mal tiré (voilà un joueur que je ne regretterai pas). Mais c'est anecdotique, les Toulousains ont déjà donné tout ce qu'ils pouvaient et depuis un moment, la victoire était brestoise. Ce match dit beaucoup du problème chronique que le TFC rencontre à domicile, pas plus réglé aujourd'hui qu'il ne l'était la saison dernière. Cette équipe n'a pas la vitesse ni la précision lui permettant d'imposer son jeu en attaque et quand Casseres n'écope pas tout au milieu, elle laisse des espaces qui permettent à un adversaire valeureux - Brest a bien figuré en LDC, rappelons-le - de la planter d'autant que parfois, on permet même à un adversaire nettement moins valeureux de faire de même (on a quand même perdu contre Montpellier). La fatigue et les blessures peuvent expliquer le gros coup de moins bien défensif de l'équipe ; mais même si on peut s'inquiéter de la fin de saison sur ce plan, les progrès du TFC novellien sont patents dans ce domaine. Le vrai talon d'Achille, c'est ce déchet à la finition que l'on ressasse journée après journée. Que d'approximations une fois de plus, que de difficultés dans la surface adverse quand bien même les nouvelles règles arbitrales - l'autorisation du MMA, du sumo et de la lutte gréco-romaine dans la surface de réparation - n'aident évidemment pas. Si le TFC veut un jour viser plus haut, il faudra qu'il s'achète un peu de talent, pas seulement celui d'une frappe irréelle une journée de temps en temps... J'ai cru comprendre que le mercato bruissait de cette quête et ma foi, c'est l'essentiel : car ne l'oublions pas, nous serons en L1 la saison prochaine .
  13. L'écart est juste fou... Les Palois tentent de s'accrocher pendant 20 minutes mais tu connais la fin du film avant même le générique . Dans son interview terrain pendant la rencontre, Mola a recouru à quelques éléments de langage pour tenter de préserver l'idée de "match" entre les deux équipes mais bon, très vite, le mot d'ordre pour la fin de rencontre c'était "faire plaisir à notre public"... C'est un peu la même communication que le PSG en L1. Je me demande si le Stade n'est pas en train de nous faire une Federer-Djokovic-Nadal. Disons au moins un des trois... Une espèce de machine à gagner qui regarde les autres du haut de l'Olympe, seul un OVNI pouvant de temps à autre l'en faire tomber (peut-être Toulon, cette année, l'OVNI en question). Pas l'infaillibilité, donc. Mais plus vraiment la glorieuse incertitude du sport non plus...
  14. Comme tu le dis, non seulement ce match n'était pas un objectif mais il était coché à 0 point. À partir de là, la titularisation de Saito s'imposait, Graou étant devenu le n° 1 pour cette fin de saison et devant donc être préservé .
  15. Et Brennan, surtout. C'est lui qui remet le combat permettant d'inverser le match. J'aime beaucoup la baby première ligne, aussi. Oui. En sus de pratiquer un rugby hors normes, cet effectif toulousain a un orgueil de champion et la sérénité qui va avec. C'est plus que l'honneur qui est sauvé, c'est un très gros message envoyé aux Bordelais dans la perspective des duels à venir sur les fronts européen et national. En première période, les Bordelais jouent trop vite. Mais comme tu l'as fait remarquer, j'ai quand même un regret sur cet excès de ballons rendus. Le gros point faible toulousain reste évidemment la touche et si le Stade échoue à remporter au moins un titre, cette saison, ça se jouera là-dessus. Le jeu au pied a été insuffisant et quelques en-avants sur percussion auraient dû être évités. En première période, les jeunes Toulousains ont voulu jouer comme leurs adversaires et c'était une erreur. Il aurait fallu sécuriser, donc ralentir le tempo et en conséquence, assurer la conservation. Mais quelle seconde période...
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